On n’arrête plus le BC Belleflamme!

 

On n’arrête plus le BC Belleflamme! Le club de la rue Nicolas Spiroux surfe en effet sur une série – en cours- de neuf victoires, dont la dernière date de mercredi contre Waterloo, leader de la série.

 

Tout avait plutôt mal commencé pour les Verts, défaits lors de leurs deux premiers matchs. « Nous avions deux nouveaux joueurs à intégrer, cela prend un peu de temps » nous explique Sebastien Peremans, au club depuis deux décennies. Mais désormais, le collectif tourne à plein régime, réalisant une superbe série de victoires. Des résultats qui s’expliquent facilement selon lui. « Nous avons vraiment un gros collectif, c’est notre force. Tout le monde est capable d’apporter son écot au scoring et nous disposons de deux top pivots R1, mon frère Romain et Emmanuel Mampuya, arrivé à l’intersaison. »

Un succès collectif.

Une force collective logique tant le noyau se connait depuis longtemps. « Nous sommes comme une famille tant cela fait des années que nous sommes réunis. Nous sommes d’ailleurs cinq de l’équipe à avoir commencé ensemble en baby » confirme le Liégeois. « De plus, c’est notre troisième année au sein de la division, nous connaissons le championnat et nous nourrissons certaines ambitions. »

 

Une grande famille

 

Des ambitions légitimes au regard de leur réussite actuelle. « En début de saison, l’objectif affiché était clairement de faire les Playoffs. Maintenant, on veut continuer de surfer sur cette vague positive et en post-saison, tout peut arriver » précise-t-il. « En tout cas, même si cela dépend du comité, on ne serait pas contre une montée en TDM2. »

La Peremans Connection!

Un comité que l’étudiant en éducation physique connait depuis de nombreuses années, lui qui a commencé le basket à trois ans dans son club de toujours. « Belleflamme, c’est vraiment génial. Il y règne une excellente ambiance et une très bonne entente entre les différentes équipes » salue Sébastien. « Pour moi, c’est comme ma deuxième maison. Ce club est une grande famille. »

L’ailier de vingt-trois ans ne croit pas si bien dire, lui qui évolue aux côtés de son frère Romain. « Cela fait quatre à cinq ans que nous jouons ensemble. Parfois, on se chamaille un peu à l’entrainement, mais ça reste bon enfant. » nous dit-il. « Mais c’est un super joueur, dominant dans la division et c’est un régal de l’avoir dans l’équipe. »

Nul doute que le matricule 1058 aura besoin de la fratrie à son meilleur niveau pour continuer à jouer les premiers rôles. Et c’est tout le mal que nous leur souhaitons!