Maxime Clavier fait un petit tour d’horizon des adversaires rencontrés, coéquipiers fréquentés et salles visitées. Interview.
Max, quels sont les adversaires les plus féroces avec qui tu as déjà croisé le fer?
Il y en a plusieurs… Vanhove d’Hasselt était un joueur vraiment très dur à défendre et impressionnant. Le grand Piette de Neufchâteau était simplement inarrêtable et Sturam est un joueur imprévisible et redoutable.
Lequel de tes coéquipiers t’impressionnait le plus?
Ircylle Makengo, sans hésitation. C’est un marsupilami ce mec! Il sait tout faire, il faut constamment faire attention pour éviter une perte de balle, il va tout le temps au rebond offensif. C’est vraiment le meilleur gars avec qui j’ai joué.
Et celui qui te faisait le plus rigoler?
C’est compliqué de déterminer le plus drôle… Quand j’allais jouer avec la P1, Pierre Lejeune me faisait beaucoup rire. Et Julien Mottard aussi est drôle même si, parfois, ses blagues laissent à désirer (rires).
Quel fut ton coach favori?
Mon père, sans hésitation! Il n’y a pas meilleur pour moi! Roland Renaville, que j’ai eu en sélection était aussi excellent.
Quelle est ta salle préférée?
Celle de Belleflamme. Après vingt-deux ans, j’en connais tous les recoins (rires).
Et celle que tu redoutes le plus?
Aller à Comblain est toujours compliqué. L’ambiance, la petite salle et l’aspect derby sont particuliers à gérer.
Quels souhaits formules-tu pour le basket liégeois?
Je n’en ai pas spécialement. J’espère simplement que les Liégeois vont réaliser une bonne saison et concurrencer les Flamands – comme Comblain va essayer de le faire.