Les Cats enchainent contre l’Espagne

Après avoir vaincu la Chine et la Serbie, les Cats ont enchainé par une victoire contre l’Espagne dans le cadre de leur préparation pour les Jeux Olympiques de Paris. Les Belges affronteront le Canada ce dimanche.

La préparation des Belgian Cats pour les JO parisiens continue de se dérouler sans accroc. Les Belges ont remporté une troisième victoire de rang en dominant l’Espagne, quatrième nation mondiale. Toujours privées de Julie Vanloo et Julie Allemand, les Cats, menées 15-18 après dix minutes, ont inversé la tendance dans le second quart-temps pour virer en tête à la pause, 39-32. Un avantage que les Belges ont réussi à conserver à la reprise avant d’alourdir l’addition dans la dernière ligne droite pour remporter une belle victoire 76-58.

Ce dimanche, les Belges affronteront le Canada pour ce qui sera leur dernière rencontre en Belgique. Nul doute que les protégées de Rachid Meziane viseront la passe de quatre.

Crédit photo : FIBA

Les Américains lancent leur préparation par une victoire contre le Canada

Team USA a débuté sa préparation avec un succès face au Canada dans ce qui pourrait être la prochaine finale olympique.

Si le titre olympique à Paris semble promis à Team USA et son impressionnante armada, plusieurs nations se positionnent en outsiders. Parmi celles-ci, le Canada est l’une de celles qui a la faveur des pronostics. Cela tombe bien, les deux formations se rencontraient en match de préparation pour un duel pour le titre officieux de meilleure équipe nord-américaine. Et, sans surprise, ce sont les Américains qui l’ont emporté, 86-72.

Une victoire forgée avant tout en défense par les protégés de Steve Kerr alors que Steph Curry (11 points et 3 passes décisives), Jrue Holiday (12 points, 5 rebonds et 4 assists), Anthony Davis (10 points et 11 rebonds) et Anthony Edwards (13 points) étaient les plus en vue côté US, SGA passant relativement à côté de son match pour le Canada avec 10 points à 30% aux tirs.

Crédit photo : Philippe Collin

« Sauvés grâce à notre détermination, notre travail et notre solidarité »

Ircylle Makengo et les Haricots ont vécu une saison plus compliquée que de coutume en R1.

Pendant des années, les Haricots ont multiplié les succès, les titres et les montées. Cette saison 2023-2024 fut bien différente avec un retard à l’allumage et la nécessité de se battre pour assurer le maintien, finalement obtenu avec un bilan de neuf victoires pour quinze défaites. « Le début de saison fut vraiment difficile avec plusieurs défaites d’affilée », reconnait Ircylle Makengo. « Il y a eu de nombreux changements, dont celui de l’entraineur. Il a fallu s’adapter à un coaching différent, à un style de jeu différent ainsi qu’aux nouveaux coéquipiers. »

Heureusement, les Haricots ont su faire preuve d’esprit de corps. « Nous nous sommes sauvés car nous avons su rester solidaires, avons fait preuve de détermination et avons travaillé dur. Même après les défaites, nous bossions aux entrainements et cela a porté ses fruits », souligne l’ailier. « J’ai vraiment apprécié la cohésion du groupe, la solidarité de l’équipe face aux défis et aux difficultés. Nous avons su rester unis dans la victoire comme dans la défaite et cette saison fut un vrai apprentissage pour moi. »

« J’aurais aimé que Theux se frotte à notre collectif, mais on ne réécrira pas l’Histoire »

Greg Bastings revient sur la saison stratosphérique de Tilff en P1 et sa découverte d’un nouveau poste de jeu.

Greg, que retiens-tu de cette saison en P1 ?

Il y aurait énormément à dire dans une saison aussi riche que celle qui vient de se terminer. En tout premier, c’est le plaisir que j’ai eu de refouler les terrains avec mes anciens équipiers de l’équipe R2 – Grzesinski, Piret, Henrioulle, Mottard, Dispa et désormais coach Dubru – de 2017-2018, lorsque j’étais arrivé à Tilff, et le plaisir de découvrir le jeu et les personnalités de ceux que je ne connaissais pas. Il y a ces moments partagés après les entrainements et les matchs en trios, quatuors, quintets ou plus ; ils se reconnaîtront. Ensuite, évidemment, c’est d’avoir décroché ce titre de première provinciale. Les joueurs cités ci-dessus l’avaient déjà gagné ensemble en 2016-2017. Pour moi, c’est une première de remporter le championnat de P1 et j’avais à cœur de remporter un titre avec Tilff, c’est désormais chose faite. Nous avons également pu fixer à 19 le record de victoires d’affilée de Tilff au sein de l’élite provinciale, l’ancien était de 16 à l’époque de Quentin Pincemail. Je pense que nous pouvons dormir sur nos deux oreilles un moment avant d’être évincés. À titre plus personnel, j’ai bouclé ma première saison en tant meneur. J’avais quelques craintes en début d’exercice mais je pense avoir évolué positivement à ce poste au fil de la saison. Pour une première, c’était correct. Je pense que nous formons une paire assez complémentaire avec Jérôme Piret.

Comment évalues-tu votre bilan sportif ?

Je déclarais dans l’interview de mi-saison – où nous ne comptions une seule défaite – que je nous voyais perdre davantage de matchs au second tour. Je me suis au final bien trompé. C’est assez miraculeux d’avoir terminé le championnat avec une défaite au vu de la physionomie de certains matchs du deuxième tour, Saint-Louis et Union Liège notamment. Çela fait un mois et demi que la saison est terminée et j’ai encore du mal à réaliser ce que nous avons accompli avec ce 25-1. Rester concentrés, jouer de grosses défenses et maintenir sa confiance en nos équipiers même dans le dur nous a permis de revenir dans ce genre de matchs – ainsi qu’un peu de talent tout de même. Au niveau de la Coupe de la province, nous avions à cœur de réaliser le doublé en allant la chercher également. Malheureusement, nous sommes autant passés à côté de notre demi-finale que l’Étoile nous a fait déjouer. Les Jupillois méritaient leur place en finale. Cela reste une grosse déception pour moi. J’aurais aimé que Theux se frotte à notre collectif, mais on ne réécrira pas l’Histoire.

Quels furent les moments forts de cette saison ?

Notre remontée de 19 points à l’Étoile au premier tour pour empocher la victoire restera notre plus beau succès de la saison, et d’assez loin. Nous jouons au basket pour de tels matchs. Puis, bien entendu, il y a la célébration du titre à domicile et la fête qui a suivi jusqu’aux petites heures ainsi que la réception de notre trophée au dernier match.

Quel souvenir restera ton meilleur souvenir de cette saison ?

Je retiendrai la dernière action du dernier match contre Bellaire. De quoi se lancer à l’abordage de la R2 sur de bonnes bases !

Les Celtics sont à vendre !

La franchise valorisée à 5 milliards de dollars est à vendre.

A peine le temps de profiter d’un magnifique titre et d’une dix-huitième bannière que les Celtics sont à vendre. Wyc Grousbeck et le consortium Boston Basketball Partners ont annoncé vouloir se séparer de la totalité des parts de la franchise. Achetés pour 360 millions de dollars en 2002, la franchise de Bean Town serait désormais valorisée à 5 milliards de dollars. Un sacré retour sur investissement !

« Le buzzer de Cointe me fait toujours halluciner »

Julien Lemaire analyse la saison vécue par les Stavelotains en P2B.

Les Stavelotains ont bouclé cette saison 2023-2024 à une honorable sixième place dans la très compétitive P2B. « Nous avons disputé dix de nos treize matchs à l’extérieur lors du premier tour », rapelle Julien Lemaire. « Et nous avons d’ailleurs réussi un très beau premier tour. »

Avec treize victoires pour autant de défaites, les Stavelotains présentent un bilan à l’équilibre. « Je reste tout de même mitigé quant à notre bilan même si, de nouveau, nous n’avons pas été épargnés par les blessures et les absences », continue le coach de Stavelot. « J’avais annoncé en début de championnat que finir dans le Top 8 de cette série serait déjà très costaud. Nous finissons sixièmes, c’est donc pas mal. Mais je reste sur ma faim car, selon moi, nous comptons quatre défaites de trop : deux contre le Croatia, une contre Harimalia et le buzzer de Cointe qui me fait toujours halluciner. »

Sans faire de bruit, les Stavelotains font désormais partie des équipes qui comptent en deuxième privinciale. « Nous avons réalisé quelques belles performances notamment lors des victoires contres Flémalle et Visé qui sont des top équipes et groupes », souligne Julien. « Je suis aussi très content que nous arrivions à intégrer des jeunes de Stavelot en conservant leur philosophie. C’est top que le club soit là où il en est et que nous soyons suivis, encouragés et fêtés lors de chaque match à domicile. »

Crédit photo : DR

Arthur Goethals est le nouveau président de la BNXT League

L’ancien président d’Ostende succède au Néerlandais Ramses Braakman.

La présidence de la BNXT League passe sous pavillon belge. Arthur Goethals, ancien membre du Comité Olympique et président d’Ostende de 2007 à 2015, succède à Ramses Braakman. « Je suis honoré de cette nomination et je suis impatient de contribuer à la croissance et au succès de la BNXT League« , a réagi celui qui est aussi bien introduit au sein du basket européen.

« Ces Playoffs qui ont eu lieu pour la première fois »

Julien Walravens revient sur cette nouvelle saison réussie avec Tongres en Nationale.

Julien, que retiens-tu de la saison écoulée ?

Ce que je retiens de cette saison en TDM2, ce sont les Playoffs qui ont eu lieu pour la première fois. Dommage que cela soit obligé car plusieurs équipes ne voulaient pas monter car n’avaient pas la licence.

Comment analyses-tu votre bilan sportif ?

Nous terminons dans le Top 3, ce qui est notre objectif chaque saison… Du coup, notre saison est réussie !

Quels furent les moments forts vécus cette année ?

Nos deux matchs contre Bruges ! Deux défaites de quelques points mais deux très beaux matchs contre une excellente équipe qui termine première de la saison régulière et gagnante des Playoffs.

Et quel est ton meilleur souvenir ?

Nos deux victoires contre Sprimont qui est mon ancien club club ainsi que celui où j’ai la chance de coacher des jeunes de moins de seize ans.

Ajay Mitchell score 21 points pour guider le Thunder à la victoire contre Memphis

Le meneur liégeois continue d’impressionner et a été décisif pour son troisième match sous le maillot du Thunder.

Deuxième victoire pour OKC à la Summer League de Salt Lake City. Le Thunder s’est imposé de justesse contre Memphis, 80-77. Un succès qui doit beaucoup à Ajay Mitchell, excellent pour sa troisième prestation sous le maillot de la franchise de l’état des tornades. Le meneur liégeois a claqué 21 points à 7 sur 9 aux tirs tout en captant 8 rebonds. Une performance trois étoiles qui confirme encore davantage qu’Ajay Mitchell est désormais NBA ready.

Les jeunes pousses du Thunder bouclent cette Summer League dans l’Utah avec un positif bilan de deux victoires en trois matchs et prennent désormais la direction du Nevada et de la capitale du jeu pour une autre Summer League.

Crédit photo : OKC Thunder

Ajay Mitchell épate pour ses débuts avec le Thunder d’OKC

Ajay Mitchell a réussi ses premiers pas sur les parquets NBA.

Drafté en 38ème position par le Thunder d’OKC et actuellement détenteur d’un two-way contract qui lui permettra d’alterner entre la NBA et la G-League (la ligue de développement de la NBA) pour son année rookie, Ajay Mitchell faisait ses grands débuts sous le maillot du Thunder lors de la Summer League de Salt Lake City.

Pour son premier match, le Liégeois a compilé 14 points à 60% aux tirs, 4 passes décisives, 3 rebonds, 3 interceptions et 2 contres ! Une feuille de stats très complète dans la défaite de son équipe contre les Sixers, 92-102.

Lors du second match, Ajay Mitchell a pu déjà goûter aux joies de la victoire avec un succès acquis contre le Jazz, 98-75. Notre compatriote a réussi un double-double du meilleur aloi avec 11 points et 10 passes décisives ! Nul doute que le jeune meneur a réussi ses premiers pas en NBA et confirmé les espoirs que le staff du Thunder place en lui.

Crédit photo : OKC