« Le manque de basket sous toutes ses formes »

Comme nous le pressentions, Marc Jérôme n’a pas tardé à retrouver de l’embauche: il rejoint la R1 de Cointe pour y devenir le T2 de Tony Fernez.

Marc, qu’est-ce qui t’a convaincu de rejoindre les Grenouilles ?

Le manque de basket, tout simplement, et sous toutes ses formes: le côté sportif, l’adrénaline des matchs et les échanges humains. J’ai reçu l’opportunité d’être avec mon ami Tony Fernez pour réaliser de belles performances avec de bons gars.

Avec, toutefois, une petite « clause » dans le contrat.

C’est exact. Une chose est très claire entre nous: si une opportunité (ndlr: comme T1) s’offre à moi, je suis libre de prendre une autre direction. Je remercie donc Tony Fernez, Jean Levoz et tout le comité de Cointe pour leur confiance.

Pourras-tu déjà prendre place sur le petit banc ce samedi contre Ciney ?

J’espère en tout cas que tout sera en ordre administrativement pour que ce soit le cas.

« Les valeurs croates »

C’est une annonce qui a fait du bruit sur les réseaux sociaux et qui met déjà en ébullition le microcosme du basket liégeois: l’annonce de la création prochaine d’un club de basket croate à Liège. Un projet porté par la star de la télé-réalité Nikola Lozina qui voudrait reproduire sur les parquets ce qu’il a réussi sur les pelouses avec le Croatia Wandre.

« Il faut savoir qu’il y a déjà eu un club croate, le « Mladost Liège », créé en 85 en corpo avec, notamment, à la manoeuvre, le papa des fils Brajkovic et chapeauté par le curé de la communauté croate, et qui évoluait à l’époque à Saint-Servais » nous rappelle Mario Lozina, l’oncle de Nikola et le papa d’Adrien, pivot bien connu en région liégeoise et redouté par tous ses adversaires. « L’objectif serait de faire renaître cette expérience en créant un nouveau matricule ou en reprenant un matricule déjà existant. »

Avec une volonté affichée, celle de faire rejaillir l’identité croate et les valeurs qu’elle véhicule, sur le terrain et en dehors. « Une envie pour les immigrés croates qui ont trouvé en Belgique un terre d’accueil formidable pour s’y établir, s’y épanouir et prospérer » souligne le charmant quinquagénaire dont le rôle dans le futur organigramme – si le projet voit le jour – reste encore à définir. « Les objectifs sportifs seraient avant tout de prendre du plaisir sur le terrain, de proposer du show, du beau spectacle lors des matchs, d’avoir du monde dans les gradins et de pouvoir faire la fête comme la communauté croate sait si bien la faire. »

Une façon de reproduire ce que le Croatia Wandre est parvenu à faire en football où l’engouement autour du club est spectaculaire, les supporters nombreux et l’ambiance indescriptible. « Il y a même des Tifos » souligne Mario qui souhaite que son neveu Nikola – qui vit désormais à Dubaï – s’implique réellement dans le projet. « Sa notoriété serait un accélérateur évidemment et cela va bien au-delà du sportif, son image pouvant servir le club. » Et d’ajouter: « A l’époque, les footeux allaient voir les basketteurs et inversement et ce serait génial de revivre cela, de faire des ponts entre les deux disciplines. »

Sur le terrain, l’équipe alignée aurait fière allure avec quelques joueurs affichant un certain pedigree. « Il y a déjà un futur noyau de huit joueurs qui tient la route » nous informe l’ancien coach de Saint-Louis. Quant au lieu où ce futur club prendrait ses quartiers, rien n’est encore arrêté même si deux pistes sérieuses tiennent la route. « Si nous voulons concerner un maximum de personnes et susciter de l’engouement, il faut que cela soit à Liège » nous précise toutefois Mario.

Un superbe projet, à la fois sportif et social, permettant de renforcer les liens de l’importante communauté croate à Liège tout en véhiculant les valeurs chères à cette diaspora.

Crédit photo: PP Photography Amateur (Adrien et Mario Lozina et Martin Francoeur dont la science du shoot en fait presque un Croate)

Panthers après Fromagères !

C’est une grande première dans la jeune histoire du cercle des hauteurs du Sart Tilman. Pas vraiment fair-play le mentor de Boom au coup de sifflet final. Braine entre en piste (sans ses supporters) tandis que les Anversois s’apprêtent à la quitter sur la pointe des baskets. Ce sont les infos d’EMCE.

Coupe de Belgique : les Angleuroises se rapprochent du graal

« Vu la force offensive des Phantoms, c’est en défense que nous devons gagner le match », prévenait Pierre Cornia en préambule à la « demie » de Boom. Emmenées par cette compétitrice née qu’est Rotberg (27 pts, photo à gauche), les nôtres filaient à 34-48 (22e) avant qu’une exceptionnelle Joris (35 p, 15 r) ne rende espoir aux siennes à 69-72 (36e). Mais, les Angleuroises reprenaient définitivement leurs distances à 71-83. Place pour une finale programmée pour le 13 mars contre Braine ou Malines. On sera fixé le 26 janvier prochain. « Nous aurions pu revenir au score, mais j’observe que nous avons obtenu 9 lancers francs pour 34 à nos rivales. Disons que l’arbitrage était d’un niveau très discutable », se plaint Sven Van Camp, le mentor néerlandophone. Etonnant : connaissez-vous la dernière équipe principautaire à avoir disputé une finale de coupe de Belgique ? C’était… Herve/Battice en 2005 étrillé (40-101) par Namur à Louvain. Panthers après Fromagères, donc.

EuroCup : Braine face à de sérieux dilemmes sportifs et financiers

« Nous aurions aimé que ce match serve de test au niveau d’un nombre limité de spectateurs, mais cette proposition nous a été refusée », constate désabusé le président Platiau, « Sans public, nous estimons notre perte à 25.000 €. Nous avons même songé à déclarer forfait, mais nos joueuses et nos supporters ne le méritent pas. » Voilà pourquoi, les Brainoises se lanceront à l’assaut, ce jeudi (20 h 30), de Prometey. Soit, un champion d’Ukraine survolant sa compétition de la tête et des épaules : 17 sur 18. Quant à la seconde manche, elle se disputera là-bas dès la semaine prochaine. A noter dans les rangs brabançons la présence de l’… Ukrainienne Berezhina.

A travers l’Europe : Anvers battu comme Contern et Sparta Bertrange

Les semaines se suivent et se ressemblent pour les Giants en Ligue des Champions. Cette fois, les Anversois (Tiby 19) ont subi la loi (86-72) des Italiens de Reggio Emilia. « Nous devions mieux finir, mais nous avons raté trop d’occasions ouvertes », conclut Guy Muya. Il y avait championnat, hier soir, au Grand-Duché et ça n’a pas rigolé pour nos représentantes : Contern et Fuger s’inclinent « on the buzzer » (63-67) face aux modestes Wiltzoises. Revers aussi pour le Sparta (Henket 5) des œuvres de Dudelange (94-54). En revanche, le St-Vithois Sarlette (0) et Ettelbrück s’imposent (68-79) à Esch privé de sa paire US ( ?).

La télé crève l’écran

A 21 h, VOOsport World 1 retransmettra le duel entre Barcelone et Istanbul. Si la rencontre était reportée, la chaîne trouvera une autre confrontation selon les « disponibilités ».

Michel Christiane

Crédit photo : MC

« Formidable les soirées où tout rentre »

Contre Hasselt, Maxime Princen a flambé et collé 38 points aux Limbourgeois. Entretien.

Max, tu as planté 38 points contre Hasselt ! Est-ce ton record en seniors ?

En D3, oui, il s’agit de mon record mais, en seniors, celui-ci est de 42 points, inscrits avec Cointe la saison précédente.

Comment t’es-tu senti sur le terrain ?

Je ne sais pas vraiment expliquer ce sentiment. C’est juste formidable des soirèes comme celle-là où tout rentre. Je remercie mes coéquipiers d’avoir joué pour moi pendant un long moment.

Ce samedi, ce devait être le match contre Spa. Y aura-t-il eu une motivation supplémentaire après votre prestation mitigée à l’aller et l’opinion du pivot de Spa selon qui Neufchâteau vous est supérieur ?

Malheureusement, Ludo Humblet s’est fait opérer du dos mercredi et ne sera pas encore capable de nous coacher ce week-end, nous avons donc reporté ce match pour lequel nous aurions dû nous concentrer pour afficher un autre visage qu’au match aller où nous avions clairement manqué d’intensité.

Crédit photo: PP Photography Amateur

« Une réunion orientée business »

Nul doute, Dennis Rodman fut déterminant dans le second three-peat des Bulls. Mais le meilleur rebondeur de tout les temps a dû montrer patte blanche en arrivant dans la Windy City.

Après de belles années aux Pistons – avec deux titres à la clé – de l’époque « Bad Boys », Dennis Rodman avait été envoyé aux Spurs où il avait pu commencer sa moisson de titre de meilleur rebondeur de la ligue. Mais la personnalité atypique de The Worm ne collait pas beaucoup avec la philosophie de Gregg Popovich qui n’a pas hésité à l’envoyer aux Bulls contre des cacahuètes. « Quand je suis arrivé aux Chicago Bulls en 1995, les gens ne savaient pas à quoi s’attendre de ma part. Mais de mon côté, j’arrivais avec la rage.Car les San Antonio Spurs venaient juste de se débarrasser de moi contre… quasiment rien du tout. Will Perdue, et c’est tout ! Franchement, je me disais ‘mais c’est quoi cette connerie ?’ » a ainsi raconté Dennis Rodman pour ESPN.

Heureusement, ce transfert allait se révéler un coup de génie des Bulls et profitable tant à Rodman qu’à la franchise de Chicago. Mais avant d’aller aspirer les rebonds pour les Taureaux, Dennis la Malice a dû montrer patte blanche. « Quand j’ai été transféré de San Antonio à Chicago, j’ai été chez Jerry Krause et lui, Michael Jordan, Scottie Pippen, moi, sa femme, trois chiens, un chat et Phil Jackson étaient là. Nous étions tous là dans la maison de Jerry Krause, assis en triangle. On ne s’est pas parlé du tout, c’était une réunion orientée business. Et Phil est venu me voir et m’a dit : ‘Dennis, avant qu’on te mette dans l’équipe, tu pourrais me rendre un service ?’. Je lui demande quoi et il me dit : ‘Tu pourrais aller voir Scottie Pippen et lui dire que tu es désolé ?’. J’ai répondu : ‘Désolé pour quoi ?’. Il a dit : ‘Tu sais, pour ce qui s’est passé dans cette série en 91’. J’ai dit : ‘Tu veux que je m’excuse pour ça ?’. Il a dit : ‘Tu veux bien le faire s’il te plaît ?’. J’ai dit d’accord. Je suis allé voir Scottie et j’ai dit : ‘Scottie, je suis désolé pour ça man, tu sais, de t’avoir poussé en sortie’. Scottie a dit : ‘T’en fais pas, c’est bon, c’est bon, on veut juste gagner un titre’. Il m’a demandé : ‘Tu es avec nous ?’, j’ai dit : ‘Carrément oui, je suis avec vous !’. C’est comme ça que j’ai signé le contrat. Il fallait que je m’excuse d’abord auprès de Scottie (rires) » a raconté le tatoué le plus célèbre de la ligue.

« Pour la première fois enfin au complet »

La jeune P2 d’Alleur commence 2022 comme elle a terminé 2021: par une victoire ! Les All Blacks pourront enchainer samedi contre Hannut, co-lanterne rouge de la P2A en compagnie d’Aubel.

« Nous sommes très heureux de démarrer 2022 par une victoire » sourit Martin Di Prospero. « Nous nous attendions pourtant à un match piège car les US ont encore besoin de victoires pour se sauver mais nous nous en sommes bien sortis. »

Pour éviter de se compliquer la tâche, les All Blacks rentraient bien dans la partie dont ils prenaient immédiatement les commandes. Malgré quelques hauts et bas, ils parvenaient à conserver leur avance jusqu’au coup de sifflet final pour s’imposer 67-94. « Pour la première fois de la saison, nous étions enfin au complet alors que notre adversaire n’alignait que six joueurs » souligne le pivot d’Alleur. « Nous avons ainsi pu courir et maintenir une pression constante et, logiquement, dominer physiquement à la fin du match, consolidant notre avance. »

Samedi, les Alleurois recevront Hannut qui s’est effondré à Comblain, laissant le Mailleux quitter la zone rouge. Les Awansois seront, eux, bye.

« Mathieu et Tumwesige en double-double, Wathelet précis derrière l’arc »

Mais où les Collégiens s’arrêteront-ils ? Après avoir connu des ratés à l’allumage, les jeunes de Saint-Louis viennent d’enregistrer une sixième victoire de rang en P3A.

La trêve des confiseurs ne semble pas avoir brisé l’élan des Collégiens qui se sont imposés 79-57 contre Ensival. « Sans vouloir minimiser notre victoire, Ensival était déforcé. Les visiteurs n’ont cependant rien lâché mais nous avons réalisé une belle prestation collective » contextualise Antoni Irrera (9 assists et 5 interceptions)

Avec Egide Tumwesige (11 points et 13 rebonds) et Will Mathieu (19 points et 13 rebonds) en double-double et Romain Wathelet (24 points dont 5 bombes) précis derrière l’arc, Saint-Louis a déroulé son basket. « Louis Fourneau et Arthur Evrard ont assuré à l’aile tandis que notre camarade Romain Roccourt (12 points) est venu nous prêter main forte avec une prestation solide » souligne le meneur local. « Avec une série de six victoires d’affilée, nous pouvons entrevoir avec confiance notre futur match contre la solide équipe de Spa. »

Crédit photo: PP Photography Amateur

« Un chouette club familial et une équipe avec un beau potentiel »

A Henri-Chapelle, Fred Ledain s’épanouit et se réjouissait de retrouver « de la légèreté, des plaisirs simples et conviviaux » après la succession de coups durs de ces derniers mois. Avec un noyau talentueux et expérimenté, la P2 capelloise est l’un des acteurs à suivre d’un championnat de P2B qu’elle reprendra ce jeudi avec LE choc tant attendu contre Verviers qui pourrait déjà s’avérer décisif pour le titre.

« Dans les circonstances que certains traversent actuellement, le basket peut paraître tellement futile mais après la crise sanitaire que nous subissons depuis trop longtemps et avec la tragédie des dernières semaines nous aspirons tous à de la légèreté, à des plaisirs simples et conviviaux » résumait, avec justesse et en début de saison, Fred Ledain qui peut compter sur un effectif aussi talentueux qu’expérimenté pour cette saison à nouveau perturbée – heureusement modérément – par la crise sanitaire

Pour encore renforcer un noyau qui a fière allure, les Capellois avaient enregistré le retour au bercail de Thibaut Remacle. « Le retour de Thibaut, conjugué à la prolongation de beaucoup de joueurs cadres de l’équipe laisse espérer un beau potentiel » reconnaissait celui qui a formé pléthore d’excellents joueurs à SFX. « Reste à voir quelles seront les conditions dans lesquelles cette saison pourra se dérouler car beaucoup de clubs souffrent des conséquences des inondations. »

A la salle de la fusée, Fred Ledain se sent comme un poisson dans l’eau. « Je comprends le sentiment de Thibaut par rapport au club de Kapel car j’y ai été très bien accueilli depuis 2 ans, à tel point que j’ai accepté d’y reprendre une équipe U12 en plus de la P2 » sourit le Verviétois. « C’est un chouette club familial dans lequel mon épouse, mes filles et moi nous sentons très bien. L’avenir nous dira où cela nous mènera mais je suis très heureux et excité à l’idée de démarrer la saison. »

L’avenir s’annonce plutôt radieux pour les protégés de Fred qui sont leaders invaincus de la P2A et qui débuteront leur second tour ce jeudi contre Verviers, un adversaire de taille qui ne compte qu’un seul revers. Un véritable topper pour un derby et une rencontre qui devrait assurément valoir le détour.

Liège en plein « Boom » ?

La phalange du Bois Saint-Jean inscrira-t-elle une finale de la coupe de Belgique à son palmarès 2022 ? Réponse, ce mercredi, sur le coup de 22 h 15. Sûr que les Anversois devront être « Giants » s’ils désirent aller rafler la mise à Reggio Emilia et premier point de chute de Den Bosch. Ce sont les infos d’EMCE.

Coupe de Belgique : les Panthers à quarante minutes de la finale

« Nous avons la chance de n’affronter aucune grosse cylindrée au sein de notre tableau qualificatif. Notre premier réel rival sera Boom en « demie ». Raison pour laquelle, nous devons viser une place en finale. » Tels étaient les propos de Pierre Cornia (photo) lors de la présentation de l’équipe. Et ce soir (20 h 30), les Panthers mettent justement le cap sur la banlieue anversoise dans l’unique but de l’emporter. En face, les protégées de Sven Van Camp veulent y croire aussi : « Notre préparation n’a pas été simple car, au retour de notre dernier match en 2021 à Namur, 16 des 18 personnes présentes ont été testées positives », note le coach, « Disons que les Liégeoises me paraissent plus fortes sur le papier, mais nous avons l’avantage d’évoluer à domicile. » Suspense garanti !

Ligue des Champions : choc des extrêmes pour Anvers en Italie

En C2, la lanterne rouge métropolitaine (0 sur 2 mais avec son meneur scandinave) s’ira défier, ce soir (20 h 30), le leader invaincu du groupe (2 sur 2). Après un voyage assez mouvementé : annulation dans la matinée du vol Charleroi – Bologne, cap sur Charles de Gaulle et arrivée en Italie en fin de journée de mardi. En fait, Reggio Emilia s’illustre plus sur la scène européenne qu’en en championnat où il pointe en 11e position sur 16. La rencontre se déroulera dans un vaisseau pouvant contenir 11.000 personnes… en temps normal. Dans le camp anversois, on demeure sur un succès sans relief face à des Alostois réduits à six et sans Yves Defraigne. « Si nous voulons conserver une chance de qualification, une victoire aujourd’hui serait la bienvenue », prévient Christophe Beghin. Tellement bienvenue qu’elle est quasiment indispensable.

BNXT League : premier faux-pas de Den Bosch après 14 succès de rang

Le dernier week-end en date était émaillé par le choc batave opposant Leiden à Den Bosch. Cette dernière équipe demeurait sur quatorze victoires consécutives forte de ses quatre éléments ayant déjà presté sur nos parquets : Hammink (Charleroi), Kherrazi (Kangoeroes), Prince (Limburg) et Van der Mars (Alost). Cependant, il n’y aura pas de 15 sur 15 car le champion en titre exploitait d’abord l’exclusion de Hammink dès la 7e minute pour prendre la suite des échanges à son compte et l’emporter sans discussion sur le score de 85 à 70.

La télé crève l’écran

A la Ste-Tatania, le CSKA Moscou rend visite au Panathinaikos. Ca tombe bien : VOOsport World 1 sera de la fête à 20 heures.

Michel Christiane

Crédit photo : AWBB

« Nous avons un peu perdu nos moyens face au jeu très dur du 4A »

C’est par une victoire étriquée à Comblain contre le 4A Aywaille que Thibaud Masson et Pepinster ont débuté l’année. Entretien.

Thibaud, vous devez être content d’avoir évité la sortie de route à Comblain contre le 4A Aywaille. Un premier déplacement qui s’est soldé par une victoire 68-73.

Bien sûr que nous sommes heureux de commencer cette nouvelle année par une victoire. C’est toujours important pour le moral des troupes !

Comment ce match s’est-il déroulé ?

Nous ne sommes pas bien rentrés dans ce match. La 4A a joué très dur dès le début et cela nous a un peu fait perdre nos moyens. Il a fallu attendre six ou sept minutes de jeu pour que nous retrouvion un fond de jeu correct. Notre début de deuxième mi-temps était bien meilleur et nous a permis de prendre jusqu’à quatorze points d’avance. Aywaille a su revenir à notre hauteur par la suite mais nous avons bien su gérer notre fin de match.

Qu’est-ce qui a fait la différence en votre faveur pour vous permettre de l’emporter et de rester au contact d’Henri-Chapelle et de Verviers en tête de la P2B ?

Nous avons réussi plusieurs stops dans les moments importants. Offensivement, nous avons su varier notre jeu tout au long de la deuxième mi-temps, ce qui nous a permis de trouver des solutions face à l’intensité des joueurs du 4A.