« Nous en sommes à trois revers d’affilée, nous devons réagir ! »

Après avoir encore baissé pavillon contre Saint-Louis, Nico Baudouin et les Haricots se doivent de relever la tête et de renouer avec la victoire ce vendredi contre Cointe.

Vendredi dernier, la puissance physique et l’expérience des Haricots furent insuffisantes face à la fougue, la vitesse et la jeunesse des Collégiens et Belleflamme a débuté la seconde partie du championnat de R1 par une défaite. « Nous en sommes à trois revers d’affilée, nous devons réagir ! », prévient Nicolas Baudouin.

Pour cela, c’est un nouveau derby à domicile qui se profile pour les pensionnaires de l’ABC Arena qui y recevront des Grenouilles venant de dominer Cointe. Mais l’adversaire n’a que peu d’importance pour les troupes de David Beck. « Nous devons tous nous recentrer sur notre jeu sans regarder qui il y a en face et ce sera déjà pas mal » ajoute le combo-guard.

« Ma première en P2 face à une grosse équipe complète dans tous les secteurs »

Quentin Vaes et les Carriers ont besoin de points, aussi bien en P2 qu’en P3, et s’apprêtent à faire face à deux gros défis à Spa et Verviers.

Caramba, encore raté ! C’est un peu ce qu’ont dû se dire les jeunes Carriers samedi soir. Après s’être inclinés en prolongation contre Saint-Vith voici quinze jours, Quentin Vaes et ses partenaires perdaient à nouveau de peu, cette fois contre Saint-Louis 53-61. « Nous avions pourtant bien commencé le match avec une grosse réussite de loin – cinq sur cinq d’entrée au-delà des 6,75 mètres – mais nous avons ensuite un peu lâché, ce qui a remis les Collégiens dans le match » constate le meneur local. « En seconde période, le ballon circulait beaucoup moins bien, nos options n’étaient pas bonnes et nos shoots ne rentraient plus. Nos adversaires en profitaient pour s’échapper et deux gros tirs convertis en fin de rencontre n’y changeaient rien. »

Et comme pas de repos pour les braves, Quentin enchainait par le match P2 avec la réception d’Henri-Chapelle, formation aussi impressionnante qu’expérimentée et invaincue. La logique comptable était respectée, les Carriers ne parvenant pas à réellement inquiéter les Capellois. « Pour ma première avec la P2, c’était face à une grosse équipe très complète dans tous les secteurs » remarque celui qui entraine aussi des jeunes et n’hésite pas à filer un coup de main aux bénévoles du club. « Nous avons réussi une grosse première mi-temps mais en deuxième, les Capellois ont resserré en défense et nous avions du mal à conclure sous l’anneau. » Score final : 37-78.

Tant la P3 des Carriers (1 victoire) que la P2 (zéro succès) ont besoin de points pour se (re)lancer et retrouver moral et confiance. Mais ce week-end s’annonce ardu pour les Sprimontois qui iront à Spa – équipe du top en P3A – samedi et à Verviers – un des favoris de P2B – dimanche. Toutefois, la magie du basket nous offrira-t-elle de jolies surprises ? C’est bien ce que mériteraient les sympathiques défenseurs du matricule 854.

« Deux bombes consécutives de Van Kerkhoven dans le money time »

Nicolas Linden et l’Union Liège ont renoué avec la victoire contre Theux, 58-50, et devront enchainer ce samedi à Welkenraedt où Steve Collin carbure au super depuis le début de saison. Reportage.

Après une mauvaise séquence, les Unionistes ont repris du poil de la bête contre Theux. « Nous avons parfaitement débuté la rencontre grâce à un superbe trois sur trois derrière l’arc de Maxime Horevoets. Le ballon voyagait mieux que les semaines précédentes » souligne Nicolas Linden qui voyait sa formation mener 22 à 11 après dix minutes. « Malheureusement, nous n’avons pas réussi à maintenir ce niveau de jeu tout au long de la rencontre et nous avons encore joué à nous faire peur. » Toutefois, les Liégeois renouaient tout de même avec la victoire, 58-50.

Un succès lié à l’adresse à distance des locaux. « Nos shoots à trois points firent la différence. Ce sont eux qui nous permirent de prendre un peu d’avance et c’est encore via deux bombes consécutives d’Antoine Van Kerkhoven que nous avons repris un certain avantage dans le money time » nous confirme Nicolas.

Avant de se rendre à Welkenraedt – pour qui Steve Collin enchaine les cartons – samedi, les Unionistes présentent un bilan de cinq victoires en huit matchs. « Entre les blessures, les obligations professionnelles et les vacances, nous avons beaucoup de mal à nous retrouver tous ensemble aux entrainements » constate notre interlocuteur. « Et pour une équipe qui fut complètement remaniée comme la nôtre, cela se ressent sur notre collectif. »

« Retrouver notre salle comptait énormément pour le comité »

Pour leur retour à Saint-Michel, Quentin Fassotte et les Collégiens se sont inclinés sur le buzzer et devront relever la tête ce vendredi contre Flénu pour ce qui sera tout sauf une partie de plaisir. Interview.

Quentin, vous vous êtes inclinés 85-87 contre Vieux Campinaire.

Nous fûmes en effet battus de deux points au buzzer. Nous avons perdu ce match car nous avons commis trop d’erreurs défensives et raté un paquet de lancers-francs. Nous ne pouvons pas gagner un match en encaissant 87 points, encore moins à domicile. Nous savons que notre attaque n’est pas un problème, que nous savons tous mettre la balle dans le panier. Mais nous sommes encore trop laxistes en défense sur certaines rotations qui n’arrivent pas. Nous devons travailler là-dessus.

Vous fêtiez votre retour à Saint-Michel.

C’est vraiment bien de retrouver notre si « belle » salle. Mais cela faisait bizarre d’y rejouer après plus d’un an sans s’y être entrainés. Mais, pour le comité, je crois que cela comptait énormément.

« Meunier peut switcher facilement et Titeca contrôler tous les ailiers »

L’intensité de Neufchâteau, le duel à distance entre Chestrolais et Comblinois pour le titre en TDM2B, le derby contre Sprimont et son pote Jérôme Wuidar, les qualités défensives de Titeca et Tshiteya, le duel entre Nicolas Franck et Romain Fassotte, le défi face au duo Loïc Meunier/Mirza Skrelja: autant de sujets évoqués par Pierrick Van Den Brule avant la réception de Sprimont samedi à La Fraineuse. Entretien.

Pierrick, vous avez fait douter les Chestrolais – co-leaders de TDM2B – dans leurs installations.

En effet, nous ne sommes pas passés loin d’un exploit. Alors que nous avions douze points de retard à la pause, nous comptâmes quatre longueurs d’avance au milieu du troisième quart-temps. Nous avons complètement fait déjouer Neufchâteau en installant un faux-rythme nous permettant de réaliser un gros run. Malheureusement, du point de vue défensif – et je suis le premier concerné -, nous sommes au moins à une division des Chestrolais et même deux en ce qui concerne l’intensité !

Cet engagement, cette intensité, c’est ce qui fait la force des troupes de Marc Hawley ?

Avec Nicolas Franck, nous en sommes arrivés à la même conclusion: ce fut de loin (ndlr: et pourtant les Spadois avaient reçu Comblain en ouverture) le match disputé dans lequel il y avait le plus d’intensité ! Physiquement, les Chestrolais sont prêts et nous l’ont bien prouvé. C’est très difficile de suivre pendant quarante minutes le rythme imprimé par les Ardennais qui bénéficient en outre de rotations aussi nombreuses qu’efficaces.

De quoi justifier la place de co-leader de Neufchâteau et d’en faire le favori au détriment de Comblain ?

Collectivement, cette équipe est vraiment impressionnante et complète. De ce que j’ai vu, c’est la meilleure équipe de la série. Si les Comblinois veulent aller gagner là-bas dans deux semaines, ils vont devoir être prêts physiquement et surtout ne pas gâcher le peu d’opportunités que les Chestrolais laissent à leur adversaire. A contrario, si les ouailles de Marc Hawley veulent vaincre le Mailleux, ils devront conserver cette intensité et ne pas avoir – comme contre nous – un énorme creux dans le troisième quart-temps car contre Comblain, avec un moment de flottement, vous pouvez vite vous retrouver à moins vingt.

Vous enchainez par un tout gros derby ce samedi à domicile contre Sprimont.

Oui, nous avons d’ailleurs réalisé un évènement Facebook pour essayer de ramener du monde à La Fraineuse et nous avons aussi invité des pompoms pour animer les temps-morts.

A quoi t’attends-tu pour ce match ?

Je m’attends à un match très dur défensivement. Sprimont, finalement, c’est assez semblable à Neufchâteau. Etant assez proche de Jérôme Wuidar, un coéquipier de 3×3, je sais que cette rencontre sera particulière pour nous deux. Je suis déjà allé plusieurs fois voir jouer les Sprimontois et je dois reconnaitre qu’ils possèdent une belle équipe avec des joueurs qui peuvent nous embêter.

Qui cibles-tu parmi ceux-ci ?

Louis Titeca – qui est aussi un coéquipier de 3×3 – est capable de contrôler n’importe quel ailier de la division. Il joue dur et avec beaucoup d’intensité. Tshiteya pourrait nous poser des problèmes sur nos remontées de balle. Je l’ai vu causer des soucis à Sainte Wal’ et James Potier, nous devrons absolument nous méfier de ses interceptions. Enfin, le duel Fassotte – Franck va valoir son pesant de caramels mous, assurément ! Selon moi, les cinq de base sont plutôt équivalents et les premières rotations, aussi bien chez nous que chez les Carriers, devront être prêtes à en découdre et apporter lors de leurs montées au jeu.

Pour toi, il s’agira aussi d’un beau défi face à la paire Loïc Meunier/Mirza Skrelja.

Des duels qui seront intéressants face à deux jeunes pivots qui montent en puissance au fur et à mesure de la saison. Je me réjouis de les affronter ! Je connais davantage Meunier que Skrelja car je jouais avec lui en inter-unifs. C’est un bon gars qui peut énormément gêner les attaques du panier avec sa taille mais qui, en plus, peut switcher facilement. Skrelja est un peu moins mobile mais est beaucoup plus solide et prend très bien position après les poses et prises d’écrans. Il faudra faire attention à le sortir de MA raquette (rires). Quoi qu’il en soit, je me rejouis de jouer ce match contre des amis. Je souhaite déjà un bon match aux Carriers et, surtout, que le meilleur gagne !

Crédit photo: Charles Haulain / Charnikon Prod.

« J’ai mis tout le monde face à ses responsabilités »

Ce samedi à Tilff, les Blue Rabbits devront montrer un autre visage.

A Bellaire, la « crise » couvait et joueur et staff se sont réunis mercredi pour faire le point après le large revers concédé contre Spa. « J’ai dit tout ce que j’avais à dire par rapport à ce qui n’allait pas et j’ai mis tout le monde face à ses responsabilités » nous précise Gaël Colson qui demeure à la tête de la P1 beynoise. « J’espère que cela va changer car nous ne nous tirons pas vers le haut pour le moment. Nous verrons ce que ça donnera dans les semaines à venir. »

« Yoric Caro le ‘Ice Blood Bro' »

Au bout du suspens, Theux l’a emporté 74-70 contre Prayon pour décrocher une quatrième victoire en six matchs.

« Ce match s’est déroulé comme notre coach – qui nous avait exorté dans son speech d’avant-match à faire gaffe aux rebonds offensifs et à rester concentrés sur notre basket et ne pas nous énerver – l’avait malheureusement pressenti » commence Laurent Caubergh. « Résultat: nous nous sommes faits manger au rebond toute la première mi-temps et Raph Schimanski fut exclu à la moitié du deuxième quart pour une anti-sportive et une technique. Autant dire que nous avions fait tout ce que nous ne devions pas faire (rires). »

Néanmoins, les deux équipes se tiraient la bourre pendant quarante minutes. « Le score fut constamment serré. Dès qu’une équipe prenait quatre ou cinq longueurs d’avance, l’autre revenait et prenait l’avantage à son tour dans cette partie assez stressante et avec beaucoup de nervosité » continue le forward theutois. « Et puis, les éclairs de génie sont venus de Yoric Caro, « Ice Blood Bro », qui a scoré des paniers importants et difficiles aux bons moments. Et nous avons géré les dernières possessions pour ne pas que Prayon puisse revenir. » Au final, Theux s’imposait 74-70.

Une victoire qui a basculé dans l’escarcelle theutoise grâce à une meilleure gestion du money time. « Nous avons bien négocié les possessions dans les deux dernières minutes de la rencontre. Nous fûmes plus calmes, avons cherché l’homme libre et trouvé des paniers faciles ou la faute » poursuit Laurent qui voit son équipe pointer à quatre victoires en six matchs après des débuts cahin-caha. « Notre progression est surtout mentale et collective. Un match comme celui-là, nous aurions pu le perdre en début de saison, comme ce fut le cas à Stavelot. Nous n’avons plus de blessés, hormis des légers, et nous arrivons tous désormais à être vraiment concentrés pendant presque quarante minutes, à nous remotiver tous même si un de nous fait de la m****. Chacun apporte sa pierre à l’édifice et nous pouvons compter sur tout le monde pour aller au combat. »

« Le choix du cinq de base se fait au jeu du doigt »

C’est le petit nouveau des matricules liégeois et le petit club qui fait trembler les grands: le BC Olne.

En Belgique, il y a le BCO, dix fois champion de Belgique consécutivement – série en cours – et le BCO, nouveau club fraichement débarqué en quatrième provinciale liégeoise. Un nouveau matricule, le 2732, pour une structure aussi ambitieuse en troisième mi-temps que sur le terrain… de l’humour. « Nous n’avons qu’une seule équipe pour le moment avec des objectifs clairs: nous amuser et, accessoirement, proposer du beau jeu à nos supporters » nous précise Thomas Lambert. « A court terme, un objectif est de demeurer invaincus en troisième mi-temps. Sur le long terme, c’est évidemment la D1 dans les trois ans. »

Une ambition « mesurée » à l’image du voisin pepin pour le BCO qui veut s’inscrire durablement dans le paysage liégeois et dont la newsletter hebdomadaire témoigne d’un second – troisième ? – degré de bon aloi à une époque où bien trop de monde a le doigt sur la couture. A Olne, le doigt est ailleurs. « Le temps de jeu est équitablement réparti chez nous et le choix du cinq de base se fait au « jeu du doigt ». Ainsi, chaque joueur à la chance de se montrer et d’apporter sa pierre à l’édifice » continue le Président. « Nous avons la chance de pouvoir compter sur de très bons partenaires qui nous suivent non seulement financièrement mais aussi au quotidien. »

Et si cela ne se traduit pas encore parfaitement dans les résultats – trois victoires en sept matchs dont la dernière en date contre Malmédy 52-49 – pour les Olnois, l’essentiel est ailleurs, dans des valeurs de convivialité, d’amitié et une envie non feinte de faire les choses sérieusement – voir l’excellent site internet du matricule 2732 – sans se prendre au sérieux. La recette du succès ?

En bonus: la description hilarante des membres de l’effectif à découvrir ici.

Crédit photo: BC Olne

A la Ste-Catherine, les Lions prennent racine

Notre phalange représentative de retour aux affaires en Slovaquie devant des banquettes (à nouveau) vides. Hier, c’était vraiment pas le soir des Panthers de Cornia ni des Russes de Petit alors que trois rendez-vous européens sont aujourd’hui à l’agenda d’autant d’équipes belges. Ce sont les infos d’EMCE.

Tout savoir (ou presque) sur des Slovaques assez méconnus

C’est donc ce soir (18 h) que les Belges entameront leur campagne visant à une qualification pour le Mondial 2023. Campagne qui débutera dans la petite ville de Levice (33.000 âmes, proche de la frontière hongroise) où se dresse l’imposante « Sportava Hala » (photo) d’une capacité de 2000 places. Du moins en principe car la fédération slovaque a été obligée de rembourser les tickets déjà écoulés. Because, l’énième rebondissement de la pandémie et interdisant le moindre spectateur. Sur le plan sportif, la Slovaquie pointe en 65e position mondiale (les Lions, 38e) et n’alignera pas son naturalisé, André Jones. En revanche, elle comptera fortement sur Vladimir Brodziansky (27 a, 2,06 m). Un géant qui fait actuellement les beaux soirs de la Joventud Badalone (D1 espagnole). « Les Belges partiront favoris mais, à domicile, nous sommes parfaitement capables de créer la surprise », selon le staff technique du cru. A voir…

Europe : très mauvaise soirée pour les Panthers et les Russes de Petit

En Euroligue, Koursk s’est emmêlé les pinceaux (74-93) à domicile devant les Italiennes de Schio (Kim Mestdagh 9). En C2 féminine, les Liégeoises (Leblon 18) ont craqué physiquement (93-52) dans l’antre de l’Estudiantes Madrid. En revanche, les Lyonnaises (toujours sans Allemand) assuraient leur première place de groupe grâce à leur succès (60-77) à Ruzomberok. Ce soir, trois phalanges belges seront en action : à 18 h 30, Braine s’en ira défier Keltern (All) ; à 20 h 30, Namur offrira l’hospitalité à Valence (Esp) pendant que les Kangoeroes se lanceront à l’assaut de Porta (Esp). Notre pronostic : un 2 sur 3.

Nouvelle recrue et prolongation de contrat chez les « Oignons » d’Alost

Pas mal de clubs profitent de l’actuelle fenêtre internationale pour rectifier leurs effectifs respectifs. Les Alostois ne dérogent pas à la règle puisqu’ils viennent de signer l’Américain d’origine allemande, Jack Pagenkopf (24 a, 1,90 m). Il débarque en provenance d’Ehingen (Basse-Saxe) où il a été élu MVP de la 2.Bundesliga. Les décideurs du Forum ont également proposé à Omar Calhoun une prolongation de contrat jusque fin janvier 2022. Faut-il préciser que le gaillard s’est empressé d’accepter ? Demain soir, les Okapi affrontent Rotterdam en amical.

La télé crève l’écran

La rencontre des Lions en Slovaquie (18 h) sera retransmise sur VOOsport World 3. A noter encore que tous les matches des sélections françaises (femmes et hommes) seront diffusés sur France Télévision jusqu’aux prochains JO.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Patrioti Levice

« Nous n’avons jamais bien commencé un match ! »

Match des extrêmes ce samedi entre Comblain, leader de TDM2B, et RSW Liège Basket, avant-dernier du général. Un derby que préface Tom Malempré.

Après sept matchs, RSW Liège Basket occupe l’avant-dernière place en TDM2B, juste devant Pepinster, avec deux victoires et cinq revers au compteur. « Ce qui nous manque surtout dans ce début de championnat, c’est de bien commencer un match ! Depuis la reprise, nous loupons systématiquement nos premières minutes » observe Tom Malempré. « Nous ne sommes pas dans le haut du classement mais nous allons tout faire pour grignoter des places et retrouver le milieu de tableau. »

Reste que pour ce samedi, la tâche s’annonce ardue et le défi de taille avec un déplacement à Comblain. « Tout le monde sait qu’aller à Comblain n’est vraiment pas facile, surtout que les Comblinois enchainent les bonnes performances comme lors de la dernière démonstration à Sprimont. Ce sera un match compliqué mais nous ferons notre maximum » ajoute Tom qui continue de s’entrainer avec la D1 des Principautaires à défaut de jouer les matchs. « Je continue de m’entrainer du mieux que je peux pour progresser un maximum et prendre tout ce qu’il y a à prendre ! »

Crédit photo: Philippe Collin