« Retrouver notre salle comptait énormément pour le comité »

Pour leur retour à Saint-Michel, Quentin Fassotte et les Collégiens se sont inclinés sur le buzzer et devront relever la tête ce vendredi contre Flénu pour ce qui sera tout sauf une partie de plaisir. Interview.

Quentin, vous vous êtes inclinés 85-87 contre Vieux Campinaire.

Nous fûmes en effet battus de deux points au buzzer. Nous avons perdu ce match car nous avons commis trop d’erreurs défensives et raté un paquet de lancers-francs. Nous ne pouvons pas gagner un match en encaissant 87 points, encore moins à domicile. Nous savons que notre attaque n’est pas un problème, que nous savons tous mettre la balle dans le panier. Mais nous sommes encore trop laxistes en défense sur certaines rotations qui n’arrivent pas. Nous devons travailler là-dessus.

Vous fêtiez votre retour à Saint-Michel.

C’est vraiment bien de retrouver notre si « belle » salle. Mais cela faisait bizarre d’y rejouer après plus d’un an sans s’y être entrainés. Mais, pour le comité, je crois que cela comptait énormément.

« Meunier peut switcher facilement et Titeca contrôler tous les ailiers »

L’intensité de Neufchâteau, le duel à distance entre Chestrolais et Comblinois pour le titre en TDM2B, le derby contre Sprimont et son pote Jérôme Wuidar, les qualités défensives de Titeca et Tshiteya, le duel entre Nicolas Franck et Romain Fassotte, le défi face au duo Loïc Meunier/Mirza Skrelja: autant de sujets évoqués par Pierrick Van Den Brule avant la réception de Sprimont samedi à La Fraineuse. Entretien.

Pierrick, vous avez fait douter les Chestrolais – co-leaders de TDM2B – dans leurs installations.

En effet, nous ne sommes pas passés loin d’un exploit. Alors que nous avions douze points de retard à la pause, nous comptâmes quatre longueurs d’avance au milieu du troisième quart-temps. Nous avons complètement fait déjouer Neufchâteau en installant un faux-rythme nous permettant de réaliser un gros run. Malheureusement, du point de vue défensif – et je suis le premier concerné -, nous sommes au moins à une division des Chestrolais et même deux en ce qui concerne l’intensité !

Cet engagement, cette intensité, c’est ce qui fait la force des troupes de Marc Hawley ?

Avec Nicolas Franck, nous en sommes arrivés à la même conclusion: ce fut de loin (ndlr: et pourtant les Spadois avaient reçu Comblain en ouverture) le match disputé dans lequel il y avait le plus d’intensité ! Physiquement, les Chestrolais sont prêts et nous l’ont bien prouvé. C’est très difficile de suivre pendant quarante minutes le rythme imprimé par les Ardennais qui bénéficient en outre de rotations aussi nombreuses qu’efficaces.

De quoi justifier la place de co-leader de Neufchâteau et d’en faire le favori au détriment de Comblain ?

Collectivement, cette équipe est vraiment impressionnante et complète. De ce que j’ai vu, c’est la meilleure équipe de la série. Si les Comblinois veulent aller gagner là-bas dans deux semaines, ils vont devoir être prêts physiquement et surtout ne pas gâcher le peu d’opportunités que les Chestrolais laissent à leur adversaire. A contrario, si les ouailles de Marc Hawley veulent vaincre le Mailleux, ils devront conserver cette intensité et ne pas avoir – comme contre nous – un énorme creux dans le troisième quart-temps car contre Comblain, avec un moment de flottement, vous pouvez vite vous retrouver à moins vingt.

Vous enchainez par un tout gros derby ce samedi à domicile contre Sprimont.

Oui, nous avons d’ailleurs réalisé un évènement Facebook pour essayer de ramener du monde à La Fraineuse et nous avons aussi invité des pompoms pour animer les temps-morts.

A quoi t’attends-tu pour ce match ?

Je m’attends à un match très dur défensivement. Sprimont, finalement, c’est assez semblable à Neufchâteau. Etant assez proche de Jérôme Wuidar, un coéquipier de 3×3, je sais que cette rencontre sera particulière pour nous deux. Je suis déjà allé plusieurs fois voir jouer les Sprimontois et je dois reconnaitre qu’ils possèdent une belle équipe avec des joueurs qui peuvent nous embêter.

Qui cibles-tu parmi ceux-ci ?

Louis Titeca – qui est aussi un coéquipier de 3×3 – est capable de contrôler n’importe quel ailier de la division. Il joue dur et avec beaucoup d’intensité. Tshiteya pourrait nous poser des problèmes sur nos remontées de balle. Je l’ai vu causer des soucis à Sainte Wal’ et James Potier, nous devrons absolument nous méfier de ses interceptions. Enfin, le duel Fassotte – Franck va valoir son pesant de caramels mous, assurément ! Selon moi, les cinq de base sont plutôt équivalents et les premières rotations, aussi bien chez nous que chez les Carriers, devront être prêtes à en découdre et apporter lors de leurs montées au jeu.

Pour toi, il s’agira aussi d’un beau défi face à la paire Loïc Meunier/Mirza Skrelja.

Des duels qui seront intéressants face à deux jeunes pivots qui montent en puissance au fur et à mesure de la saison. Je me réjouis de les affronter ! Je connais davantage Meunier que Skrelja car je jouais avec lui en inter-unifs. C’est un bon gars qui peut énormément gêner les attaques du panier avec sa taille mais qui, en plus, peut switcher facilement. Skrelja est un peu moins mobile mais est beaucoup plus solide et prend très bien position après les poses et prises d’écrans. Il faudra faire attention à le sortir de MA raquette (rires). Quoi qu’il en soit, je me rejouis de jouer ce match contre des amis. Je souhaite déjà un bon match aux Carriers et, surtout, que le meilleur gagne !

Crédit photo: Charles Haulain / Charnikon Prod.

« J’ai mis tout le monde face à ses responsabilités »

Ce samedi à Tilff, les Blue Rabbits devront montrer un autre visage.

A Bellaire, la « crise » couvait et joueur et staff se sont réunis mercredi pour faire le point après le large revers concédé contre Spa. « J’ai dit tout ce que j’avais à dire par rapport à ce qui n’allait pas et j’ai mis tout le monde face à ses responsabilités » nous précise Gaël Colson qui demeure à la tête de la P1 beynoise. « J’espère que cela va changer car nous ne nous tirons pas vers le haut pour le moment. Nous verrons ce que ça donnera dans les semaines à venir. »

« Yoric Caro le ‘Ice Blood Bro' »

Au bout du suspens, Theux l’a emporté 74-70 contre Prayon pour décrocher une quatrième victoire en six matchs.

« Ce match s’est déroulé comme notre coach – qui nous avait exorté dans son speech d’avant-match à faire gaffe aux rebonds offensifs et à rester concentrés sur notre basket et ne pas nous énerver – l’avait malheureusement pressenti » commence Laurent Caubergh. « Résultat: nous nous sommes faits manger au rebond toute la première mi-temps et Raph Schimanski fut exclu à la moitié du deuxième quart pour une anti-sportive et une technique. Autant dire que nous avions fait tout ce que nous ne devions pas faire (rires). »

Néanmoins, les deux équipes se tiraient la bourre pendant quarante minutes. « Le score fut constamment serré. Dès qu’une équipe prenait quatre ou cinq longueurs d’avance, l’autre revenait et prenait l’avantage à son tour dans cette partie assez stressante et avec beaucoup de nervosité » continue le forward theutois. « Et puis, les éclairs de génie sont venus de Yoric Caro, « Ice Blood Bro », qui a scoré des paniers importants et difficiles aux bons moments. Et nous avons géré les dernières possessions pour ne pas que Prayon puisse revenir. » Au final, Theux s’imposait 74-70.

Une victoire qui a basculé dans l’escarcelle theutoise grâce à une meilleure gestion du money time. « Nous avons bien négocié les possessions dans les deux dernières minutes de la rencontre. Nous fûmes plus calmes, avons cherché l’homme libre et trouvé des paniers faciles ou la faute » poursuit Laurent qui voit son équipe pointer à quatre victoires en six matchs après des débuts cahin-caha. « Notre progression est surtout mentale et collective. Un match comme celui-là, nous aurions pu le perdre en début de saison, comme ce fut le cas à Stavelot. Nous n’avons plus de blessés, hormis des légers, et nous arrivons tous désormais à être vraiment concentrés pendant presque quarante minutes, à nous remotiver tous même si un de nous fait de la m****. Chacun apporte sa pierre à l’édifice et nous pouvons compter sur tout le monde pour aller au combat. »

« Le choix du cinq de base se fait au jeu du doigt »

C’est le petit nouveau des matricules liégeois et le petit club qui fait trembler les grands: le BC Olne.

En Belgique, il y a le BCO, dix fois champion de Belgique consécutivement – série en cours – et le BCO, nouveau club fraichement débarqué en quatrième provinciale liégeoise. Un nouveau matricule, le 2732, pour une structure aussi ambitieuse en troisième mi-temps que sur le terrain… de l’humour. « Nous n’avons qu’une seule équipe pour le moment avec des objectifs clairs: nous amuser et, accessoirement, proposer du beau jeu à nos supporters » nous précise Thomas Lambert. « A court terme, un objectif est de demeurer invaincus en troisième mi-temps. Sur le long terme, c’est évidemment la D1 dans les trois ans. »

Une ambition « mesurée » à l’image du voisin pepin pour le BCO qui veut s’inscrire durablement dans le paysage liégeois et dont la newsletter hebdomadaire témoigne d’un second – troisième ? – degré de bon aloi à une époque où bien trop de monde a le doigt sur la couture. A Olne, le doigt est ailleurs. « Le temps de jeu est équitablement réparti chez nous et le choix du cinq de base se fait au « jeu du doigt ». Ainsi, chaque joueur à la chance de se montrer et d’apporter sa pierre à l’édifice » continue le Président. « Nous avons la chance de pouvoir compter sur de très bons partenaires qui nous suivent non seulement financièrement mais aussi au quotidien. »

Et si cela ne se traduit pas encore parfaitement dans les résultats – trois victoires en sept matchs dont la dernière en date contre Malmédy 52-49 – pour les Olnois, l’essentiel est ailleurs, dans des valeurs de convivialité, d’amitié et une envie non feinte de faire les choses sérieusement – voir l’excellent site internet du matricule 2732 – sans se prendre au sérieux. La recette du succès ?

En bonus: la description hilarante des membres de l’effectif à découvrir ici.

Crédit photo: BC Olne

A la Ste-Catherine, les Lions prennent racine

Notre phalange représentative de retour aux affaires en Slovaquie devant des banquettes (à nouveau) vides. Hier, c’était vraiment pas le soir des Panthers de Cornia ni des Russes de Petit alors que trois rendez-vous européens sont aujourd’hui à l’agenda d’autant d’équipes belges. Ce sont les infos d’EMCE.

Tout savoir (ou presque) sur des Slovaques assez méconnus

C’est donc ce soir (18 h) que les Belges entameront leur campagne visant à une qualification pour le Mondial 2023. Campagne qui débutera dans la petite ville de Levice (33.000 âmes, proche de la frontière hongroise) où se dresse l’imposante « Sportava Hala » (photo) d’une capacité de 2000 places. Du moins en principe car la fédération slovaque a été obligée de rembourser les tickets déjà écoulés. Because, l’énième rebondissement de la pandémie et interdisant le moindre spectateur. Sur le plan sportif, la Slovaquie pointe en 65e position mondiale (les Lions, 38e) et n’alignera pas son naturalisé, André Jones. En revanche, elle comptera fortement sur Vladimir Brodziansky (27 a, 2,06 m). Un géant qui fait actuellement les beaux soirs de la Joventud Badalone (D1 espagnole). « Les Belges partiront favoris mais, à domicile, nous sommes parfaitement capables de créer la surprise », selon le staff technique du cru. A voir…

Europe : très mauvaise soirée pour les Panthers et les Russes de Petit

En Euroligue, Koursk s’est emmêlé les pinceaux (74-93) à domicile devant les Italiennes de Schio (Kim Mestdagh 9). En C2 féminine, les Liégeoises (Leblon 18) ont craqué physiquement (93-52) dans l’antre de l’Estudiantes Madrid. En revanche, les Lyonnaises (toujours sans Allemand) assuraient leur première place de groupe grâce à leur succès (60-77) à Ruzomberok. Ce soir, trois phalanges belges seront en action : à 18 h 30, Braine s’en ira défier Keltern (All) ; à 20 h 30, Namur offrira l’hospitalité à Valence (Esp) pendant que les Kangoeroes se lanceront à l’assaut de Porta (Esp). Notre pronostic : un 2 sur 3.

Nouvelle recrue et prolongation de contrat chez les « Oignons » d’Alost

Pas mal de clubs profitent de l’actuelle fenêtre internationale pour rectifier leurs effectifs respectifs. Les Alostois ne dérogent pas à la règle puisqu’ils viennent de signer l’Américain d’origine allemande, Jack Pagenkopf (24 a, 1,90 m). Il débarque en provenance d’Ehingen (Basse-Saxe) où il a été élu MVP de la 2.Bundesliga. Les décideurs du Forum ont également proposé à Omar Calhoun une prolongation de contrat jusque fin janvier 2022. Faut-il préciser que le gaillard s’est empressé d’accepter ? Demain soir, les Okapi affrontent Rotterdam en amical.

La télé crève l’écran

La rencontre des Lions en Slovaquie (18 h) sera retransmise sur VOOsport World 3. A noter encore que tous les matches des sélections françaises (femmes et hommes) seront diffusés sur France Télévision jusqu’aux prochains JO.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : Patrioti Levice

« Nous n’avons jamais bien commencé un match ! »

Match des extrêmes ce samedi entre Comblain, leader de TDM2B, et RSW Liège Basket, avant-dernier du général. Un derby que préface Tom Malempré.

Après sept matchs, RSW Liège Basket occupe l’avant-dernière place en TDM2B, juste devant Pepinster, avec deux victoires et cinq revers au compteur. « Ce qui nous manque surtout dans ce début de championnat, c’est de bien commencer un match ! Depuis la reprise, nous loupons systématiquement nos premières minutes » observe Tom Malempré. « Nous ne sommes pas dans le haut du classement mais nous allons tout faire pour grignoter des places et retrouver le milieu de tableau. »

Reste que pour ce samedi, la tâche s’annonce ardue et le défi de taille avec un déplacement à Comblain. « Tout le monde sait qu’aller à Comblain n’est vraiment pas facile, surtout que les Comblinois enchainent les bonnes performances comme lors de la dernière démonstration à Sprimont. Ce sera un match compliqué mais nous ferons notre maximum » ajoute Tom qui continue de s’entrainer avec la D1 des Principautaires à défaut de jouer les matchs. « Je continue de m’entrainer du mieux que je peux pour progresser un maximum et prendre tout ce qu’il y a à prendre ! »

Crédit photo: Philippe Collin

« Pas évident entre les blessures et les changements de poste »

C’est une superbe victoire que Damien Grzesinski et les Porais sont allés chercher à Andenne. De quoi proposer un bilan équilibré et un collectif en progression pour leur première saison en R1 et avant de recevoir samedi Ans pour un derby qui s’annonce aussi explosif qu’offensif. Interview.

Damien, quel match à Andenne !

Nous sommes passés par toute la gamme des émotions lors de cette rencontre… Nous avons commencé par onze ou douze minutes de feu avant de nous écrouler les huit suivantes. Nous avons réussi à gérer la deuxième mi-temps mais ce ne fut pas simple entre les blessures et les joueurs qui furent obligés de changer de poste. Nous nous sommes faits très peur quand les Oursons sont repassés devant à une minute et trente secondes de la fin…

Mais vous êtes parvenus à arracher la victoire, 83-88.

Cette victoire était importante et ce fut surtout une victoire d’équipe ! Nous sommes allés la chercher au mental, avec beaucoup de caractère. Elle nous fait du bien !

Vous voilà avec un bilan équilibré pour votre première saison en R1 et avant de recevoir Ans ce samedi pour un derby qui s’annonce explosif et offensif.

Nous avons progressé dans notre jeu collectif. Nous jouons de plus en plus les uns pour les autres et nous trouvons plus facilement sur le terrain.

« La stabilité et la sérénité dont nous avons besoin grâce aux vieux briscards »

Contre Ans, Martin Lesuisse et les Grenouilles ont parfaitement débuté la seconce phase de R1 en empochant le derby, 72-57. De quoi envisager avec enthousiasme le prochain déplacement à Belleflamme pour un autre duel sous haute tension.

A domicile, les Grenouilles ont assuré face à une équipe d’Ans jamais facile à manoeuvrer. « Ce match s’est bien déroulé pour nous. En prenant directement les commandes de la rencontre dès le premier quart, nous n’avions plus qu’à gérer les échanges et contrôler le tempo » sourit Martin Lesuisse. « La différence eut lieu grâce d’une part à notre bon début de partie – contrairement à notre adversaire du jour – et d’autre part grâce à notre plus grande profondeur de banc. Un avantage que nous n’avions plus connu depuis longtemps (rires). Cela nous a indéniablement aidé à réaliser une meilleure fin de match avec une bonne gestion de nos choix offensifs. »

Une observation pertinente car si le noyau de Cointe est bourré de qualités, il s’avérait trop étriqué depuis le début de saison. « C’est presque impossible de savoir si nous avons progressé ces dernières semaines tant l’équipe que nous présentons le week-end est chaque fois différente » constate Martin. « J’espère juste que les vieux briscards de l’équipe viendront le plus souvent possible afin de nous assurer la stabilité et la sérénité dont nous avons besoin. »

Ce vendredi, les Grenouilles iront à l’ABC Arena pour un autre derby face à une équipe de Belleflamme trop inconstante depuis la reprise et qui présent un bilan équilibré – quatre victoire et autant de défaites – par trop peu en adéquation avec les ambitions, le talent et l’expérience affichés. Les Haricots sortent d’un revers contre Saint-Louis et restent surtout sur trois revers de rang.

« Je voulais vraiment jouer avec mon papa »

Aujourd’hui, Liège & Basketball vous emmène à la découverte de Julien Mathy, la pépite de Belleflamme. Entretien.

Julien, peux-tu nous retracer ton parcours basket ?

J’ai commencé à jouer en baby à Esneux et puis directement après, je suis parti à Prayon où j’ai eu mon papa puis ma maman comme entraineurs. Ils m’ont beaucoup appris au niveau technique mais je râlais beaucoup trop (rires). Ensuite, j’ai pris la direction de Belleflamme pour y évoluer en U14 régional. J’ai également beaucoup appris avec Maxime Clavier et là, j’ai commencé à savoir me canaliser.

Qu’apprécies-tu particulièrement dans le basket ?

L’esprit d’équipe. Mes coéquipiers sont de vrais amis sur le terrain et en dehors.

Quel type de joueur es-tu ?

Je suis un joueur fort défensif. Je pense posséder une bonne gestion du jeu en tant que meneur et j’ai toujours une grosse envie de gagner.

Quels sont tes points forts ?

Mon dribble, ma rapidité aussi et ma défense.

Et ceux sur lesquels tu dois encore progresser ?

Je dois améliorer mon mental même si, depuis mon arrivée à Belleflamme, j’ai énormément progressé dessus.

Justement, qu’aimes-tu dans ton club de Belleflamme ?

C’est un club familial où j’ai eu une bonne opportunité pour intégrer deux équipes hommes – la P2 et la R2 – et aussi jouer en U18 régional.

Tu avais une proposition de Limburg. Pourquoi avoir choisi de poursuivre avec les Haricots ?

J’ai décidé de rester à Belleflamme car je voulais vraiment jouer avec mon papa, que j’avais l’opportunité d’intégrer la R1 et de pouvoir jouer dans trois équipes.

Quelles sont tes envies pour cette année ?

Jouer le milieu du classement – voire plus – en P2 et décrocher le maintien en R2.

Et tes rêves pour le futur ?

J’espère encore progresser pour pouvoir jouer plus haut et peut-être même quitter la Belgique.

As-tu des modèles qui t’inspirent ?

Oui, mon papa, Stephen Curry et aussi le mental de Kobe Bryant.

Crédit photo: DR