Schröder et les Allemands ont enchainé contre le Brésil, décrochant une deuxième victoire consécutive, 86-73. Les Teutons sont assurés de rejoindre les quarts de finale du Tournoi Olympique et affronteront la France vendredi pour la première place de leur poule.
Schröder (20 points et 6 passes décisives) et les Allemands n’avaient pas de temps à perdre face aux Brésiliens et claquaient un tonitruant 22-10 pour prendre le large à l’issue du premier quart-temps. Mais Benite (17 points), Santos (18 points, 8 assists et 4 rebonds) et leurs partenaires ne l’entendaient pas de cette oreille et profitaient des dix minutes suivantes pour allier attaque pétaradante et défense efficace afin de recoller au score. A la pause, c’était l’égalité parfaite, 40 partout.
Au retour des vestiaires, Bonga (15 points), Wagner (17 points et 4 rebonds), Obst (14 unités) et les Teutons reprenaient leur marche en avant, à nouveau en s’appuyant sur leur défense pour reprendre la poudre d’escampette, 60-51 à la demi-heure. Les Brésiliens jetaient toutes leurs forces dans la bataille mais ne parvenaient à reproduire le scénario du second quart et s’inclinaient 86-73.
Les champions du monde en titre assurent ainsi leur qualification pour les quarts de finale et affronteront leurs voisins français vendredi à 21 heures pour le leadership de la poule B.
Match à suspens entre la France et le Japon. Porté par Hachimura et Kawamura les Japonais ont poussé les Français à la prolongation.
Après s’être imposés sans rassurer face au Brésil, les Français avaient une double mission contre le Japon : empocher une victoire indispensable et enfin afficher le niveau de jeu digne d’un prétendant à une médaille. Pour le deuxième objectif, ce fut loin d’être ça tant les protégés de Vincent Collet ont souffert face aux Nippons, ne devant leur salut qu’à un Strazel ultra clutch et à un Wembanyama décisif en prolongation.
Pourtant, Fournier (14 points – mais qui finira à 5 sur 18 aux tirs ! – et 6 passes décisives), Yabusele (13 unités) et leurs coéquipiers avaient bien démarré cette rencontre en scorant à foison pour mener 25-32 après dix minutes. Le deuxième quart était équilibré et à la pause, l’écart était presque inchangé, 44-49. Scénario identique à la reprise, les deux équipes rivalisant parfaitement. A la demi-heure, le marquoir affichait 64-69. Dans le dernier quart-temps, l’attaque tricolore s’enrayait. Kawamura (29 points, 7 rebonds et 6 assists), Hachimura (24 unités), malheureusement expulsé pour deux anti-sportives, Hawkinson (16 points et 8 rebonds) et les Japonais en profitaient pour recoller au score et même prendre l’avantage, 84-80 à 16 secondes du terme. Heureusement pour tous les supporters d’outre-Quiévrain, Strazel (17 points) rentrait un énorme « step back three », décrochant – très généreusement de la part du corps arbitral ! – le bonus en prime ! Le meneur local ne se loupait pas sur la ligne de réparation et envoyait les deux equipes en prolongation, 84 partout.
Dans le temps additionnel, Wembanyama (18 points, 11 rebonds, 6 passes décisives, 2 contres et autant d’interceptions) prenait ses responsabilités et sauvait la formation tricolore d’une défaite infâmante en marquant 8 des 10 points français pour arracher la victoire, 90-94. Sans briller, Gobert (7 points et 15 rebonds) et les « Frenchies »sont désormais assurés de rejoindre les quarts de finale.
Avec un RJ Barrett de gala, les Canadiens ont terrassé les Australiens pour décrocher leur billet pour les quarts de finale du Tournoi Olympique.
Les Canadiens et leur armada de joueurs NBA et les Australiens et leur jeu rugueux avaient réussi leurs début dans le tournoi en dominant la Grèce et l’Espagne. Les deux formations, en tête de la « poule de la mort », s’affrontaient ce mardi pour le leadership du groupe A. L’équation était simple : le vainqueur de ce duel sous haute tension recevrait son billet pour les quarts de finale.
La première mi-temps était âprement disputée. Dans le sillage de Giddey (19 points, 7 rebonds et 6 assists), Exum (15 unités) et Landale (16 points, 12 rebonds et 4 passes décisives), les Australiens viraient en tête après dix minutes, 26-28, et augmentaient encore légèrement leur avance au cours de second quart-temps pour compter quatre longueurs d’avance à la pause, 45-47.
Au retour des vestiaires, Gilgeous-Alexander (16 points, 4 rebonds et 3 passes décisives)), Brooks (16 unités), Barret (24 points, 7 rebonds et 5 assists) et leurs coéquipiers étaient transfigurés et défendaient le plomb pour renverser le cours de la partie et passer devant, 72-68 à la demi-heure. Dortz (11 unités) et ses partenaires continuaient sur leur lancée, les Aussies ne parvenant plus à trouver la faille dans la défense adverse. Les Canadiens s’imposaient 93-83 dans un match de très haut niveau. Une victoire qui assure aux Nord-Américains la qualification pour les quarts de finale du Tournoi Olympique et qui confirme les ambitions poursuivie par le Canada.
Malgré une nouvelle performance impressionnante de Giannis Antetokounmpo, les Grecs ont dû baisser pavillon face aux Espagnols qui peuvent encore croire à une qualification pour les quarts de finale du tournoi olympique.
Malheur au vaincu ! Ce duel européen entre l’Espagne et la Grèce, deux membres du « groupe de la mort », s’annonçait déjà décisif puisque le perdant risquait de voir ses chances de qualifications pour les quarts de finale réduites à peau de chagrin.
Les dix premières minutes étaient âprement disputées et voyaient Giannis Antetokounmpo (27 points et 11 rebonds) et les Grecs mener d’une minuscule unité, 21-22. Dans le second quart-temps, Aldama (19 points, 12 rebonds et 3 contres) et les Ibères prenaient totalement l’ascendant sur les Héllènes pour virer largement en tête à la pause, 49-35.
Le passage au vestiaire s’avérait salutaire pour Toliopoulos (14 unités) et les Grecs qui dressaient les barbelés derrière pour refaire une bonne partie de leur retard. A la demi-heure, le match était relancé et le marquoir affichait 62-56. Dans le money time, les deux équipes se rendaient coup pour coup mais Lulull (13 points et 7 assists) et les Espagnols parvenaient à conserver leur mince avance pour s’imposer 84-77 et s’offrir le droit de rêver encore à poursuivre leur route dans ce tournoi olympique.
Kevin Durant a épaté tous les observateurs pour son retour sur les parquets contre la Serbie.
Sur la touche durant toute la préparation des Américains, Kevin Durant a pourtant immédiatement retrouvé ses sensations pour le premier match du tournoi face à la Serbie de Nikola Jokic (20 points, 8 rebonds, 5 passes et 4 interceptions).
Le double champion montait sur le parquet après huit minutes de jeu et scorait sur sa première possession, livrant une première période absolument parfaite avec 21 points à 7 sur 7 aux tirs ! Un récital absolument déterminant pour Team USA qui profitait de son longiligne forward pour prendre l’avantage avant la pause.
Kevin Durant bouclait finalement cette rencontre remporté 110-84 par les Américains avec 23 points et un seul tir loupé ! « Quand il revient d’une longue absence, vous ne le remarquez même pas. Je veux dire, il est tellement doué, on aurait dit qu’il était dans la forme d’un joueur en cours de saison alors qu’il n’a pas joué un vrai match depuis des mois. C’est incroyable« , s’extasiait Steve Kerr, aux premières loges pour admirer la performance de son ancien joueur et qui a choisi, du coup, de laisser Jayson Tatum sur le banc.
« KD a été phénoménal. C’est presque comme s’il n’avait pas raté le moindre instant, le moindre entraînement, le moindre match ou quoi que ce soit« , approuvait LeBron James, impérial face aux Serbes avec 21 points, 7 rebonds et 9 assists. « C’est juste un talent surnaturel. Je pense qu’il est encore plus dur quand il s’entraîne, et quand le match commence, c’est juste de la routine pour lui.«
Autant dans la manière que dans les chiffres, les Belgian Cats ont déçu contre l’Allemagne, concédant un revers de quatorze unités qui complique l’accession aux quarts de finale. Jeudi contre l’impressionnante armada américaine, les Belges n’auront qu’une option : réussir le meilleur match de leur histoire.
Face à l’adresse, la puissance et au collectif des Allemandes, les Cats ont rarement eu voix au chapitre, étant menées durant quarante minutes avec un écart qui dépassa la vingtaine d’unités. « Nous n’avons pas développé le jeu que nous avons l’habitude de développer. Alors oui Julie nous aurait fait du bien grâce à sa lucidité, sa sérénité et sa créativité, ce qui nous a fait défaut dans ce match. En préparation, on a fait de bonnes choses sans elle mais dès que le niveau s’élève un peu, nous sommes en difficulté », analysait le coach Rachid Meziane au micro de la RTBF. « On a commencé à douter, à hésiter, et notre basket s’est effrité. Ça nous a mis directement dans une mauvaise posture et c’est quelque chose que nous avons peu expérimenté depuis mes débuts. Peut-être qu’il nous manque un peu d’expérience dans ces moments complexes afin de relever la tête. »
Un revers qui complique les chances de qualification des Cats pour les Belgian Cats, davantage encore avec cet écart final – 14 points dont 4 points encaissés sur les deux dernières possessions – qui risque de peser lourd dans la balance en cas d’égalité au terme de la phase de poule.
Les deux prochains adversaires des Belges sont en effet des formations redoutables, à commencer par les Etats-Unis, favoris du tournoi. « Dans la réaction, peut-être que nous serons capables de sortir une grande performance contre les États-Unis. Il faudra vite switcher pour continuer d’y croire« , ajoutait encore le sélectionneur de la Belgique.
Les Américaines ont dominé de la tête et des épaules le Japon, 102-76. Si le score est impressionnant, il faut souligner que Takada (24 points), Yamamoto (17 points et 5 assists) et les Nipponnes n’étaient menées « que » 50-39 à la pause. Mais face Wilson (24 points, 13 rebonds, 4 passes décisives et 4 contres), Stewart (22 points, 8 rebonds, 3 assists et autant de blocks), Grittner (11 points et 9 rebonds) ou encore Ionescu (11 points et 5 assists) et Plum (11 unités), difficile de rivaliser. Si Américaines ont eu une préparation écourtée, elles possèdent indéniablement l’effectif le plus complet et talentueux du tournoi. Pour parvenir à créer l’exploit face Team USA, les Belges n’auront qu’une option : réussir le meilleur match de leur histoire….
Avec leur double MVP sur le terrain, les Serbes ont fait jeu égal avec les Américains. Sans lui, ils ont bu le bouillon.
On peut faire dire ce qu’on veut aux statistiques mais celle-ci ne passe pas inaperçue. Face à Team USA, les Serbes se sont lourdement inclinés malgré la bonne prestation de leur leader Nikola Jokic (20 points, 8 assists, 5 rebonds et 4 interceptions).
Battus 110-84, les Serbes ont pourtant fait jeu égal avec les favoris du tournoi lorsque le Joker était au jeu. Lors des 31 minutes passées sur le terrain par Jokic, le score affiche une belle parité, 81 partout. Mais lors des 9 minutes passées sur le banc par le champion NBA, la Serbie a subi un terrible 3-29 ! Des chiffres qui donnent le tournis et confirment le rôle essentiel du pivot dans la réussite de sa sélection nationale.
En Hongrie pour les European Universities Games 2024, les équipes de l’Université de Liège ont porté bien haut les couleurs de la Belgique.
Pour cette compétition européenne universitaire, Tom Ventat, Simon Ferette, Manon Descamps, Marie Peeters et leurs coéquipiers et coéquipières ont mis les mains dans le cambouis afin de rendre possible la participation de l’ULg. « Quand on voit les autres équipes avec des joueurs professionnels, plusieurs double-mètres, des joueurs et joueuses qui sont payés ou ont leurs minervaux remboursés, cela laisse songeur », glisse Kevin Reyserhove, coach de l’équipe masculine. « Nos adversaires avaient des tenues différentes pratiquement tous les jours alors qu’en Belgique, chaque participant paie environ 1000 euros pour y aller et on porte le même t-shirt toute la semaine ! »
Une différence de moyens qui n’a pas empêché les Belges de briller sur les parquets, les garçons terminant à une superbe cinquième place d’un tournoi remporté par les Lituaniens de Magnus University – dont un joueur s’était inscrit à la draft NBA ! – tandis que les filles bouclaient la compétition à la onzième place, les Italiennes de Bologne remportant la médaille d’or. « Pour les garçons, cette cinquième place est tout simplement incroyable vu le niveau affiché par les autres équipes. Les filles ont eu moins de chance avec les blessures mais sont aussi à féliciter », analyse Kevin.
Sur le terrain comme en dehors, l’aventure fut belle pour ces Liégeoises et Liégeois passionnés du ballon orange. « Je suis très fier de ce que les gars ont montré. Ils ont tout donné. J’étais fier d’être Belge », sourit celui qui officie à la tête de la TDM2 du RBC Ninane.
Un match restera sans doute dans la mémoire de Kevin et de ses joueurs : celui contre la Hongrie, pays hôte. « Nous étions menés de 13 points à six minutes de la fin et avons fini par nous imposer d’une toute petite unité pour terminer à la première place de notre poule », raconte le coach heureux. « Les arbitres se faisaient courser par des supporters, les adversaires ne voulaient pas nous serrer la main, les spectateurs nous adressaient des gestes obscènes en nous insultant et les filles ont envahi le terrain au coup de sifflet final. Quelle énorme ambiance ! »
Un joli parcours et des souvenirs plein la tête pour ces étudiantes et étudiants liégeois, aussi à l’aise dans les amphithéâtres que balle en main.
Les Allemandes ont totalement dominé les Belgian Cats pour s’imposer 83-69. Un large écart qui pourrait peser lourd pour les Cats au décompte final.
Les Cats, championnes d’Europe en titre et sixièmes au ranking mondial, débutaient leur tournoi olympique dans le costume de favorites face à des Allemandes compétitives mais qui n’avaient encore jamais participé aux Jeux Olympiques et qui avaient terminé à la sixième place du dernier Euro.
Pourtant, le début de match était nettement à l’avantage des Teutonnes qui inscrivaient rapidement deux triples et filaient à 11-3, obligeant le sélectionneur Rachid Meziane à craquer un premier temps-mort. Emma Meesseman (25 points, 5 assists, 2 steals et 2 blocks) tentait de tenir la Belgique à bout de bras, en fade-away puis dans le corner, mais les Belges, dépassées dans le combat physique et coupables de balles perdues évitables ne parvenaient pas à recoller au score. Maxuella Lisowa (5 points, 2 rebonds et autant de passes décisves) et Mununga (2 points) avaient beau y aller chacune d’un panier, le score était sans appel après dix minutes : 25-11.
Au début du second quart-temps, c’était Linskens (12 points et 6 rebonds) qui prenait le relais de la capitaine des Cats en s’illustrant des deux côtés du terrain mais, à nouveau, un peu trop de légereté avec le cuir venait ruiner les efforts belges et les Allemandes continuaient leur marche en avant, augmentant encore leur avance, 46-25 à la pause.
Le passage au vestiaire semblait s’être avéré salutaire pour nos compatriotes qui remontaient sur le parquet le couteau entre les dents. Bien plus agressives derrière, les Cats passaient un 0-8 d’entrée, obligeant la coach allemande à stopper l’hémorragie sous les acclamations des nombreux supporters belges qui garnissaient les gradins de la vaste enceinte lilloise. Emma Meesseman continuait son travail de sape, ramenant la Belgique à 47-36 mais sans réellement paniquer et avec toujours une excellente adresse derrière l’arc, Fiebich (16 points et 5 steals) et les Teutonnes reprenaient le large. A la demi-heure, le marquoir affichait 60-42.
A l’entame du dernier round, les Cats trouvaient enfin de l’adresse longue distance. Julie Vanloo (18 points et 6 passes décisives mais 6 balles perdues) et Antonia Delaere (3 points à 1 sur 9 aux tirs, 5 rebonds et 2 assists) faisaient mouche de loin et Elise Ramette (2 points et 3 passes) filait en contre-attaque pour ramener les Belges à 68-54 à la trente-cinquième minute. Buhner (11 points) redonnait cependant de l’air à nos voisines d’outre-Rhin. Emma Meesseman et Julie Vanloo parvenaient encore à ramener la Belgique à dix points, 79-69, avant que leurs adversaires ne marquent quatre points dans les vingt-cinq dernières secondes pour confirmer leur victoire totalement méritée, 83-69.
En panne d’adresse, avec trop peu de solutions offensives, dominées dans le combat physique et par l’adresse des Allemandes (8 sur 16 from downtown), les Belgian Cats ont loupé leur entrée en matière. L’absence de Julie Allemand – dont le maillot floqué 55 – était disposé sur une chaise vide le long du banc – a pesé pour amener de la créativité offensive et contrôler la chef d’orchestre germanique, la naturalisée Perterson (15 points, 8 assists et 5 rebonds). Surtout, en concédant quatre unités en toute fin de match, les Belges se sont compliquées la tâche pour la suite alors que l’average pourrait s’avérer déterminant et que les deux prochaines rencontres s’annoncent difficiles, face à l’ogre américain jeudi et à l’atypique formation nipponne dimanche.
Le duel entre deux prétendants à la victoire a largement tourné en faveur des Américains portés par d’exceptionnels Kevin Durant et LeBron James.
Pour lancer leur tournoi olympique, Serbes et Américains n’avaient pas droit à un round d’échauffement, devant immédiatement s’affronter. Et si Nikola Jokic (20 points, 8 assists, 5 rebonds et 4 interceptions) allait totalement dominer Joël Embid (4 points et 2 rebonds) – qui est le vrai MVP ? – et tenir son rang, les Serbes n’allaient tout simplement pas faire le poids face à une équipe des Etats-Unis qui pouvait compter sur le retour de Kevin Durant (23 points à 8 sur 9 aux tirs).
Sur la touche durant toute la préparation, le double champion montait sur le parquet après huit minutes de jeu et scorait sur sa première possession, livrant une première période absolument parfaite avec 21 points à 7 sur 7 aux tirs ! L’entrée au jeu du longiligne forward coïncidait avec l’envol des Américains, poussifs jusque-là, qui menaient 25-10 après dix minutes et 58-49 à la pause.
En seconde période, c’est LeBron James (21 points, 7 rebonds, 9 assists mais 6 balles perdues) qui endossait le costume du patron pour permettre aux Ricains de creuser leur avantage, 84-65 à la demi-heure. Bogdanovic (14 points et 6 rebonds), Micic (11 unités) et les Serbes ne pouvaient rien faire face au porte-drapeau US et ses partenaires Curry (11 points, 3 rebonds et autant de passes décisives), Edwards (11 points et 5 rebonds), Holiday (15 points, 4 rebonds et 3 assists) et Booker (12 points et 5 passes décisives), Kerr s’offrant même le luxe de laisser Tatum et Haliburton sur le banc toute la rencontre. Les représentants du pays de l’Oncle Sam s’imposaient 110-84, confirmant leur statut de favoris de la compétition.