« Ca me coûte un oeuf de marquer »

Facundo Campazzo fait un premier bilan de son aventure outre-Atlantique.

« Luka (Doncic) dit que marquer en NBA est plus facile qu’en Europe, parce qu’il a un talent incroyable, mais moi, ça me coûte un œuf de marquer. Je fais des prières parfois » rigole Campazzo lors d’une auvio conférence avec Team Facu. « Pour rester en NBA, je dois maintenir le niveau de mon tir à trois-points. »

Après avoir tout gagné en Europe, le départ pour la NBA était presque obligatoire pour le génial meneur argentin qui reconnait toutefois qu’il s’agit d’un processus complexe. « Je savais que je venais d’un endroit différent et que le processus d’adaptation allait prendre du temps. Je continue d’essayer de m’adapter le plus rapidement possible. C’est une ligue totalement différente. Il y a quatre mois, je jouais avec le Real Madrid, dans une autre ligue, dans une autre compétition, et du jour au lendemain, c’était un changement à 360°. Je savais ce qui allait arriver, je savais plus ou moins quel serait mon rôle et que j’allais mener à bien ce processus » explique-t-il lors de cette auvio conférence.

Crédit photo: FIBA