Le Finlandais a battu son record en carrière en infligeant 49 points aux Texans.
Les cartons s’enchainent en NBA. Cette nuit, c’était au tour de Markkanen de flamber. Le Finlandais a passé 49 points à la défense de Houston, tirant à 15 sur 27. Dans le sillage de leur scoreur venu du froid, le Jazz s’est imposé 114-131 chez les Texans.
Toujours sans club, Carmelo Anthony se rapproche d’une fin de carrière en eau de boudin.
Parmi les meilleurs joueurs de sa génération et les meilleurs scoreurs de l’histoire de la NBA, Carmelo Anthony se rapproche d’une fin de carrière en eau de boudin. Pourtant, « Melo » avait démontré à Portland et aux Lakers sa volonté d’assumer un statut différent et prouvé qu’il pouvait rendre de précieux services en sortie de banc. Cependant, le téléphone ne sonne plus pour l’ancienne vedette des Nuggets et des Knicks qui risque fort de clore sa carrière de manière tristounette. Une véritable aberration pour de nombreux fans et pour ses collègues de NBA. « Melo est l’un des meilleurs joueurs de tous les temps. Je suis évidemment biaisé et j’espère qu’il sera bientôt dans la ligue. Quelqu’un de ce calibre, avec cette compétence, avec le cœur qu’il a et les choses qu’il a faites pour le jeu devrait être capable de quitter le terrain quand il est prêt à le faire », a assuré le meneur des Suns à Stefan Bondy du New York Daily News. Un avis que nous partageons à L&B !
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Ce début d’année coïncide avec de très grosses performances des superstars NBA.
Après Doncic, Jokic et Mitchell, c’est au tour de Giannis de se fendre d’une performance de haut niveau. Le Grec a compilé 55 points (20 sur 33 aux tirs et 15 sur 16 aux lancers), 10 rebonds et 7 passes dans la victoire des Bucks contre Washington 123-113.
« Je veux arriver au stade où mon jeu devient ennuyant. Je veux être tellement régulier et dominant chaque soir que les gens ne veulent même plus en parler. Mais moi, je ne me lasse pas. Les grands joueurs ne s’ennuient jamais. Ils donnent le meilleur d’eux-mêmes chaque soir » a déclaré le double MVP après sa superbe prestation.
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Dans le sillage d’un Vrenz Bleijenbergh auteur d’un énorme double-double, les Ostendais se sont imposés 72-76 en Turquie malgré un premier quart-temps catastrophique.
« Notre première partie de saison est positive, nous sommes toujours en course dans les trois compétitions : championnat, Coupe de Belgique et Champions League », nous confiait Olivier Troisfontaines avant de se rendre en Turquie pour y affronter Bahçesehir Koleji en Champions League. Emmenés par un Bleijenberg (14 points et 17 rebonds), les Côtiers ont renversé une situation compromise. Menés 27-10 après dix minutes, « Oli 3F » (6 points, 2 rebonds et 3 passes), Pierre-Antoine Gillet (7 points, 2 rebonds et autant d’assists) et les Ostendais passaient un 6-30 dans le second quart pour prendre les commandes de la partie et s’imposer finalement 72-76, au bout du suspens. Les Belges ont pris une sérieuse option sur la qualification avant le match retour le 10 janvier prochain.
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C’est considérablement déforcés que Benoit Blanchy et les Buffalos iront ce vendrediddéfier la P1 d’Alleur en Coupe de la province. Interview.
Benoit, comment allez-vous aborder ce quart de finale à Alleur ?
Nous allons l’aborder comme nous le pouvons. Après une première partie de saison très dense, nous avions besoin d’une vraie coupure et nous ne nous sommes donc pas entrainés durant toute la trêve. De plus, nous avons dû nous organiser pour pouvoir aligner cinq joueurs à Alleur.
Pourquoi ?
Plusieurs joueurs avaient des engagements familiaux cette semaine et tout le week-end. Nous avons bien tenté d’avancer le match avant la trêve mais ce n’était pas possible au niveau organisationnel pour Alleur. C’est surtout dommage que le CP mette des quarts de finale un week-end juste après les fêtes. C’est typiquement un week-end où il y a plein d’absents. Mais c’est ainsi…
Si le championnat fait encore relâche ce week-end, les équipes qualifiées pour les quarts de finale de la Coupe provinciale seront sur le pied de guerre. Vendredi, les Dragons d’Esneux Saint-Louis United accueilleront le MOSA Angleur pour un derby qui promet d’être passionnant.
Avec deux équipes alignées en P2, ESL United confirme être un véritable vivier de talents. Pour la Coupe, les Liégeois proposent un effectif mixte entre l’équipe d’Eric Herben et celle de Damien Reichling, les deux coachs étant également ensemble à la manoeuvre sur le banc. Et si en championnat les deux formations d’ESL United ne caracolent pas en tête du classement, la Coupe offre une occasion idéale d’embellir leur saison.
Ce vendredi pour les quarts de finale, ce sont les redoutables Angleurois que défieront les Collégiens. « Nous devrons surtout contenir le jeu intérieur du MOSA et ne laisser aucun rebond offensif à nos adversaires », prévient Eric Herben. « Nous savons également que nous devrons nous méfier des shoots extérieurs, ayant rencontré cette équipe en championnat avec la P2A. »
La perspective des demi-finales est un formidable surplus de motivation. « Cela risque d’être un match chaud mais j’ai confiance dans le groupe pour continuer notre chemin dans cette compétition », assure Eric. « Nous avons préparé cela cette semaine avec deux séances dédiées à ce duel. »
Gauthier Liégeois fait le bilan du premier tour des Aubelois en P2B.
« Notre début de premier tour fut assez compliqué avec un effectif qui était, selon moi, physiquement prêt à reprendre mais les blessures sont survenues au fil des semaines », contextualise Gauthier Liégeois. « Cela nous a empêchés de développer un jeu collectif durant les deux premiers mois de championnat car nous sommes une équipe avec sept nouveaux joueurs et nous avions du pain sur la planche avec les systèmes de jeu. »
Cela n’a pas empêché les Herbagers de glaner cinq succès pour s’installer dans le ventre mou de la P2B. « C’est un championnat très ouvert avec beaucoup de derbies. Il y a deux ou trois équipes au dessus du lot – comme souvent en provinciale – mais tous les matchs sont à jouer et nous avons déjà montré que nous pouvions rivaliser avec le haut du classement », assure celui qui évolue avec la R2 locale. « La victoire à Stavelot, où nous nous étions déplacés à sept, restera mon moment fort de cette première moitié de saison. J’ai coaché trois ans là-bas et j’avait à coeur de montrer au club que le coach fait beaucoup mais que les joueurs ne sont pas toujours inexcusable. La preuve en est : à sept mais avec de la volonté, on peut gagner des rencontres difficiles. »
Le championnat va reprendre ses droits en ce début janvier. « Nous voulons rivaliser encore davantage avec nos adversaires et essayer de prendre les matchs du top qui nous ont filé entre les mains parce qu’il nous manquait une rotation. Evidemment, nous aspirons à prendre du plaisir pour garder le groupe soudé à l’année et repartir sur de bonnes bases », conclut Gauthier.
Ce samedi, la jeune escouade de Laurent Herten affrontera la P2 de Tilff avec dans le viseur une qualification pour les demi-finales de la Coupe de la province.
Pour les huit équipes qualifiées pour les quarts de finale de la Coupe provinciale, les vacances furent de courte durée. Dès ce week-end, la reprise s’annonce brutale avec quatre rencontres à fort enjeu. « On va voir dans quel état physiques et mental – par rapport à la décision que nous attendons concernant Tarik et Haytam – les joueurs vont revenir après les fêtes », s’interroge Laurent Herten. « Tilff est une très belle équipe, première en P2 avec des gars qui ont joué bien plus haut. Les Porais sont costauds à tous les postes et nous devrons donc sortir une bonne prestation derrière et devant pour l’emporter. »
Crédit photo : Aleksandra Milanovic Photographe
C’est une nouvelle qui a créé un certain émoi dans le microcosme du basket : la décision de Quentin Pincemail de quitter son job de coach de la R1 de Tilff à l’issue de cette saison déjà réussie des Porais.
Quentin, pourquoi avoir pris la décision de quitter ton poste de coach de la R1 de Tilff à l’issue de cette saison ?
C’est une décision que j’ai prise parce qu’après avoir poussé les murs pendant sept ans, cela devenait difficile de pouvoir maintenir une équipe compétitive faute de moyens.
Resteras-tu tout de même au club ?
Je reste bien évidemment au club pour continuer à faire progresser nos jeunes et maintenir tout ce que nous avons mis en place.
Quelles sont tes envies pour cette deuxième moitié de saison ?
Elles sont claires : prendre du plaisir à chaque moment dans la salle. Et cela passera par s’entrainer dur et maintenir le cap avec ce groupe. Les joueurs l’ont clairement exprimé mardi : ils sont chauds pour ne rien lâcher (ndlr : les Porais sont dans le peloton de tête en R1 avec huit victoires en douze matchs) et essaier de créer de belles surprises comme au premier tour.
Quelles sont tes aspirations pour la suite de ta carrière de coach ?
Mes aspirations sont difficile à cerner. Je suis un compétiteur et un amoureux du jeu. Je suis super ouvert à toutes les opportunités qui pourraient se présenter, que cela soit coacher, repasser par la case assistant ou même prendre une année de repos.
Après une première moitié de saison délicate et conclue avec zéro victoire, l’excellent Hubert Gillotay a décidé de faire un pas de côté à l’US Awans et est remplacé par Eric Herben à la tête de la P2 locale qui devra réaliser des miracles pour sauver sa peau en deuxième provinciale.
Eric, tu remplaces Hubert à la tête de la P2 pour la deuxième partie de saison. Est-ce un choix logique pour un clubman comme toi ?
J’ai surtout envie de dire que nous n’avions pas beaucoup de choix (rires). Le défi est de taille mais je suis prêt à le relever pour mon club.
Comment comptes-tu procéder pour éviter au groupe de faire la bascule en P3 ?
Hubert est une pointure dans le milieu du basket. Le club comprend son départ malgré l’excellente relation tissée au sein du club. Le premier tour fut compliqué avec une toute nouvelle équipe, des blessures et des absences. Je n’ai pas la prétention de révolutionner complètement l’équipe. J’espère que le changement de coach va provoquer un choc psychologique chez les joueurs. Ils sont capables de prendre des matchs mais l’essentiel du problème est, à mon sens, dans la tête. Ce sera donc davantage du coaching mental que tactique ou technique.