Les Prayonnais ont rapidement fait la différence face aux Blue Rabbits.
A domicile, Michel (19 points), Lemmens (11) et les Prayonnais prenaient d’emblée le contrôle de la partie pour mener 26-15 après dix minutes et 50-30 à la pause. Hulsen (18), Martini (15) et les Blue Rabbits réagissaient à la reprise pour réduire quelque peu l’écart avant que les locaux ne terminent en force pour s’imposer 94-72.
Les Wawas se sont inclinés en prolongation 75-72 à Gembloux.
Menés 23-14 à Gembloux après dix minutes et 42-31, Rappe (16 points), Corvers 11), Cools (8), Germay (8) et leurs coéquipiers allait livrer une bonne seconde mi-temps pour arracher la prolongation 66 partout. Malheureusement, celle-ci souriait aux locaux qui s’imposaient 75-72.
Malgré leur belle remontada, les Pepins s’inclinent 79-82 dans le derby contre Verviers.
Pour ce derby de R2B, Vincent Aldenhoff pouvait compter sur Halkin (15 points), Francoeur (9) et Maucourant (4). Dans une salle qu’il connait bien, Roosen (14) permettait aux Verviétois, bien en place défensivement, de prendre l’avantage dans le premier quart-temps, 10-18. Akinbodu (22), Gerlache (12) et les visiteurs continuaient sur leur lancée lors des dix minutes suivantes pour faire le break à la mi-temps, 21-42.
Le passage au vestiaire s’avérait salutaire pour les locaux qui profitaient du troisième quart-temps pour grignoter une partie de leur retard, 47-61 à la demi-heure. Lancés dans une folle remontada, Delvoye (13), Jacoby (14) et les Pepins faisaient feu de tout bois et les Verviétois voyaient leur avance fondre comme neige au soleil. Mais comme le dit la fable : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. » Les protégés de Bruno Dagnely parvenaient à sauver l’essentiel : la victoire, 79-82.
Di Prospero et les Alleurois ont opposé une belle résistance aux Buffalos devant des gradins bien garnis.
Le public s’était donné rendez-vous à Alleur pour un le derby contre des Buffalos que les jeunes All Blacks avaient vaincu à l’aller. La première mi-temps était passionnante, Di Prospero (15 points), Francoeur (12) et les Alleurois résistant parfaitement à Wéry (17), Blanchy (14) et aux Buffalos. A la pause, c’était l’égalité parfaite, 45 partout.
La reprise voyait les deux équipes se rendre coup pour coup mais les visiteurs, plus efficaces derrière, se forgaient une petite avance à la demi-heure, 58-64. Les All Blacks souffraient davantage dans le dernier quart-temps face à la force de frappe des Buffalos qui s’imposaient finalement 70-91. « Victoire méritée des Buffalos mais dans des chiffres néanmoins forcés », résume André Trinon.
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Quentin Malpas et les Métallos ont remporté une treizième victoire en disposant des Dragons 89-62.
Quentin, que retiens-tu de ce match ?
Ce fut vraiment un match catastrophique à tous les niveaux : basket et arbitrage. Aucun contact n’était permis, c’était vraiment pénible.
Qu’est-ce qui a fait la différence en votre faveur ?
C’est simplement que l’adversaire fut vraiment plus faible des deux côtés du terrain car contrairement à ce que le score pourrait laisser penser, nous n’avons vraiment pas bien joué.
Quels sont vos objectifs pour cette dernière partie de saison ?
L’objectif cette année était la montée. Malheureusement, ce n’est plus le cas. Désormais, nous avons pour objectif de terminer à la quatrième place.
Les Ninanais ont remporté une victoire de prestige contre les Jupillois.
La lutte pour le titre fait rage en P3C et les Pistols risquent de se mordre les doigts d’avoir trébuché à Ninane, une semaine après avoir perdu le duel au sommet contre La Spéciale. Il faut dire que dans les rangs calidifontains, Deuse (24 points) avait réglé la mire. Pourtant, Hertay (16) et les Jupillois menaient 12-15 après dix minutes et était toujours dans le coup à la pause, 34-33. Au retour des vestiaires Kerger (9) et les locaux parvenaient à creuser un peu l’écart, 58-51 à la demi-heure, avant de terminer en force pour s’imposer 80-65.
Les Awansois ont enchainé à Ensival en s’imposant 81-92.
Après un carton contre Angleur et une victoire sur le fil contre Tilff, les Awansois ont remis le couvert à Ensival. Pourtant, Hauglustaine (21 points), Erkenne (15), Lejeune (11) et les Ensivalois menaient 54-45 à la pause. Mais en seconde période, les locaux ne pouvaient rien faire pour empêcher Werll (27 points), Bartholome (18), Van Gyseghem (13) et les visiteurs de renverser nettement la situation pour s’emparer de la victoire 81-92.
Sans faire de bruit et après un début d’exercice mitigé, les protégés de Nicolas Gerads s’installent dans le Top 5 de la P2A.
Le Beaubourg à Embourg veut retrouver son lustre d’antan sous l’impulsion de l’ancien pivot de Liège Basket et Sprimont, Mirza Skrelja.
L’Horeca, un métier qui s’est imposé assez naturellement pour Mirza Skrelja. « Je n’étais pas fan de l’école et j’ai commencé à vingt ans comme plongeur à la Capitainerie », dévoile celui qui a occupé différents postes au fil des années. « J’adore ce métier car j’adore vivre, communiquer et je suis très attaché à l’aspect humain. Je me mets beaucoup à la place de l’autre. »
Passé par la Capitainerie et le Chèvremont, ce grand gaillard de 25 ans, qui a fait quelques apparitions en D1 belge de basket-ball avec Liège Basket, a décidé de relever un grand défi : reprendre Le Beaubourg, à Embourg. « C’est un vrai challenge », reconnait-il. « Cela procure une certaine adrénaline mais j’ai surtout envie de m’occuper au mieux de nos clients et de rendre à ce chouette établissement l’attrait qu’il mérite. »
Dans ce projet, Mirza peut compter sur le soutien de son associé, Dominique Van Avermaet, figure bien connue de l’Horeca liégeoise et à qui l’on devait la réouverture du Chèvremont à Vaux-sous-Chèvremont il y a un peu plus d’un an. « J’ai tissé des liens forts avec lui depuis que j’ai débuté à La Capitainerie, c’est comme la famille », sourit Mirza qui a monté une toute nouvelle équipe à ses côtés. « Nous avons eu de la chance de trouver du personnel de confiance pour former une super équipe. C’est déjà une réussite. »
Mais le pari ne sera totalement rempli que si les gourmands et les gourmets reviennent avec enthousiasme dans cette brasserie chic. « Je ne veux pas d’un établissement élitiste mais bien d’un lieu chaleureux, convivial et familial », souligne le nouveau patron du Beaubourg qui a prévu un local pour les enfants ainsi que des modules de jeu à l’extérieur sur la grande terrasse (120 places) en train d’être réhabilitée. « J’adore l’esprit de Louis de Funès, une grande photo de lui accueillera d’ailleurs nos visiteurs et donnera le ton du Beaubourg où nous voulons insuffler des sourires et de la convivialité. »
Le Beaubourg ouvre tous les jours, sauf le mardi, mais sera ouvert sept jours sur sept lorsque les beaux jours arriveront, à partir de midi. « Tout le monde est le bienvenu et une carte réduite sera proposée entre les services du midi et ceux du soir », précise Mirza. Dans un cadre élégant mais chaleureux, rehaussé par les décorations florales de Vase d’Ivoire, les convives pourront profiter d’une carte de brasserie avec des incontournables – croquettes, américain, boulets, vol-au-vent – mais aussi des moules, du poisson, des pâtes, du canard ou encore de belles pièces de viande, le péché mignon du nouveau propriétaire des lieux. « Une cuisine classique mais composée de belles assiettes, élégantes et bien exécutées », assure Mirza. « Et les desserts sont une tuerie ! »
Les saveurs seront au rendez-vous, c’est une certitude. « Nous travaillons avec des producteurs locaux et des produits frais. Tout est fait maison. C’est indispensable, dans la restauration, de proposer de la qualité », assure ce jeune homme dynamique et souriant. La carte des vins, elle, fait la part belle aux flacons français et italiens mais avec aussi quelques pépites moins connues. Le parking de vingt places est un atout supplémentaire de l’établissement, tout comme la formule lunch alléchante proposée à ceux qui veulent profiter d’un temps de midi gourmand. « Je veux faire les choses sérieusement sans me prendre au sérieux », conclut celui dont l’empathie rejaillit déjà sur l’ambiance du Beaubourg.
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Adresse : Le Beaubourg, Voie de l’Ardenne 160, 4053 Chaudfontaine.
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Match à suspens en P3A entre Flémalle et ESLU.
Pour ce match d’alignement de P3A, Walravens (13 points), Davi (13 également) et les Métallos étaient bien en place en début de rencontre pour prendre l’avantage, 19-11 après dix minutes. Heine (19) et les Collégiens réagissaient dans le second quart pour recoller à 35-34 à la pause. La seconde période était âprement disputée. Anthierens (11), Etienne (9) et les Flémallois ne voulaient pas céder un pouce de terrain mais La Rocca (16), Ndombe (11) et les visiteurs parvenaient à passer devant à la demi-heure, 52-53, avant de profiter du dernier quart-temps pour matérialiser leur victoire, 67-70.
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Au terme de cet exercice, Adrien Bastin quittera la régionale d’Alleur pour rejoindre celle du BC Verviers.
Adri, tu as décidé de t’engager de t’engager avec la régionale de Verviers pour la prochaine saison. Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce choix ?
J’ai en effet pris la décision de rejoindre le groupe de Verviers. Sur le plan sportif, c’est un beau projet avec beaucoup d’ambition(s) et une équipe compétitive. J’avais également à coeur de retrouver Bruno Dagnely pour qui j’ai joué de nombreuses années en jeunes et lors de mes débuts en seniors.
Quelles sont tes envies pour ce retour dans la région ?
Cela fait plus de dix ans que j’évolue et que je vis en dehors de la région verviétoise, c’est donc un sentiment particulier que d’y retourner et d’y retrouver des copains comme Adrien Gerarts, Hugo Maréchal, Julien Vermierdt et, au final, la quasi majorité de l’équipe que je connais déjà bien. J’ai vraiment hâte d’y être. C’est un beau challenge et tout est là pour que nous passions une excellente saison.