« Dans la conversation pour le MVP »

Draymond Green dans la course au MVP ?

C’est en tout cas ce que semble penser le coach du Jazz. « Draymond Green est unique et il réalise une magnifique saison. Pour moi, c’est quelqu’un que l’on peut mettre dans la conversation pour le MVP. Peut-être que ses statistiques ne sont pas les mêmes que celles des autres gars que l’on met en avant, mais il a un tel impact sur le jeu, que ce soit grâce à ses passes ou à sa défense. Draymond est polyvalent et il fait les choses à sa manière. Ajoutez à cela le leadership dont il fait preuve et sa manière de communiquer… Je trouve que c’est un joueur incroyable. Il l’a déjà montré par le passé, mais cette année c’est encore plus visible » a déclaré Snyder.

Le power forward des Warriors tourne cette saison à 8.4 points, 7.9 rebonds et 7.5 passes de moyenne, au sein de l’équipe avec le meilleur bilan de la ligue.

« Les « Ultras Dragons » nous donnent un boost énorme à chaque match »

Pour Quentin Vanoost, le collectif est l’atout premier des Dragons.

A la trêve mais avec seulement huit match disputés, les Dragons comptent trois victoires. « Pas assez mais nous avons aussi connu des défaites de très peu » nuance Quentin Vanoost. « Notre collectif commence à s’écouter et j’espère vivre un meilleur deuxième tour où, justement, la pièce tombera davantage de notre côté. Car, ces petites défaites, dans une série où, hormis Comblain qui est au-dessus du lot, tout le monde peut battre tout le monde, sont les plus frustrantes. »

A Esneux, le collectif est au centre des préoccupations. « Dans notre équipe, il n’y a pas un top scoreur ou un leader offensif. Un week-end, c’est Martin Gillotay qui cartonne, un autre c’est Robin Lhoest et toujours d’autres joueurs apportent leur écot. C’est ce que je préfère dans notre groupe avec l’arrivée, au premier match, des « Ultras Dragons ». C’était amusant et ils nous donnent un boost énorme à chaque match, que nous gagnions ou perdions » ajoute l’ainé de la fratrie qui sera encore très précieux pour les Esneutois dès l’entame du second tour. « Si on recommence » conclut Quentin, hésitant.

« Clément De Liamchine est monstrueux »

Pour Liège & Basketball, Jérôme Niedziolka fait le bilan du premier tour de l’Etoile Jupille au sein de l’élite provinciale.

« Je trouve notre bilan mitigé. Nous pouvons mieux mais ce n’est pas facile de revendiquer plus en ne s’entrainant qu’à moitié » constate Jérôme Niedziolka qui, malgré les six revers en onze matchs de l’Etoile Jupille, a savouré la reprise du basket après un an sans jouer. « C’était quelque chose. Par contre, évoluer sans public, cela a mis un coup à tout le monde. Et il faut le dire, ce n’est pas pareil avec personne autour du terrain. »

Leur plus gros faux-pas, les Etoilés l’ont commis contre Union Liège. « Nous menions de six points à deux minutes du terme. Cette défaite a laissé des traces » concède « Polska » avant d’évoquer son coéquipier Clément De Liamchine. « Je ne peux pas parler de révélation le concernant mais il est vraiment monstrueux. Si, en plus, il se met à jouer défense de temps en temps, il peut faire des dégâts. »

Comme beaucoup d’autres basketteurs, Jérôme espère voir le ciel s’éclaircir pour le sport amateur. « Rejouer avec du public, faire des fêtes après les matchs et mettre le Covid derrière nous: ça, ce serait top ! Quant à nos objectifs, faire mieux que le premier tour ne me semble pas insurmontable. J’espère que cela se réalisera » conclut avec optimisme ce féroce rebondeur.

« Cela aurait été difficile de mettre plus de vingt personnes dans mon salon »

L’aventure « The Voice Belgique » continue pour Marvin Albert. Entretien.

Marvin, tu dois être sacrément content d’avoir été séléctionné pour poursuivre l’aventure à The Voice Belgique !

Oui, je suis super content, bien sûr. Comment ne pas l’être quand la musique est une aussi grande passion pour moi ?

Qu’est-ce que Christophe Willem – le coach qui t’a choisi – peut spécifiquement t’apprendre ?

Vocalement parlant, je pense vraiment que c’est lui qui a le plus à m’apprendre par rapport à tous les autres coachs qui ont leurs qualités mais qui s’écartent davantage de mon univers musical.

Ton ami et partenaire – Marvin et lui évoluent habituellement en duo – poursuit lui aussi son chemin dans l’équipe de Typh Barrow.

Je suis super content pour Adri. Pouvoir faire un bon de chemin ensemble, c’est juste « ouf » ! Et puis, bien évidemment, le public pourra nous découvrir séparement mais il pourra aussi découvrir notre duo.

Le club de Sprimont dans lequel tu joues au basket avait ouvert sa buvette mardi pour permettre à tous tes « supporters » de suivre ta prestation. Un geste qui t’a touché ?

Oui, et je remercie vraiment Laurent Beck qui n’arrête pas de me suivre quotidiennement dans cette passion. Avoir organisé cela, ça me touche encore plus. D’autant plus que cela aurait été difficile de mettre plus de vingt personnes dans mon salon (rires).

« Un athlète talentueux qui n’a pas arrêté de progresser au fil des années »

Ancien coéquipier de Romain Boxus à Antibes, Killian Tillie brille avec les Grizzlies.

A Antibes, Romain Boxus partageait l’affiche avec de sacrés gaillards dont certains brillent en NBA et au plus haut niveau européen. « Nous imaginions que certains joueurs avaient un énorme potentiel mais nous n’avions aucune certitude quant au niveau qu’ils atteindraient. Mais pour moi, ce qui est certain, c’est que chacun a continué de suivre ses rêves et s’est donné les moyens d’y accéder. Après, c’est juste merveilleux que Tim et Isaïa se soient chacun faits drafter en NBA. Quand je repense à toutes les fois où nous analysions et débattons sur les matchs qui s’étaient tenus durant la nuit précédente. Ils avaient dès lors l’occasion de faire partie de cela » nous avait confié l’ancien Sang et Marine.

Si Killian Tillie n’a pas été drafté, il est désormais détenteur d’un « two-way contract » avec les Grizzlies et vient même de signer un contrat de plusieurs millions de dollars sur deux ans ! « C’est super pour lui car il est un athlète talentueux qui n’a pas arrêté de progresser au fil des années. Mais tous les autres joueurs de l’équipe ont aussi continué et rivalisé en France ou ailleurs. Cela prouve quand même que nous avions un groupe composé de compétiteurs » nous avait encore expliqué Romain.

L’intérieur tricolore brille actuellement avec Memphis. « J’y ai cru en permanence. Je n’ai pas pensé que les blessures pourraient me stopper » déclare-t-il aux médias US. « Je ne me sens pas vraiment comme un two-way. J’ai l’impression de vraiment faire partie de l’équipe, surtout ici. Le coach ne porte pas d’intérêt à cela. Il a confiance en moi, il aime mon jeu et il a me fait confiance en me faisant entrer en jeu. Donc j’essaie d’être sérieux et je fais en sorte d’être bon. »

« Le cerveau de l’équipe »

Présent à NYC pour la Saint-Sylvestre, Gael Colson n’a pas manqué de faire un saut au Barclays Center pour assister au match entre les Nets et les Clippers.

Pour fêter la fin d’une année 2021 à la fois compliquée – Covid et ses conséquences – mais aussi très réjouissante – récente paternité -, Gael Colson, grand amoureux des States, avait eu l’excellente idée de prendre un vol en direction de Big Apple. Et vu que les Knicks semblent moins fringants que la saison passée, l’ancien shooteur vedette de Pepinster a opté pour Brooklyn pour recevoir sa dose de « NBA Basketball ». Au menu ? La réception des Clippers toujours privés de Kawhi Leonard. « C’était impressionnant de voir tous ces incroyables joueurs de si près. J’ai pu me rendre compte à quel point ils sont monstrueux » sourit le coach de la P1 de Bellaire qui fut marqué par de nombreuses choses durant cette belle soirée vécue au Barclays Center. « La facilité avec Kevin Durant score est impressionnante. Avec sa taille et son shoot, il est inarrêtable. Quand il veut marquer, c’est dedans. Et si James Harden est pénible à regarder à cause de sa nonchalance, il a cale aisément un triple double avec 32 points, 12 rebonds et 11 passes tellement il est malin et précis. C’est le cerveau de l’équipe, je n’avais jamais vu ça. Tout comme la précision de Patty Mills, une vraie machine derrière l’arc. »

Chez les Angelinos aussi, Gael a apprécié le shox. « La puissance physique de Blesdoe est sidérante. On dirait un joueur de NFL » rigole l’ancien mentor de LAAJ. « Par contre, alors que les Nets ont perdu après voir mené 47 minutes et 40 secondes, ils continuaient de rire, comme s’ils s’en foutaient. Cela m’a chiffonné ! » Et de conclure. « Je ne suis toujours pas revenu du coaching de Steve Nash, qui joue avec seulement sept joueurs ! »

« Dix allers-retours en moins d’une minute »

Pour Liège & Basketball, Maxime Princen revient sur la belle aventure comblinoise. Interview.

Max, quel bilan fais-tu de cette première moitié de saison ?

Nous avons fait le boulot… Avec des hauts et des bas, de très bons matchs et d’autres moins bons, nous avons rempli notre objectif de début de saison.

Quels furent les meilleurs moments que tu as vécus avec le Mailleux ?

Pour l’aspect non-sportif, cela restera sans aucun doute le team building autour du feu en début de saison. Au niveau sportif, la venue d’Ostende avec une salle remplie comme je ne l’avais jamais vue fut sans doute un de mes plus beaux souvenirs de basketteur.

Et le pire ?

Il n’y en a pas vraiment eu… Chaque fois qu’il y a un problème, ne prenons le temps d’en discuter tous ensemble dans le vestiaire. Mais j’oubliais quand même quand Ludo Humblet nous demande de faire dix allers-retours en moins d’une minute (rires).

Quel fut le fait marquant de ce premier tour ?

La venue d’Otende, évidemment, mais plus généralement, c’est le fait que nous soyons attendus partout. Chaque semaine, c’est la guerre.

Lequel de tes coéquipiers s’est le plus distingué ?

Je n’ai pas vraiment un MVP en tête car ce qui est magique à Comblain, c’est que tout le monde peut prendre feu et scorer vingt points. D’ailleurs, le scoring n’est jamais le même d’une semaine à l’autre… C’est ce qui fait la dangerosité de notre équipe. Mais si je dois en choisir un, j’opte pour Coco Rondoz car même si je le connais bien maintenant, il est toujours aussi impressionnant et indispensable à l’équipe.

Quels sont tes souhaits pour 2022 ?

Tout ce que je souhaite et bien au-delà des résultats, c’est de nous continuer à m’amuser, à prendre du plaisir, rester avec des personnes que j’apprécie et jouer car c’est notre passion commune.

Et quels seront vos objectifs pour le second tour ?

Ils resteront inchangés: aller à la guerre chaque match, respecter les consignes et donner tout ce que nous avons quand nous sommes sur le terrain. Si ces objectifs-là sont remplis, nous verrons où cela nous mène !

« Une véritable star du basket féminin chez nos voisins »

Les Pepines accueillent un super renfort.

La TDW1 pepine se renforce. « C’est sinistré mais la tête haute que le RBC Pepinster East Belgium souhaite lancer l’année 2022. L’arrivée de Jill Bettonvil, poste 4-3 de 1,88 m et d’origine néerlandaise, est annoncée pour venir compléter l’effectif de son équipe de TWD1.Jill est une véritable star du basket féminin chez nos voisins où elle est internationale depuis de nombreuses années. Son CV est d’ailleurs impressionnant, elle a gagné deux fois le championnat et la coupe des Pays-Bas en 5-5. Elle a également remporté le championnat et la coupe en Allemagne avec le TSC Herner et a obtenu une médaille d’argent à la FIBA 3×3 Europe Cup 2018 en Roumanie. C’est suite à ce dernier résultat qu’elle a décidé de se consacrer pleinement à la compétition 3c3, avec sa sœur de deux ans sa cadette, afin de viser une qualification pour les J.O. de TOKYO qu’elles ont raté de peu. Le cœur brisé par cette non qualification, elle a décidé d’attendre avant de se relancer dans une nouvelle compétition mais ces derniers temps le basket lui manquait trop. C’est donc chez nous, consciente du challenge qui l’attend, qu’elle va reprendre le 5c5 et essayer de participer à notre opération sauvetage. Nous lui souhaitons évidemment la bienvenue dans notre club et espérons que sa grande expérience, ses qualités sportives et humaines porteront notre équipe » annonce Pepinster dans un communiqué.

D’une année à l’autre

Si les compétitions ont longtemps été mises en veilleuse en cette période de fêtes, l’activité s’est révélée extrêmement intense en coulisse. Et a concerné pas mal de nos Principautaires. Comme vous allez pouvoir vous en rendre compte à la lecture d’un bilan à cheval sur 2021 et 2022. Ce sont les infos d’EMCE.

Après la Turquie, E. Mayombo veut retrouver la joie de jouer en Espagne

A la mi-décembre, la Liégeoise (29 a, 1,70 m, photo) ne figurait pas sur la feuille de stats d’Antalya 07. Il y avait effectivement anguille sous roche car on apprenait, peu après, qu’Emmanuella avait signé à Clarinos Ténériffe, l’actuelle lanterne rouge ibère. Elle espère donc retrouver la joie de jouer en Espagne où, entre les réveillons, elle était déjà alignée (8 pts) lors du déplacement perdu (88-56) à Valence avec Celeste Trahan-Davis (ex-Braine). Sur l’île, elle s’aligne en compagnie d’Ivina Tikvic (27 a, 1,94 m), ayant fait la préparation avec Braine en 2020 avant de se retirer sur ses terres croates.

Selon le site « Eurobasket », Emma Meesseman est la n°1 européenne

Depuis 18 ans déjà, le site de référence « Eurobasket » décerne, via le vote de spécialistes (agents, coaches, journalistes) ses Awards de l’année. Et (heureuse) surprise, deux Belges figurent dans le 5 majeur continental : Julie Allemand (meilleure distributrice) et, bien évidemment, l’incontournable Emma Meesseman (meilleure centre). La plaque tournante des Cats qui ne s’arrête d’ailleurs pas en si bon chemin puisqu’elle est, en outre, élue « Joueuse Européenne 2021 » toutes catégories confondues. Respect !

Autre arrivée de l’autre côté des Pyrénées, celle de N. Jankovic (ex-Pepin)

Lors de son séjour wegnolais (de 13 à 15), Nikola Jankovic (27 a, 2,06 m) avait laissé entrevoir un réel potentiel. Surtout physique. Le Serbe a néanmoins éprouvé du mal à confirmer. Il a entamé la saison au Mega Belgrade avant d’être recruté récemment par les décideurs de Breogan Lugo (6e sur 18 de l’Endisa Liga). Outre le fait de devenir l’équipier de Tyler Kalinoski (29 a, 1,93, ex-Anvers), le solide Nikola trouvera en Galice l’opportunité de rebondir sur la scène européenne.

Vevey Riviera et Niksa Bavcevic survole le match au sommet de D2 suisse

Si Jankovic avait débarqué à Pepinster, c’était grâce à Niksa Bavcevic. Pour l’heure, le coach belgo-croate permet à Vevey Riviera de lorgner avec insistance vers un retour au sein de l’élite helvète. Juste avant la Noël, le choc de l’antichambre suisse opposait ses troupes à celle de Morges. Le moins que l’on puisse écrire est que les spectateurs furent privés du moindre suspense. En effet, Vevey explosait son adversaire sur le score sans appel de… 82 à 45. D’aucuns se souviendront que Morges avait été un des derniers clubs de Julien Rahier, le Jevoumontois de Huy et du Paire.

De Mokango à Pearson en passant par cette vieille connaissance de Katic

Pas grand monde se souvient de Chanel Mokango (33 a, 1,88 m) arrivée au Dexia Namur en février 12 pour y clôturer la saison. Cette fois, la Congolaise passe de Leganès (D1 esp) à Ezalig Idare (13e/14 en Turquie). Là-bas, elle y remplace la Russe, Albina Razheva (27 a, 1,88 m, Braine 18/19), débarquant à Gyor (4e en D1 hongroise). En revanche, on n’a pas oublié le dynamisme ravageur de Ryan Pearson (31 a, 1,98) durant son bail anversois de 13 à 15. Après une expérience mexicaine, il renforcera l’Universitario Montevideo, en Uruguay. Recruté l’an passé par Ostende, Kaleb Wasson (23 a, 2,08 m) y resta dix jours, ne s’y entraîna jamais (prétextant une blessure) et regagna les States. Cette fois, il s’est engagé par Rishion Le-Zion (D1 isr). Pour combien de temps ? Présent à Alost pour les playoffs 19, Quincy Diggs (31 a, 1,98 m) demeure en Hongrie, mais quitte Sopron (7e) pour Kaposvari (8e). Enfin, cette vieille connaissance de Radko Katic (2,08 m) fait toujours des ravages dans les raquettes. Après celles d’Ostende (15 à 17) et du Spirou (17 à 19). Depuis, il est retourné dans sa Serbie natale. Plus exactement à Radnicki où, avec la formation locale, il a étrillé 98-78 Slodes tout en enfilant 29 points. Il est d’ailleurs le meilleur marqueur de la ligue domestique, via une moyenne de près de 19 unités. Pendant ce temps, il va sur ses… 42 ans.

Après avoir écumé notre Principauté, Ferguson présent au choc autrichien

A quelques heures du réveillon de Nouvel An, le championnat autrichien était émaillé par le choc des co-leaders. Au terme de cette rencontre au sommet, le BC Vienne imposait ses vues (76-68) à St-Pölten dans sa splendide salle. Dans les rangs des visiteurs, on trouvait la trace de Chris Fergusson (32 a, 2,03 m) ayant écumé notre Principauté à l’occasion de ses débuts européens. Soit, au hall du Paire durant l’exercice 12/13 avant de prendre la direction du Country Hall de 13 à 15.

Last minute : un Ourson (ex-Huy) à Loyers B et une Batave au Paire

Le changement d’année a encore été marqué par deux arrivées importantes dans le Namurois et sur les hauteurs hoëgnardes. Pierre Baudelet avait pris en charge, l’été passé, la R1 de Huy avant de rapidement s’éclipser. Après une courte période sabbatique, l’Andennais a accepté de coacher Loyers B, lanterne rouge en R2. A Pepinster, on avait promis des renforts pour la reprise. Le premier de ceux-ci décline le profil de l’internationale hollandaise (3×3), Jill Bettonvil (29 a, 1,88 m). On y revient dès demain…

Ostende : un renfort US sous le sapin avant une expédition en Bosnie

Les Côtiers devaient encore connaitre leur rival en « play-in » de la Ligue des Champions. Désirant aller le plus loin possible dans cette compétition, ils ont pu compter sur un généreux sponsor afin d’enrôler un renfort US bien connu sous nos latitudes. Il s’agit, en effet, de Demitrius Conger (31 a, 1,98 m, photo) ayant défendu les intérêts d’Anvers en 16/17. Place maintenant à une véritable expédition en Bosnie où, dès le 4 janvier, les Ostendais iront croiser le fer avec Igokea – sorteur du POAK Thessalonique – dont la salle se trouve au milieu de nulle part : à Laktasi, un bourg de 5879 habitants. Moins encore que… Remicourt !

Michel Christiane

Crédits photos : Clarinos Ténériffe, Filou Ostende

« Poursuivre les compétitions aux conditions actuelles »

La compétition reprendra bien début janvier.

« Compte tenu que l’appel du monde sportif semblerait avoir été étendu (des décisions pourraient être prises la semaine prochaine), que le prochain Codéco » ordinaire » est programmé pour le 28 janvier 2022, jeudi soir, après réflexion, le conseil d’administration et les comités provinciaux de l’AWBB ont pris, en parfaite concertation, la décision de poursuivre les compétitions, aux conditions actuelles, à partir du week-end des 7, 8 et 9 janvier 2022 et ce pour tout le mois de janvier. D’une manière générale, les modalités sont identiques à celles qui étaient d’application en décembre 2021 » annonce l’AWBB.