Nouvelle « destination » pour Kevin Sarlette

Le Saint-Vithois, Kevin Sarlette, passe de l’Etzella Ettelbrück à Wiltz.

A la recherche de davantage de temps de jeu, Kevin Sarlette (photo) a judicieusement décidé de mettre un terme à son séjour à l’Etzella Ettelbrück (D1). Le Saint-Vithois demeure néanmoins au Grand-Duché puis qu’il défendra désormais les couleurs des Sangliers de Wiltz, un cran plus bas et coaché par un Belge en provenance du Limbourg. A noter qu’outre leur phalange masculine, les Ardennais alignent également une équipe dames s’étant maintenue au plus haut niveau et très sérieusement renforcée cet été.

M. C.

Crédit photo : Sangliers Wiltz

« Développer encore plus mon jeu dans une division supérieure »

Ethan Vanoost revient sur sa première saison en seniors avec la P1 d’Esneux et évoque son prochain défi avec la R2 de RSW Liège Basket.

Ethan, comment juges-tu cette saison d’Esneux en P1 ?

Elle fut compliquée à cause des blessures et des absences répétées aux matchs mais nous nous sommes battus jusqu’au bout et c’est le principal, malgré la descente.

Quels furent les moments forts de cette dernière campagne ?

Les quelques victoires arrachées à cinq ou six et l’expérience acquise pour ma première année en seniors ainsi que les matchs disputés en compagnie de mon frère Quentin.

Quelles sont tes envies pour la nouvelle saison qui démarrera bientôt et que tu disputeras majoritairement avec la R2 de RSW Liège Basket ?

M’amuser tout en gagnant le plus de matchs possible et developper encore plus mon jeu dans une division supérieure.

A qui le Tour ?

A qui le Tour ? Cahors, son Serbe, son Slovène et son excellent vin…

La dénomination exacte du club est Basket CahorSauzet, suite à une fusion. L’équipe majeure pointe en Nationale 3 française (5e niveau) et s’y maintient sans trop de problèmes. Pour y parvenir, elle assure ses arrières grâce à un duo étranger complémentaire. A savoir, le Slovène, Leon Dronjak (30 a, 1,90 m, D2 slovène, Italie et Allemagne), ainsi que le Serbe, Borislav Djurovic (40 a, 2,05 m, ex-D1 serbe). Quoi qu’il en soit, un dur à cuir : « Lors d’un match, l’arbitre lui signale qu’il saigne de la lèvre. Il constate qu’il lui manque deux dents qui se trouvent sur le parquet. Il les ramasse, les met dans une poche de son sac et s’empresse de revenir au jeu », se souvient un de ses ancien coach. Ce cercle est aussi réputé pour l’organisation des traditionnelles « 24 heures basket », en fin de saison. Sans oublier que le vin de Cahors est un des crus hexagonaux qui mériterait d’être plus connu et apprécié.

Michel Christiane

Le retour d’une vraie superstar au BCO

Ce showman de Brian Angola sera bientôt de retour à Ostende.

Lors de l’exercice 2019/2020, le très spectaculaire Brian Angola (28 a, 1,98 m) avait démontré l’étendue de son registre pour le plus grand bonheur des Ostendais. Pour l’heure, il termine une pige pour le compte de l’AEK Athènes. Encore fallait-il savoir où le Colombien poserait ses valises à la prochaine reprise ? On est dorénavant fixé puisqu’il s’est mis d’accord avec les Turcs du Galatasaray. Autrement dit, le public belge n’y perd pas au change car il sera de retour chez nous dès cet automne. En effet, la phalange stambouliote s’en viendra défier les… Ostendais le mercredi 5 octobre prochain. Une affiche inespérée pour les Côtiers. Surtout pour leur trésorier.

M. C.

Crédit photo : Philippe Collin

De St-Vith à la Colombie

En cette fête nationale, on a appris que le germanophone d’Ettelbrück changeait de club luxembourgeois alors que l’ancien showman colombien de la Côte arrive au Galatasaray et reviendra bientôt à la mer. A Cahors, la N3 du Lot aligne quand même deux renforts étrangers. Ce sont les infos d’EMCE.

Le Saint-Vithois, Kevin Sarlette, passe de l’Etzella Ettelbrück à Wiltz

A la recherche de davantage de temps de jeu, Kevin Sarlette (photo) a judicieusement décidé de mettre un terme à son séjour à l’Etzella Ettelbrück (D1). Le Saint-Vithois demeure néanmoins au Grand-Duché puis qu’il défendra désormais les couleurs des Sangliers de Wiltz, un cran plus bas et coaché par un Belge en provenance du Limbourg. A noter qu’outre leur phalange masculine, les Ardennais alignent également une équipe dames s’étant maintenue au plus haut niveau et très sérieusement renforcée cet été.

Ce showman de Brian Angola sera bientôt de retour à Ostende

Lors de l’exercice 2019/2020, le très spectaculaire Brian Angola (28 a, 1,98 m) avait démontré l’étendue de son registre pour le plus grand bonheur des Ostendais. Pour l’heure, il termine une pige pour le compte de l’AEK Athènes. Encore fallait-il savoir où le Colombien poserait ses valises à la prochaine reprise ? On est dorénavant fixé puisqu’il s’est mis d’accord avec les Turcs du Galatasaray. Autrement dit, le public belge n’y perd pas au change car il sera de retour chez nous dès cet automne. En effet, la phalange stambouliote s’en viendra défier les… Ostendais le mercredi 5 octobre prochain. Une affiche inespérée pour les Côtiers. Surtout pour leur trésorier.

A qui le Tour ? Cahors, son Serbe, son Slovène et son excellent vin…

La dénomination exacte du club est Basket CahorSauzet, suite à une fusion. L’équipe majeure pointe en Nationale 3 française (5e niveau) et s’y maintient sans trop de problèmes. Pour y parvenir, elle assure ses arrières grâce à un duo étranger complémentaire. A savoir, le Slovène, Leon Dronjak (30 a, 1,90 m, D2 slovène, Italie et Allemagne), ainsi que le Serbe, Borislav Djurovic (40 a, 2,05 m, ex-D1 serbe). Quoi qu’il en soit, un dur à cuir : « Lors d’un match, l’arbitre lui signale qu’il saigne de la lèvre. Il constate qu’il lui manque deux dents qui se trouvent sur le parquet. Il les ramasse, les met dans une poche de son sac et s’empresse de revenir au jeu », se souvient un de ses ancien coach. Ce cercle est aussi réputé pour l’organisation des traditionnelles « 24 heures basket », en fin de saison. Sans oublier que le vin de Cahors est un des crus hexagonaux qui mériterait d’être plus connu et apprécié.

Michel Christiane

Crédit photo : Sangliers Wiltz

« Toujours différent quand c’est quelqu’un de chez nous qu’on voit exploser à l’international »

Joueur et coach reconnu, Mando Kabeya est aussi un communicant doué et revient pour Liège & Basketball sur son expérience de travail sur le festival les Ardentes.

Mando, qu’as-tu pensé du nouveau site sur lequel sont désormais implantées les Ardentes ?

Le nouveau site est énorme ! C’est tout ce qu’on espère d’un grand festival en Belgique. C’est très grand, il y avait beaucoup de monde et, pourtant, nous ne nous y sentions pas trop à l’étroit. Aux différents stands, les files ne sont pas interminables car il y en a pour tout le monde. Les scènes sont toutes « top » et à des distances raisonnables. J’ai l’habitude de bosser au Wireless qui est probablement dans le top 3 européen et, ici, j’ai retrouvé la même chose.

Raconte-nous un peu ton expérience boulot sur ce festival où tu faisais partie de l’équipe chargée de publier du contenu sur Instagram.

Heureusement que je suis quelqu’un de très calme car il faut pouvoir gérer la pression, les imprévus et être efficace pour avoir les « shots » nécessaires en photo et/ou vidéo. Sur un festival, tu n’as le droit de « shooter » que les trois premiers titres de l’artiste, à la différence d’un concert classique où tu bénéficies d’une heure pour faire ce que tu veux. Une fois le premier quart d’heure terminé, je devais foncer au bureau de presse pour sortir une « story » de l’entrée en scène et puis j’avais quinze à vingt minutes après la sortie de l’artiste pour réaliser un « real » à poster sur les réseaux. Pas le temps de procrastiner sinon ta fenêtre se ferme car il y a un autre show qui suit juste après et où il faut être. Tout va très vite.

Quels furent tes coups de cœur de ce festival ?

J’en ai quatre ! Mon premier fut de revoir Sexion d’Assaut sur scène. Ils n’ont que des gros tubes, le public chantait tout et il y avait une énergie incroyable. Le second, ce fut Damso. Nous ne pouvions pas filmer sa performance mais j’ai quand même pu accéder au « front stage » car je le connais. Alors, j’ai vraiment profité du show et lui a vraiment interagi avec le public, le poussant à soutenir la musique belge. Il a offert des vinyles et chanté avec. Mon troisième coup de cœur alla à Lapeufra. C’est toujours différent quand c’est quelqu’un de chez nous qu’on voit exploser à l’international. C’est une fierté et cela s’est ressenti dans le public. Enfin, mon dernier coup de cœur fut Geeeko. C’est un mec que j’ai vu grandir lorsque je vivais à Bruxelles. Il voulait à tout prix que tout le monde sache qu’il faisait du rap lors de ses premières sorties en boîte et l’avoir vu maintenant aux Ardentes, c’était touchant.

Crédit photo : Mando Kabeya

A qui le Tour ?

A qui le Tour ? Pas de miracle pour Lourdes même avec Tony Worrell, ancien de Pepinster.

Prioritairement réputé pour son pèlerinage, la cité pyrénéenne compta, au début des années ’90, une équipe de basket évoluant en Pro B. Et ce, durant trois saisons consécutives. Pour se maintenir à ce niveau, le Lourdes Basket Club pouvait notamment compter sur les services de Fabien Dubos, international à 37 reprises. En proie à d’énormes difficultés financière, le club finit par disparaître et est aujourd’hui remplacé par BC Lourdais. Retour à l’époque Pro B quand, en 1993, les dirigeants du cru firent appel à Tony Worrell ayant transité par Pepinster en 90/91. Année de la première participation européenne des Hoëgnards et il y faisait équipe avec James Gulley. Le 11 novembre 2015, l’ami Tony décédait des suites à une crise cardiaque. Il avait 49 ans.

Michel Christiane

Allemand titularisée, Meesseman au four et au moulin

Titularisée pour la deuxième fois, Julie Allemand a fait le taf sous les yeux de sa famille pour conduire Chicago à la victoire contre Seattle, 78-74. Une rencontre dans laquelle Emma Meesseman fut particulièrement productive.

Alignée dans le cinq majeur pour la seconde fois de la saison, Julie Allemand a parfaitement dirigé le jeu du Sky et compilé 4 points, 2 rebonds et 2 passes pour guider Chicago à la victoire, 78-74. Un succès forgé dans le second quart-temps, le seul que les deux équipes ne finirent pas à égalité. Emma Meesseman fut la grande dame de cette rencontre avec 16 points, 10 rebonds et 6 passes.

« Voir notre 2e délégué Thib Julémont le plus souvent possible à nos côtés »

James Deblond analyse la dernière saison de Pepinster en TDM2 et préface la nouvelle. Interview.

James, comment analyses-tu cette dernière saison avec Pepinster ?

Il y avait moyen de faire mieux avec nos huit ou neuf matchs perdus de peu alors que nous étions toujours devant à la trente-cinquième minute.

Que conserves-tu dans ta boîte à souvenirs ?

Les victoires contre Comblain et Neufchâteau ainsi que l’ambiance et les bons moments passés avec l’équipe.

Quels sont tes envies pour la saison 2022-2023 ?

Prendre un max de plaisir avec le groupe, pas de blessure dans l’équipe, remplir nos objectifs et voir notre deuxième délégué Thib Julémont le plus souvent possible à nos côtés.

Hamm pour le show

Les supporters métropolitains ne devraient pas s’ennuyer, la saison à venir, via un rooster revu et corrigé. A suivre notamment le bondissant et prometteur Royce Hamm. Un troisième « Belgicain » débarque à Jérusalem tandis que Worrell, l’ancien Pepin, séjourna du côté de Lourdes. Ce sont les infos d’EMCE.

Avec Royce Hamm, les Giants d’Anvers fourbissent aussi leurs armes

C’est décidé : dès la reprise, les Métropolitains présenteront un effectif composé de cinq Belges, d’autant d’étrangers et de deux jeunes. Dans ce contexte, les troupes d’Ivica Skelin ne compteront plus sur Matt Tiby (30 a, 2,03 m, ex-Mons), ni sur Markel Brown (30 a, 1,91 m) qui fera escale à Varèse (Ita). En revanche, elles accueilleront ce rookie qu’est Royce Hamm (23 a, 2,06 m) terminant son cursus à l’université du Nevada : 9,3 rebonds de moyenne. Il est annoncé comme un élément particulièrement spectaculaire. Voilà qui ne devrait pas déplaire au public local adepte d’un « basket champagne ».

Carrington, passé par Hasselt, rejoint le duo Randolph-Smith à Jérusalem

En 18/19, Khadeen Carrington (26 a, 1,93 m) découvrait l’Alverberg de Hasselt où il allait prester un exercice en faveur de Limburg United. L’Américain termine un séjour du côté de Dijon et poursuivra sa carrière professionnelle pour le compte de l’Hapoël Jérusalem. Les plus attentifs d’entre vous ne manqueront pas d’observer qu’il y rejoindra donc ses compatriotes Speedy Smith (ex-Charleroi et Anvers) ainsi que Levi Randolph, en provenance de Filou Ostende où il a régalé les inconditionnels du littoral.

A qui le Tour ? Pas de miracle pour Lourdes même avec Tony Worrell (ex-Pepin)

Prioritairement réputé pour son pèlerinage, la cité pyrénéenne compta, au début des années ’90, une équipe de basket évoluant en Pro B. Et ce, durant trois saisons consécutives. Pour se maintenir à ce niveau, le Lourdes Basket Club pouvait notamment compter sur les services de Fabien Dubos, international à 37 reprises. En proie à d’énormes difficultés financière, le club finit par disparaître et est aujourd’hui remplacé par BC Lourdais. Retour à l’époque Pro B quand, en 1993, les dirigeants du cru firent appel à Tony Worrell ayant transité par Pepinster en 90/91. Année de la première participation européenne des Hoëgnards et il y faisait équipe avec James Gulley. Le 11 novembre 2015, l’ami Tony décédait des suites à une crise cardiaque. Il avait 49 ans.

Michel Christiane

Crédit photo : Giants Anvers