Démonstration des Unionistes qui se relancent totalement dans la course au maintien en dominant Haneffe.
A domicile, les Unionistes ont sans doute réalisé leur meilleure prestation offensive de la saison au moment idéal : dans un match à six points pour le maintien contre Haneffe. Dans le sillage d’un Forthomme (14 points) en feu en début de rencontre, les locaux prenaient l’avantage, 25-17 après dix minutes. Georgery (12 points) et les visiteurs limitaient les dégâts dans le second quart-temps et à la pause, le marquoir affichait 46-34.
A la reprise, Munyawera (16 points) et les Templiers affichaient de meilleures dispositions et l’écart ne changeait guère, 66-55 à la demi-heure. Dans le dernier quart-temps, Malaise (23 points), Herzet (13 points), Szabo (16 unités) et leurs coéquipiers faisaient voler en éclat la défense hesbignonne pour empocher une très large victoire, 96-69.
Une cinquième victoire qui permet aux Unionistes de totalement se relancer dans la course au maintien alors que les Templiers ne cessent, eux, de glisser au classement.
Nouvelle victoire des Comblinois, 95-89 contre Kontich.
A domicile, les Comblinois ont pu compter sur de prolifiques Matisse (25 points) et Depuydt (18 unités) pour faire exploser la défense des Wolves. Dans une rencontre offensive, Iarochevitch (11 points), De Zeeuw (10 unités) et les locaux, menés 19-20 après dix minutes, ont fait la différence dans le second quart-temps pour prendre les commandes de la partie. En tête 51-42 à la pause, les Comblinois enfonçaient le clou à la reprise et assurait la victoire 95-89.
Les Haricots de Maxime Clavier ont relancé la lutte pour le titre en P1 en venant à bout de Wanze. Interview.
Max, comment avez-vous abordé cette rencontre contre Wanze, leader du championnat ?
Nous avons abordé ce match comme les autres, nous n’avions pas préparé de plan particulier. J’ai juste dit aux gars que nous n’avions rien à perdre et que nous n’avions aucune pression, que les Sucriers avaient eux la pression et ne pouvaient pas perdre.
Que retiens-tu de cette rencontre et qu’est-ce qui vous a permis de vous imposer 85-82 ?
Nous avons réalisé une première mi-temps correcte mais avec trois ou quatre grosses erreurs défensives. Nous avons corrigé cela en deuxième mi-temps et nous avons réussi à revenir à égalité. Je pense que nous avons réussi à jouer dur avec une intensité très haute et nous avons contrôlé le rebond. Cela faisait longtemps que nous avions plus joué comme ça. Je suis content de cette victoire, je savais que nous étions capables de nous sublimer dans les grands moments.
Julien Schreiber revient sur la finale remportée par les Louves dimanche au Country Hall.
Ju, que retiens-tu de cette finale ?
Le plus dur était de revenir du ski à temps, j’ai d’ailleurs une pensée pour mon homologue Gus qui n’a pu en faire autant en ratant son avion la veille. C’est désormais moi qui ai un dossier sur lui (rires). Plus sérieusement, ce fut une finale de rêve. Le grand Country fameusement rempli, un mur jaune et bleu pour les deux matchs des Fromagers mais surtout tous les supporters d’Esneux qui m’ont étonné par leur nombre et l’ambiance qu’ils ont mise. C’est inhabituel de jouer dans une telle salle avec une animation musicale et un speaker de cette qualité, ce fut vraiment fun ! Cette finale face à Battice, au Country, était un réel cadeau offert par Liège BC et le CP.
Que retiens-tu du match en lui-même ?
Je retiens une Steph Godfroid une nouvelle fois impériale. C’est une meneuse dont tous les coachs rêvent et sur qui j’ai pu compter comme lieutenant indéfectible durant mes six saisons à Esneux. Elle est exceptionnelle… Les autres ont répondu présentes mais je retiens comme bonne surprise les joueuses montantes de P2 qui, pour leur première saison en P1, ont démontré qu’on pouvait aussi compter sur elles lors de leur première finale. Herve nous a tenu tête durant trois quart-temps, offrant un scénario idéal au public et à nous, les acteurs, même si l’issue ne fut idéale que pour nous.
Les Métallos continuent leur magnifique saison en dominant les Abeilles de la tête et des épaules.
Si les Comblinois seront des superbes champions en P2A, les Flémallois auraient fait, eux aussi, de magnifiques lauréats. Les protégés d’Alban Angelucci ont à nouveau enregistré une impressionnante victoire contre une équipe d’Harimalia privée de son renfort US Derksen.
Comme de coutume, les Métallos ont démarré fort dans le sillage de Clajot (21 points) et Dykmans (19 unités) pour mener 23-12 après dix minutes et 47-31 à la pause. A la reprise, Lucas Cornia (19 points) et les visiteurs ne pouvaient rien faire pour enrayer la machine flémalloise. Bassini (12 points), Cloots (12 points), Francoeur (12 unités également) et leurs partenaires s’en donnaient à coeur joie pour prendre le large, 80-44, et finir par s’imposer 100-57 pour assurer leur dix-huitième victoire de la saison.
Les Esneutoises ont fait la différence dans le dernier quart-temps pour remporter un nouveau trophée, 47-60.
Dans le magnifique Country Hall dimanche midi il ne manquait qu’une personne pour que la fête soit totale : Christophe Hauglustaine. « Malheureusement, je n’ai pas su être présent à cette finale », soupire le coach de Herve-Battice, remplacé au pied levé par Alain Denoël. « J’étais à Lisbonne pour un enterrement de vie de garçon. J’avais prévu un vol samedi soir mais je me suis trompé de porte d’embarquement et ai été mal conseillé. Un fâcheux concours de circonstances qui m’a fait rater mon vol. »
Cette affiche était la finale rêvée puisqu’elle opposait les deux meilleures équipes de l’élite provinciale. Et si Fromagères et Esneutoises affichaient le même bilan, les Louves partaient sans doute avec les faveurs des pronostics grâce à leur expérience. « Les clés de cette rencontre seront simples : conserver notre agressivité habituelle et que les filles soient efficaces face à l’anneau sans se laisser submerger par l’ambiance et l’enjeu. J’ai quand même une demi-équipe pour qui ce sera la quatrième finale, je suis donc serein vis-à-vis de ça », confirmait Julien Schreiber avant la rencontre.
Dans le sillage de Wéra (9 points), les Fromagères résistaient à une super Godfroid (21 points) en début de rencontre, 14-15 après dix minutes. Le deuxième quart-temps était tout aussi disputé et défensif, Schmitz (7 points), Bebronne (8 unités) et les Herviennes faisaient jeu égal avec Werpin (9 points) et les Précieuses. A la pause, le suspens était entier : 26-27.
A la reprise, le même scénario se reproduisait. David (15 points) et ses coéquipières tenaient la dragée haute aux Chuffart (14 points en cumulé pour Anne et Sophie) afin d’offrir aux spectateurs d’intenses émotions. Dans la dernière ligne droite, Namurois (4 points), Steveler (9 unités) et les Louves haussaient le ton des deux côtés du terrain pour enfin faire la différence et s’imposer 47-60 au terme d’une finale qui aura tenu toutes ses promesses. Un joli trophée supplémentaire pour l’emblématique équipe des Précieuses qui, malgré un léger renouvellement de l’effectif, continue d’être un porte-étendard du basket féminin en province de Liège.
Un magnifique dimanche basket à LAAJ avec la victoire de la R1 Dames dans le derby contre Herve-Battice, le revers en prolongation et au bout d’une âpre lutte de la R1 Hommes face à l’impressionnante équipe du Royal IV Brussels et le hold-up parfait des Flémalloises face à la P2 Dames locale.
Dimanche matin, alors que le soleil inondait déjà les hauteurs brassicoles de ses rayons, les Jupilloises recevaient une équipe de Herve-Battice qui bien que déforcée, sortait d’une probante victoire contre les Panthers de Liège. Rompen (17 points dont 5 triples) commençait immédiatement son festival en plantant trois bombes, posant les bases d’un derby offensif tandis que Bonvoisin (23 points), Lizin (12 unités) et les visiteuses tenaient le choc. Après dix minutes, les spectateurs avaient déjà pu bien kiffer : 24-26. Le second quart-temps était tout aussi disputé, Poussart (11 points), Collignon (11 unités également) et leurs coéquipières comptant trois longueurs d’avance à la pause, 43-46.
Au retour des vestiaires, Rompen – quels débuts de mi-temps ! – mais aussi Leemans (18 points), Hoge (9 unités) et Verdun (12 points) poursuivaient avec une folle adresse – quatorze bombes au total ! – tandis que l’attaque des Herviennes s’enrayait. Les Jupilloises en profitaient pour totalement renverser la situation et prendre sérieusement l’avantage, 66-56. Dans la dernière ligne droite, Antoine (11 points) et les visiteuses retrouvaient leurs esprits mais Renard (17 points) et les locales demeuraient compétitives et assuraient une belle victoire 91-76 au terme d’une rencontre spectaculaire. Un succès très précieux dans la lutte au maintien pour les Jupillois antépénultièmes qui comptent désormais deux victoires d’avance sur leurs poursuivantes et ont Boninne en ligne de mire.
« Le club nous soutient dans notre envie de participer aux Playoffs »
C’était ensuite au tour de la R2 locale d’affronter le Royal IV Brussels, formation installée sur le podium de la R2B et présentant un effectif aussi complet que costaud. Les Brasseurs, qui venaient de renouer avec la victoire avec un Jennès en feu contre la lanterne rouge Brainois, étaient déforcés mais avaient à cœur de relancer une série positive. « Nous aimerions disputer les Playoffs et le club nous soutient dans cette optique », soulignait Baptiste Domken (2 points), rapidement touché à l’épaule. Comme les filles avant eux, les Jupillois se montraient prolifiques derrière l’arc avec neuf triples et proposait une bonne défense devant un public aussi nombreux que bruyant alors que flottait dans l’air des effluves de frites croustillantes. Avec Lambot (16 points) et Vaes (16 unités), les locaux prenaient l’avantage dans le premier quart-temps, 7-17, et menaient encore 32-27 à la pause.
A la reprise, les Bruxellois haussaient le ton en défense et profitaient de leur impact physique pour asseoir leur domination au rebond offensif, s’offrant de nombreuses deuxièmes chances. Surtout, les visiteurs pouvaient compter sur un Younes Boukichou (42 points) étincelant. Le jeune frère de Khalid, passé par Gravelines, étalait toute sa panoplie offensive pour permettre au Royal IV de prendre l’avantage, 47-51 à la demi-heure. Le dernier quart-temps était étouffant, les supporters locaux poussant leurs favoris vers l’exploit. Jennès (10 points) ramenait les Brasseurs à trois longueurs avant que l’inusable Cordonnier (12 unités) ne fasse exploser la salle en arrachant la prolongation d’un tir primé dont il a le secret. Malheureusement, dans le temps additionnel, le manque de rotations et la légitime fatigue qui en découlait pénalisaient les vaillants jupillois qui devaient s’avouer vaincus, 70-77, au terme d’une rencontre passionnante. Avec treize victoires et neuf défaites à leur compteur, les protégés de Jérôme Jennès vont devoir réussir un gros run s’ils veulent se qualifier pour les Playoffs – si ceux-ci ont lieu.
Dernier quart-temps du feu de Dieu des Flémalloises !
Place ensuite à un second match de Dames opposant la P2 locale à celle de Flémalle. Battues 63-45 à l’Alliance après avoir compté près de 30 points de retard au cours du match, les Jupilloises avaient à cœur de prendre leur revanche sur des Métallos fatiguées après les efforts consentis la veille lors de leur courte victoire chez des Wananas troisièmes de la série. Le début de match était marqué par de nombreux ratés mais Ottenheim (4 points), Palmieri, Barry (2 points chacune) et les visiteuses parvenaient tout de même à prendre l’avantage, 12-16 après dix minutes. Le second quart se révélait bien plus compliqué pour Van Dongen (2 points) et les Métallos, en panne d’adresse alors que Delcomminette (11 points), Martin (4 unités) et les Jupilloises se montraient plus régulières et efficaces. A la pause, les locales avaient pris le match en main et menaient 28-22.
A la reprise, Delmotte (10 points), Lempereur (8 unités) et les Jupilloises continuaient sur leur lancée, Mutamba (4 points), Melin, Reina et les visiteuses tentant de limiter les dégâts sans toutefois parvenir à empêcher leurs hôtes de creuser l’écart, 44-31 à la demi-heure. Les protégées de Geoffroy Melot semblaient se diriger tout droit vers une victoire méritée, réalisant ainsi leurs espoirs de revanche. Mais les joueuses de l’Alliance ont un cœur énorme et, refusant d’abdiquer, relevaient la tête et trouvaient en elles des ressources insoupçonnées. Mkunrunzira (8 points) et Pecharroman (8 unités) et leurs coéquipières remontaient au jeu le couteau entre les dents et, avec un groupe affichant sa splendide unité, augmentaient considérablement leur intensité défensive. C’était un tout autre match qui débutait ! Les Flémalloises étaient sur tous les ballons, encouragées par un banc superbe de cohésion et d’enthousiasme. Malgré les crampes, Frère (14 points) faisait un chantier et les Métallos réduisaient rapidement l’écart face à des locales qui ne trouvaient aucune solution en attaque. Transfigurées, les visiteuses renversaient totalement la situation et, d’une nouvelle bombe, Richard (10 points) offrait la victoire à l’Alliance qui réussissait ainsi un magnifique hold-up, une semaine après avoir connu la situation inverse chez des Hesbignonnes à la lutte pour le titre. Une seconde victoire en moins de vingt-quatre heures pour des Flémalloises qui confortent ainsi leur cinquième place en P2A malgré deux forfaits.
Un dimanche où tout fut au rendez-vous pour les amateurs de basket-ball : des rencontres passionnantes, du suspens, de grosses performances collectives et indivuelles, des paniers improbables, des tirs décisifs, des actions d’éclat, des défenses rugueuses, une ambiance au zénith, des instants de camaraderie, des victoires superbes, des défaites rageantes. En bref, le sport dans ce qu’il a de meilleur !
Les Haricots ont vaincu les Sucriers, leaders de l’élite provinciale, provoquant ainsi un regroupement en tête de la division.
A l’ABC Arena, Olivier Lizin (20 points) trouvait rapidement ses repères, bien épaulés par Nico Paulus (19 points) et Nico Oudenne (10 unités) et les Sucriers faisaient la course en tête, 34-43 au repos. Au retour des vestiaires, Julien Mathy (23 points), Tom Leclercq (30 unités !) et les locaux crevaient l’écran. Adroits derrière l’arc – 11 triples convertis – et proposant un jeu intense, les protégés de Maxime Clavier renversaient la situation et empochaient la victoire de justesse, 85-82.
Une victoire célébrée par les Haricots, évidemment, mais aussi par tous les spectateurs neutres car celle-ci relance totalement le suspens dans la course au titre de l’élite provinciale. Désormais, un regroupement s’est opéré en tête du classement, Wanze, Henri-Chapelle et ESL United comptant le même nombre de défaites. De quoi vivre une fin de saison absolument passionnante !
A Detroit, le leader du Thunder a encore sorti une performance de choix.
A domicile, les Pistons ont parfaitement lutté contre le leader de la Conférence Ouest mais sont tombés sur un Shai Gilgeous-Alexander de gala. Le Canadien a compilé 48 points, 6 assists et 3 interceptions pour une évaluation de 50 ! Face à une telle saillie offensive, les locaux ont dû baisser pavillon, 107-113.
Tant en R2 Hommes qu’en P2 Dames, Wawas et Wananas ont connu de courtes défaites.
Deux jours après avoir remporté un match capital pour le maintien en R2B dans le derby contre Alleur, 65-62, sans toutefois récupérer l’average, les Wawas recevaient Beez, formation namuroise occupant la cinquième place au classement. Une différence qui ne se reflétait pas sur le parquet tant Cools (7 points), Leenman (10 unités) et les locaux affichaient de belles dispositions. Après un premier quart équilibré et défensif, 12-13, Fiandaca (8 points) et les Wawas profitaient de leur adresse derrière l’arc pour prendre l’avantage et rentrer au vestiaire avec une avance’intéressante, 33-25.
En seconde période, Jaume (23 points) et les Namurois serraient la vis derrière et réduisaient l’écart petit à petit, offrant aux nombreux supporters locaux – en voix et équipés d’une grosse caisse – une fin de match haletante. Dans les derniers instants de cet âpre duel, Parent (14 points) écopait d’une surprenante faute offensive tandis que la réussite fuyait les Wawas. Simon Chapelle (17 points) prenait ses responsabilités et affichait toute sa confiance sur la ligne de réparation pour assurer une courte victoire aux visiteurs, 57-61, laissant les locaux avec les regrets d’avoir laissé filer une victoire prenable.
Suspens total en Dames
C’était ensuite au tour de la P2 Dames locale, troisième au classement, d’affronter pour la première fois une équipe de Flémalle classée cinquième malgré deux forfaits. Pour ce déplacement, les Flémalloises qui sortaient d’une courte défaite à Hannut, deuxièmes au général, étaient privées de plusieurs joueuses alignées avec la P3 du matricule 1555 – malheureusement défaite très lourdement, 87-52, à Bellaire – mais aussi de Golabek, absente suite à une panne de voiture. Heureusement, les Métallos pouvaient compter sur le renfort des jeunes U16 Nouhou Camara, née en 2009, et Laura Keza Nzajyibwami, née en 2010 et qui inscrivit d’ailleurs son premier point en dames, qui découvraient ainsi pour la première fois le basket senior.
Les visiteuses, portées par une Constance Frère (10 points, tous inscrits dans le premier quart-temps) au leadership impeccable, prenaient immédiatement l’avantage. A peine montée au jeu, Palmieri (2 points) s’illustrait et après dix minutes, le marquoir affichait 12-15. Le second quart-temps confirmait que la partie serait intensément disputée. En version small ball, Ottenheim (12 points), Barry (8 unités) et leurs coéquipières continuaient sur leur lancée pour augmenter quelque peu leur viatique face à Ingrid Thomas (6 points), Céline Cypers (8 unités) et des locales pourtant bien en place derrière. A la pause, le marquoir affichait 24-31.
La reprise était nettement en faveur des locales, portées par Léa Gerard (12 points) et Valérie Ory (6 unités), qui réduisaient l’écart sans toutefois parvenir à passer devant au score. Les Flémalloises pouvaient cependant compter sur Aniela Mkunrunzira (9 unités) – qui démontrait à nouveau tout son potentiel face à la défense musclée des protégées de Thomas Parent – pour conserver l’avantage, 39-41 à la demi-heure. Dans la dernière ligne droite, les locales réussissaient à recoller au score et à prendre deux longueurs d’avance pendant trente secondes mais Vanessa Pecharroman (7 points) et les Flémalloises reprenaient rapidement le dessus. Danaé Richard (4 points) – en panne d’adresse mais excellente dans la gestion de l’attaque visiteuse – prenait ses responsabilités et plantait un tir décisif pour donner six longueurs d’avance à l’Alliance avant que Sabine Withofs (6 points) ne fasse parler son expérience et sanctionnait à distance pour ramener les Wananas à trois points, 50-53. Dans la foulée, les Flémalloises recevaient une surprenante anti-sportive à 24 secondes du terme mais les locales n’en profitaient pas et les Métallos remportaient ainsi leur dixième victoire de la saison en seize rencontres.