A Alleur et dans une très belle ambiance, le duel au sommet entre les All Blacks et les Collégiens a tenu toutes ses promesses et Saint-Louis a infligé aux locaux leur premier revers de la saison, 74-79. Reportage.
Devant des gradins bien remplis et dans une terrible ambiance, le duel au sommet entre des Alleurois invaincus et des Collégiens surprenants a tenu toute ses promesses. Si le début de rencontre appartenait à Robin Malpas (17 points au total), ce furent bien les visiteurs qui prenaient le meilleur départ pour mener 14-23 après dix minutes grâce à l’adresse de Dykmans (15 unités) et Martin Francoeur (12 pions). Dans le deuxième quart, les All Blacks profitaient de talent de l’éternel métronome Serge Di Prospero (16 unités) pour réduire l’écart petit à petit er revenir à 38-41 à la pause.
A la reprise, Forthomme (10 points) et les locaux continuaient sur leur lancée, passaient devant au marquoir mais ne parvenaient pas à se défaire de combatifs Collégiens. A la demi-heure, le suspens restait entier, 62-60. Evidemment, le dernier quart était étouffant, les deux équipes se rendant coup pour coup et à une minute de la fin du temps règlementaire, c’était l’égalité parfaite, 74 partout. Martin Francoeur ne tremblait alors pas sur la ligne de réparation et offrait une victoire aussi belle que méritée à Saint-Louis, 74-79.
« C’est toujours plus facile d’aborder un match dans la position de l’outsider » reconnait Benjamin Meunier. « Nous savions que nous n’avions pas grand chose à perdre mais tout à gagner. Nous fûmes solidaires derrière avec une énorme combativité. Tous les joueurs ont apporté à des moments différents, je suis très fier d’eux. »
Les Collégiens ont infligé aux Alleurois leur première défaite de la saison et confortent leur deuxième place. De quoi revoir leurs objectifs à la hausse ? « Non, il ne faut pas s’enflammer » tempère le coach de Saint-Louis « Il faut maintenant réussir à reproduire une telle prestation. Notre début de championnat parle pour nous: nous sommes capables de gagner à Alleur mais également de perdre contre une équipe en difficulté. »
RBC Alleur – Collège Saint Louis : 74 – 79
Q.T : 14-23 / 24-18 / 24-19 / 12-19
RBC Alleur : Aldenhoff C 5, Dallenogare M 13, Debefve M 10, Forthomme F 10, Kistemann G 0, Notelaers M 9, Carbonari L 7, D’Heur A 0, Malpas R 17, Di Prospero S 16
Collège St Louis : Cloots 9, Batardy 10, Francoeur M 12, Coenegrachts 9, Francoeur N 14, Qualla 0, Dyckmans 15, Lodonou 6, Cosentino 4, Vieuxjean 0
Ce dimanche, l’US Awans recevra Verlaine pour un choc des raquettes.
Ce dimanche, Awans accueillera Verlaine pour l’une des affiches de la P2A. « Une équipe que je connais bien avec pas mal de plus « anciens » contre qui j’ai joué pendant plusieurs années » nous précise Nico Baudouin qui sait qu’une victoire permettrait à ses troupes de rééquilibrer leur bilan et de s’installer confortablement dans la partie haute du classement alors qu’approche tout doucement la trêve des confiseurs.
Néanmoins, le défi s’annonce – au propre comme au figuré – de taille pour les US qui devront notamment contenir Sacha Massot. « Nous devrons jouer dur en défense, dominer le rebond et imposer notre rythme. Pour tenter de défendre sur Massot, nous devrons essayer de venir aider le plus souvent possible celui qui le tiendra et rester soudés » prévient le coach local.
A Alleur, Nicolas Paulus a complètement cochonné son match et les Sucriers furent dominés par l’intensité des All Blacks. Ce dimanche, Wanze doit rebondir contre Aubel avant un match capital contre le RBC Awans. Interview.
Nico, quelles furent tes impressions à l’issue de votre dernier revers à Alleur, 79-64 ?
J’y ai réalisé mon pire match de la saison. Je n’ai pris aucune bonne décision concernant ma sélection de shoots et perdu plus de ballons en un match que sur toute la saison. Ceci dit, la défense d’Alleur, très costaude et mobile, y était pour quelque chose ! Bref, c’est un match à oublier… Ou peut-être pas car cela nous a montré que nous ne savons pas encore tenir quarante minutes dans l’intensité, ce que les All Blacks ont su faire même s’ils possédaient moins de rotations. C’est la preuve que nous avons encore un palier à franchir.
Un peu à la surprise général, les Alleurois sont invaincus après sept matchs et trônent en tête du classement. Quelle opinion as-tu pu te forger sur cette équipe ?
C’est costaud, il y a du talent, c’est bien balancé. Je crois que les Alleurois apprennent également pas mal avec la P1 dont nous connaissons les talents qui la composent. Il n’y a peut-être pas les joueurs les plus doués individuellement de la série dans cette P2 d’Alleur mais, comme souvent, c’est le collectif qui gagne des matchs et, ensemble, les All Blacks jouent très bien. Surtout, je retiens cette intensité physique imprimée du début à la fin de la partie et qui, à l’usure, nous a fait mal.
Ce dimanche, vous recevrez Aubel. L’occasion idéale pour immédiatement rebondir ?
Oui, il est nécessaire de rebondir, surtout avant de rencontrer le RBC Awans qui réalise un beau parcours jusqu’ici. Ce match contre Awans nous donnera une idée à jour de notre place dans la hiérarchie de la P2 qui, pour le moment, est dominée sans conteste par les Alleurois même s’ils refusent encore de se l’avouer.
En P3B, les Giants de Braives iront à La Villersoise ce dimanche pour un pur derby.
Gros derby en prévision à Villers avec la venue de Braives. « Je m’attends à un derby plutôt engagé. Je connais quelques gars de La Villersoise – j’ai joué avec certains – et je sais qu’ils ont une mentalité de winner et qu’ils ne lâcheront rien » prédit Nicolas Danze. « Ce ne sera pas un match facile et cela promet d’être disputé. »
Avant d’aborder cette rencontre, les deux futurs adversaires affichent un bilan identique: deux victoires en six matchs. « Pour l’emporter, nous allons devoir proposer une copie semblable à celle rendue contre Oupeye. A savoir faire preuve d’un engagement complet durant quarante minutes et continuer sur notre lancée collective » prévient l’artificier des Giants. « Comme notre team est plutôt jeune et que nous allons rencontrer des gars expérimentés, il nous faudra aussi augmenter notre intelligence de jeu des deux côtés du terrain. La victoire passera par là ainsi que par la pression défensive que nous pourrons imposer aux locaux. »
Dans des conditions pas forcément folichonnes, Theux piétinne en P3A et voudrait profiter du derby contre Dison-Andrimont pour doubler son total de victoires.
En P3A, Theux fait partie des équipes qui ferment la marche. « Cela ne se passe pas trop bien. Une seule victoire et la dernière place: ce n’est pas terrible » assume Christophe Hauglustaine. « Néanmoins, depuis deux semaines, il y a de l’amélioration malgré les conditions qui ne sont toujours pas idéales. »
Ce dimanche, les Theutois accueilleront les Disonnais pour un derby. « Nous serons encore privés de trois intérieurs, il faudra donc que le reste de la team se montre solidaire car nous savons qu’avec les Dejardin, Debaar et autres, le jeu intérieur d’Andrimont est performant » prévient l’ancien emblématique mentor d’Ensival. « De notre côté, nos ailiers qui tiraient l’équipe l’an dernier ne sont pas encore rentrés dans leur saison. Il faudra donc espérer que cela soit le cas cette semaine. »
Les matchs des professionnels sont reportés jusqu’au quinze décembre.
« Les matchs du tour national belge de la BetFIRST BNXT League programmés le week-end du 3 au 5 décembre seront reportés à une date ultérieure suite à la décision du gouvernement fédéral hier de ne pas autoriser les spectateurs aux matchs de sport en salle.De plus, les matchs de l’EuroMillions Basketball Cup, organisés par la Belgian Pro Basketball League à partir des quarts de finale, prévus le week-end du 10 au 12 décembre seront reportés. Ils seront joués le week-end du 21-23 janvier. Les demi-finales de la Coupe de Belgique, prévues ce week-end, seront reportées à une date ultérieure.Les clubs comprennent les mesures qui ont été prises, mais regrettent en revanche qu’un match de sport de niveau professionnel ne soit pas considéré comme un événement indoor avec un public assis. Les clubs veulent se donner la possibilité de jouer les matchs avec les supporters afin de limiter les dégâts financiers » peut-on lire dans le communiqué de la League.
Après deux revers initiaux, les Ensivalois viennent d’enchainer quatre victoires de rang et semblent en ordre de marche pour recevoir une équipe de Pepinster qui trône en tête du classement en P2A après six victoires consécutives.
« Nous avons subi deux revers contre Henri-Chapelle et SFX qui sont favoris sur le papier… Mais il y avait moyen d’accrocher la victoire. La P2A est une série relevée. Nous le savons et notre victoire le week-end dernier à Alleur nous a mis en confiance et prouvé que nous pouvons aller loin ensemble » nous explique Maxime Erkenne dont l’équipe affiche un bilan de quatre victoires en six matchs.
Seulement deux défaites pour les Ensivalois, comme c’est le cas pour les Pepins qui comptent aussi deux victoires de plus dont la dernière en date contre LAAJ, 77-66. « Nous progressons de semaine en semaine. J’avais prévenu au mois d’août que nous ne serions pas prêts pour la reprise » rappelle l’ancien Capellois. « Mais désormais, nous venons d’enchainer six victoires d’affilée et nous avons enfin un collectif offensif et défensif. Le travail paie même si nous devons composer sans de nombreux blessés. »
Ce dimanche, ce seront ainsi deux formations qui ont le vent en poupe qui s’affronteront pour le derby de la laine. « Ce sera un gros test face à mes anciens coéquipiers » assure Max Erkenne. « Il faudra rentrer dans le match rapidement et jouer notre jeu comme nous savons le faire pour fatiguer mes vieux amis de Pepinster, Chris, Ju et Thibaut (ndlr: Francot, Lemaire et Masson). »
Avant que la R1 d’Alleur ne reçoive Ottignies pour ce qui sera seulement le troisième match des Alleuroises à domicile, Liège & Basketball est allé à la rencontre de Laura Minguet. Entretien avec une jeune joueuse talentueuse plaçant le collectif au-dessus de tout le reste.
Laura, peux-tu nous retracer brièvement ton parcours basket ?
J’ai commencé le basket en baby à Sprimont. J’y suis restée jusqu’à mes dix ans et puis j’ai rejoint le MOSA Angleur où ma soeur et ma maman jouaient. A quinze ans, j’ai pris la direction du RBC Alleur. C’est là que j’ai commencé à jouer en Dames, d’abord au niveau provincial avec une tournante avec la régionale. J’entame désormais ma septième saison sous les couleurs des All Blacks, en R1 et en rejoignant mes copines de R2 quand j’en ai l’occasion. J’ai également passé mes trois dernières années secondaires au sport-études-basket de Liège Atlas.
Qu’aimes-tu dans le basket ?
J’aime avant tout l’esprit d’équipe. Je ne me vois absolument pas pratiquer un sport individuel, du moins pas à temps plein. J’aime l’idée que nous sommes plus fortes ensemble, en formant un véritable groupe et que, finalement, les qualités sportives individuelles ne font pas tout.
Quel genre de joueuse es-tu ?
J’évolue sur les postes deux et trois. Concernant mon jeu, je suis une joueuse assez frustrante pour certains coachs – Jérôme Jacquemin ne pourra que le confirmer (ndlr: à découvrir début de semaine prochaine sur votre média préféré) – parce qu’il m’a fallu du temps pour comprendre que je pouvais jouer pour moi en première intention. Ma maman disait que je faisais le « distributeur coca » (rires). Mais, au-delà de ça, je peux aussi bien shooter à trois points qu’attaquer l’anneau, tout cela selon mon humeur du jour. Il est vrai que j’adore jouer en défense, et je pense savoir bien le faire. J’aime me dépenser pour stopper ma fille et récupérer des balles.
Qu’apprécies-tu tout particlièrement dans ton club d’Alleur ?
Alleur est une véritable famille. Ca ne peut pas être plus vrai en sachant que ma maman y coache et que ma soeur joue avec moi (ndlr: et dont le papa Alain fut Secrétaire et reste fort impliqué). Mais, surtout, nous avons une ambiance et une entente qu’on ne retrouve que dans peu de clubs il me semble. Nous ne nous supportons pas seulement sur le terrain mais sommes de véritables amies dans la vie de tous les jours.
Je pourrais dire un souvenir douloureux mais il est vrai que mon corps a déjà oublié tout cela. Ce fut mon premier exploit sportif et j’ai plaisir à dire que j’en garde un sentiment de fierté énorme. Nous l’avons fait en famille et ce fut le premier marathon pour chacun, cela apporte une dimension émotionnelle encore plus forte. J’ai déjà hâte de rattacher mes « joggings » et de partir m’entrainer pour un prochain.
La défense, une passion pour Laura.
Tu as également eu l’occasion de t’entrainer avec Corodo. Qu’est-ce que cela t’a apporté ?
En effet, j’ai participé à des stages et entrainements avec Corodo. Cela m’a énormément appris et aidé dans mon jeu individuel. Dominic Rossi ainsi que toutes les personnes qui travaillent avec lui sont géniaux et je leur dois beaucoup. Je regrette de ne plus avoir su y aller mais les trajets jusque Mole en plus de mes horaires déjà chargés ici ne m’ont pas laissé le choix.
Comment analyses-tu votre début de saison en R1 et comment expliques-tu vos difficultés ?
Il est vrai que notre début de saison fut compliqué. Nous nous sommes préparées avec Charlotte Overath qui nous a quittées avant le premier match de championnat et son absence s’est très fortement ressentie sur le terrain. De plus, même si nous sommes super contentes pour sa grossesse, Céline Verscheure nous manque également. Il faut aussi noter que la R1 est clairement plus fortes que les autres années. Beaucoup de filles de D1 ont rejoint la division après le Covid. Mais, évidemment, les excuses sont faites pour s’en servir. Au final, nous n’avons pas réussi à retrouver cette fluidité et cette hargne qui nous caractérisaient. Nous sommes vite rentrées dans un cercle vicieux mais tout cela est maintenant terminé, j’en suis persuadée.
A contrario, même si tu n’as disputé que deux match avec cette équipe, comment justifies-tu les excellents résultats de la R2 ?
La R2 est composée d’un noyau de filles qui se connaissent depuis des années, je pense que c’est une force. Nous ne pouvons pas dire que tous les matchs furent d’une qualité remarquable mais nous avons toujours réagi comme il le fallait. Deux matchs compliqués vont arriver (ndlr: dont un gros derby à Haneffe mais qui a été remis) et c’est maintenant qu’il va falloir confirmer que nous avons, en effet, une belle équipe.
Ce dimanche, vous recevrez Ottignies avec la R1. Quelles seront les clés de ce match qui pourra être disputé devant du public ?
Cela sera seulement notre troisième match à domicile pour huit matchs disputés en déplacement, Coupe incluse. Je pense que le retour à la maison va nous faire du bien, nous comptons évidemment sur la « All Blacks Family ». Mais, surtout, après la réaction montrée au match dernier (ndlr: à Fleurus), la motivation n’en est que plus grande. Il faudra reproduire la même envie et être appliquées pour éviter les balles perdues et les rebonds offensifs adverses, deux choses qui nous ont causé beaucoup de préjudices. Je crois en mon équipe et je sais qu’ensemble nous pouvons le faire !
Grâce à un excellent dernier quart-temps, les Sang et Marine ont arraché une quatrième victoire consécutive à Ninane. Avant de recevoir Flémalle dimanche, Tarik Bouchaouir fait le point sur l’excellent début de saison de sa jeune P3. Interview.
Tarik, vous n’étiez pas dans des conditions idéales pour vous rendre à Ninane.
En effet, il nous manquait trois joueurs. Certains attendaient leurs résultats de test qui ne sont malheureusement pas arrivés dans les temps.
Cela ne vous a toutefois pas empêché de vous imposer 62-71.
Ce fut dur. Nous menions zéro à neuf et puis nous avons dû courir après le score car les locaux connurent une grosse réussite et scorèrent quarante-quatre points en première période. Alors que nous étions menés de seize points à la pause, nous avons changé de défense et j’ai décidé de jouer plus petit pour contrôler les « un contre un » adverses et resserrer notre défense. Nous sommes revenus à trois longueurs des Calidifontains avant qu’ils ne reprennent douze longueurs d’avance. La sortie de trois joueurs de R2 sur quatre nous a facilité la fin du match. Nous avons tapé un quatre à vingt-six dans le dernier quart et l’équipe est allée chercher cette victoire au caractère. Je suis fier d’eux car ce fut difficile chez des Ninanais bien renforcés et compliqués à manoeuvrer chez eux. D’ailleurs, félicitations au coach et aux joueurs adverses, ce fut un bon match.
Après cinq matchs et avant de recevoir Flémalle dimanche, vous affichez un superbe bilan de quatre victoires et une seule défaite. De quoir revoir vos objectifs à la hausse ?
Sans notre forfait, nous serions invaincus. Du coup, je suis hyper content car il s’agit de notre première année en P3 et que la série est relevée. Mais, par contre, nous ne nous projetons pas trop et nous prenons match par match.
Le récent périple des Lions en Slovaquie, m’a fait penser au déplacement que j’avais effectué en compagnie de l’équipe nationale dans ce même pays.
A cette époque, la Tchécoslovaquie s’était scindée en Tchéquie et Slovaquie. Ces deux nouvelles fédérations voyaient le jour en 1993 et nos compatriotes s’en allaient défier les Slovaques le 17 novembre de cette même année. C’est dire si un impressionnant sentiment de fierté et de patriotisme animait joueurs et supporters adverses. Le match se disputait dans la très spartiate infrastructure de Prievidza où nous étions battus « on the buzzer » 73-71. Faut-il préciser que l’exploit local était bruyamment commémoré ?
Pour l’occasion, nous logions dans l’hôtel tenu par Stanislav (Stevo, pour les intimes) Kropilak. Etablissement qui proposait même une salle de basket. Quelques années auparavant, ce gentil géant (2,08 m) avait loué ses services, entre autres, à Fleurus, Monceau et Namur avant de finir carrière au Luxembourg. Pour l’heure, il est le président de l’Inter Bratislava. Je partageais la chambre (à la fenêtre brisée et jamais réparée) avec Pablo Debatty officiant alors pour la Meuse Liège. Pour ma part, je couvrais cette rencontre pour la DH et La Libre.
Au cours de la visite de Prievidza, j’en avais profité pour acheter à ma fille âgée alors de 2 ans ½ un mini-fax qui a longtemps fait son bonheur. Mais qui sait encore aujourd’hui ce qu’était un fax ? Dans ce magasin de jouets, j’étais accompagné de mon grand copain Kris Meertens. Il était là pour la BRT (de l’époque) et c’est lui qui commentera encore le prochain match des Belges, lundi, à Mons pour la VRT. Vingt-huit ans plus tard, donc, il est toujours aussi bon.