« C’est en défense que nous avons perdu ce match »

Devant une assistance record et dans une ambiance incroyable, SFX a enlevé la première manche de la finale des Playoffs de R1 contre Pepinster, 93 à 84. Jordan Maucourant, qui a dû être évacué en fin de rencontre suite à un choc particulièrement rude, donne des nouvelles de son état à Liège & Basketball et analyse ce game 1.

Jordan, quel est le diagnostic?

Je n’ai pas de déplacement de vertèbres, juste une grosse douleur à la nuque. Je dois porter une minerve pendant trois jours.

Tu pourras participer au match retour?

Si je m’en sens capable, je pourrais jouer.

Quels enseignements tires-tu de votre revers à SFX?

C’est défensivement que nous avons perdu ce match. Les Collégiens ont rapidement pris dix points d’avance et nous avons couru toute la partie après le score sans jamais parvenir à passer devant. Quand nous réalisions une bonne séquence et que nous recollions au score, nous faisions une ou deux erreurs qui se payaient cash.

Que vous a-t-il manqué pour l’emporter?

De la rigueur défensive. Je pense que l’envie était présente et qu’en attaque cela tournait bien mais cela devient compliqué de gagner un match en encaissant plus de nonante points.

N.B. : le résumé commenté de VEDIA est ici.

« Lussadissu est entré en action »

Au coude-à-coude à la pause, Haut-Pré et Alleur se sont livrés un beau duel duquel les locaux sont sortis vainqueurs, 86-73.

Devant une belle assistance, les deux équipes ne parvenaient pas à se départager, se rendaient coup pour coup et dépassaient les 40 points marqués. « Les attaques ont pris le dessus sur les défenses en première mi-temps » souligne Yves Dehousse.

En deuxième période, les locaux parvenaient à se détacher. « Lussadissu est entré en action et nous avons réduit l’apport des shoots extérieurs d’Alleur » continue Yves Dehousse. Au finale, Haut-Pré l’emportait 86 à 73.

« Nous avons fait un pas vers la R2 mais le deuxième reste le plus dur à faire » prévient Yves Dehousse en prévision du game 2 qui se déroulera mardi à Alleur.

« Pourquoi ne pas finir premiers du tour final? »

Ce dimanche, la « bien belle » équipe d’Alleur affrontera La Villersoise pour l’ultime rencontre du tour final des meilleurs troisièmes de P3. Axel Schoonbroodt préface cette rencontre et analyse la saison vécue par sa formation.

Axel, ce dimanche vous affronterez La Villersoise pour déterminer votre position dans le tour final des meilleurs troisièmes de P3. Avec quel état d’esprit allez-vous disputer cette rencontre?

Sans pression mais pourquoi ne pas finir premiers de ce tour final? (rires).

Lorsque tu jettes un regard dans le rétro, quel bilan tires-tu déjà de votre saison?

Dans les chiffres, notre objectif de début de saison est atteint avec seulement quatre défaites au compteur, soit moitié moins que la saison précédente. Mais nous avons tout de même quelques regret de ne pas figurer plus haut au classement car nous avons été battus deux fois d’un point au premier tour contre les deux futurs montants.

Des Collégiens offensifs s’adjugent le game 1

Dans une salle pleine à craquer, SFX a fait parler la poudre en attaque pour remporter la première manche de la finale des Playoffs de première régionale.

Tout Verviers et les amateurs de basketball se sont donnés rendez-vous pour cette première manche de la finale des Playoffs de première régionale entre SFX et Pepinster. Deux formations hautement compétitives et dégoulinantes de talent(s). Deux équipes qui se connaissent et s’apprécient et qui s’affrontent pour la suprématie de l’arrondissement verviétois et un ticket pour la D3 (pas forcément dans cet ordre là d’ailleurs).

Une dernière danse pour les Collégiens avant de prendre des directions différentes. Aubel pour le trio Bousmanne/Perin/Gerarts, Ans pour Fred Delsaute, Sprimont pour Gaetan Hertay, Visé pour le coach Christophe Grégoire et… Pepinster pour Hugo Marechal. Du côté visiteur, la majorité du groupe est reconduite pour la prochaine saison. Et si Kevin Snakers ne fut pas reconduit pour l’an prochain et prendra dès lors la direction de Sainte Walburge, il n’en reste pas moins particulièrement performant pour les Pépins.

En championnat, ce derby avait accouché d’une victoire des locaux au terme d’une rencontre où les défenses avaient pris le pas sur les attaques. Pour la première manche de cette finale verviétoise, devant une assistance en mode record, c’est un tout autre départ que prennent les deux équipes. Les Collégiens, appliqués et en réussite, parviennent à inscrire 27 points lors des dix premières minutes pour se détacher à 27-22 à l’issue du premier quart-temps.

Dans notre sondage sur la page officielle de Liège & Basketball, seuls 43% de nos lecteurs ont misé -tant qu’à présent- sur SFX vainqueur de ce game 1 même si les caractéristiques de l’atypique salle du Collège Saint Michel constituent un atout non-négligeable pour Cordonnier et compagnie. « Les installations du Collège Saint Michel conviennent mieux au style de jeu des locaux » reconnaissaient d’ailleurs Thibaut Julémont dans nos colonnes ce matin. Le deuxième quart-temps semble donner raison à l’ailier pépin. Sur leur lancée des dix premières minutes, Hertay et ses coéquipiers creusent l’écart grâce à une attaque florissante. A la pause, le marquoir affiche 51 à 42 en faveur de SFX.

Peu d’observateurs auraient parié sur un tel score à la pause et sur une partie aussi offensive. Et à ce petit jeu là, difficile de rivaliser avec les Collégiens, même si Maucourant et ses coéquipiers ont démontré au tour précédent une capacité certaine à scorer à profusion. La reprise est davantage en faveur des Pépins qui se rapprochent à 66-64 après six minutes de jeu. Mais Perin et ses coéquipiers ne s’en laissent pas compter et, toujours aussi offensifs, refont le break. C’est 77-71 à la demi-heure.

Dans le dernier quart, les défenses sont plus étouffantes et les paniers plus rares. A trois minutes du terme, Pepinster a refait une partie de son retard, c’est 86-82. Mais les Collégiens tiennent bon et signent une belle séquence pour reprendre le large alors que, bien plus grave que le résultat et plus important que le basket, Jordan Maucourant doit être évacué après choc particulièrement rude (croisons les doigts pour le sympathique meneur de Pepinster). La partie fut logiquement longuement arrêtée et, au final, les locaux s’imposent 93 à 84.

L’attaque de SFX surclasse Pepinster

Dans une salle pleine à craquer, SFX fait feu de tout bois d’entrée de jeu et aligne les paniers pour mener 51-42 à la pause. Reportage de la première mi-temps.

Tout Verviers et les amateurs de basketball se sont donnés rendez-vous pour cette première manche de la finale des Playoffs de première régionale entre SFX et Pepinster. Deux formations hautement compétitives et dégoulinantes de talent(s). Deux équipes qui se connaissent et s’apprécient et qui s’affrontent pour la suprématie de l’arrondissement verviétois et un ticket pour la D3 (pas forcément dans cet ordre là d’ailleurs).

Une dernière danse pour les Collégiens avant de prendre des directions différentes. Aubel pour le trio Bousmanne/Perin/Gerarts, Ans pour Fred Delsaute, Sprimont pour Gaetan Hertay, Visé pour le coach Christophe Grégoire et… Pepinster pour Hugo Marechal. Du côté visiteur, la majorité du groupe est reconduite pour la prochaine saison. Et si Kevin Snakers ne fut pas reconduit pour l’an prochain et prendra dès lors la direction de Sainte Walburge, il n’en reste pas moins particulièrement performant pour les Pépins.

En championnat, ce derby avait accouché d’une victoire des locaux au terme d’une rencontre où les défenses avaient pris le pas sur les attaques. Pour la première manche de cette finale verviétoise, devant une assistance en mode record, c’est un tout autre départ que prennent les deux équipes. Les Collégiens, appliqués et en réussite, parviennent à inscrire 27 points lors des dix premières minutes pour se détacher à 27-22 à l’issue du premier quart-temps.

Dans notre sondage sur la page officielle de Liège & Basketball, seuls 43% de nos lecteurs ont misé -tant qu’à présent- sur SFX vainqueur de ce game 1 même si les caractéristiques de l’atypique salle du Collège Saint Michel constituent un atout non-négligeable pour Cordonnier et compagnie. « Les installations du Collège Saint Michel conviennent mieux au style de jeu des locaux » reconnaissaient d’ailleurs Thibaut Julémont dans nos colonnes ce matin. Le deuxième quart-temps semble donner raison à l’ailier pépin. Sur leur lancée des dix premières minutes, Hertay et ses coéquipiers creusent l’écart grâce à une attaque florissante. A la pause, le marquoir affiche 51 à 42 en faveur de SFX.

SFX versus Pepinster: analyse d’une finale rêvée

SFX versus Pepinster, c’est sans doute la finale de Playoffs rêvée en première régionale. S’il semble difficile de se livrer à un pronostic, Liège & Basketball présente et analyse les facteurs clés de cette série à haute intensité.

La distribution: La montée en puissance de James Deblond combinée à la forme étincelante de Jordan Maucourant semblent offrir un avantage à Pepinster qui peut aussi compter sur Halkin et Maucourant à cette position. Mais avec Cordonnier et Gilles Wilkin (et parfois Mayron), SFX possède de l’expérience, du shoot et du culot. Et Fred Delsaute peut aussi assurer des passages de qualité à cette place.

La paire Delsaute/Hertay: Le duo Delsaute/Hertay est sans doute sans équivalent en région liégeoise en termes d’expérience et de talent. Sa capacité à se sublimer lors des grands rendez-vous n’est plus à démontrer et pourrait se révéler cruciale pour les Collégiens.

Kevin Snakers: Non-conservé par Pepinster pour la prochaine saison, l’ailier livre d’excellents Playoffs. S’il parvient à reproduire ses performances du premier tour, Kevin sera un atout de poids pour Pascal Mossay.

Chikhaoui et Perin: Quand Chikhaoui est en forme, Pepinster ne craint rien ou presque. C’est un peu la même chose pour SFX avec Raphael Perin, véritable métronome des dauphins de Nivelles. Précieux, polyvalent, impactant, l’ailier à tout bien faire du Collège détient peut-être les clés de la série.

Le rebond offensif: Avec Marechal et Nyssen, SFX et Pepinster possèdent deux aspirateurs à rebonds offensifs. Souvent bien placés, les deux futurs coéquipiers s’offrent de nombreux paniers faciles et des secondes chances à leurs partenaires grâce à leur présence au rebond.

Gerarts et Agapit: L’énergie de Gerarts en sortie de banc, sa capacité à scorer de loin ou sur contre-attaque et à provoquer des fautes sont de précieux atouts pour SFX. Pour Pepinster, tout devient plus facile lorsque Philippe Agapit est agressif offensivement et, surtout, adroit. Dans une série qui pourrait s’avérer fermée, surtout lors du/des match(s) dans la salle du Collège, les deux bonhommes pourraient servir de détonateur offensif.

Le début de match: Pepinster a démontré contre Saint Louis une capacité à prendre feu d’emblée. La capacité des Collégiens à bien démarrer les rencontres sera cruciale.

La salle de SFX: Cela a été dit et redit: il est particulièrement ardu de s’imposer dans la petit salle du Collège. Pourtant, Pepinster devra gagner au moins une fois à SFX pour accéder à la TDM2.

La gestion des émotions: Deux groupes qui se connaissent et s’apprécient, deux équipes bénéficiant d’un important soutien populaire et la pression d’une finale. Voilà des éléments à gérer pour cette série. Les Pépins, dont la majorité du groupe est conservée pour la prochaine saison, auront à coeur de gagner le droit de rejoindre la D3. Du côté de SFX, il s’agit de la dernière danse de cette équipe avant explosion. Sans pression, les Collégiens seront-ils libérés?

« L’équipe qui en voudra le plus remportera la finale »

Il y a de fortes chances pour que ce samedi soir, à Haut-Pré, Matthieu Dallenogare soit envoyé sur Sebo Lussadissu pour tenter de le ralentir. A quelques heures de la première manche de cette demi-finale de Playoffs de P1, l’ailier du BC Alleur fait le point pour Liège & Basketball.

Matthieu, aviez-vous une préférence entre Haut-Pré et Spa pour l’adversaire que vous souhaitiez affronter en finale?

Nous n’avions pas spécialement de préférence. Les deux équipes sont d’un bon niveau.

Ce sera finalement Haut-Pré. Avez-vous concocté un plan anti-Lussadissu?

Ne sachant pas l’équipe que nous allions affronter en finale, les consignes n’ont pas encore été données.

Selon toi, quelles seront les clés de cette série?

Pour moi, c’est assez simple: l’équipe qui en voudra le plus remportera la finale.

Que devrez-vous faire pour remporter la première manche à l’extérieur?

Il faudra jouer intelligemment et nous battre en défense car Haut-Pré est une équipe qui possède une certaine expérience et qui a des facilités pour alimenter le marquoir.

Superbe remontada et exploit pour Herve-Battice

Grâce à un formidable run dans le dernier quart-temps et à une Hélène Remy impériale, Herve-Battice a réalisé un véritable exploit pour enlever la première manche de la finale de R2 Dames à Fleurus.

En déplacement à Fleurus ce vendredi, Herve-Battice pouvait compter sur le soutien de ses supporters. Malgré cela, le début de rencontre était à l’avantage des locales qui s’isolaient à 15-7 après dix minutes. « Notre début de rencontre fut compliqué. Malgré les consignes d’avant-match, notre repli défensif était insuffisant et, en attaque, les filles ne prenaient pas leurs responsabilités » débriefe Alain Denoel.

Dans le deuxième quart, les filles de l’Aubelois retrouvaient leur intransigeance défensive et la mire en attaque. Herve passait devant, 27 à 28, pour rentrer aux vestiaires. « Notre deuxième quart fut nettement meilleur et Hélène Remy était incandescente avec 10 points inscrits dans ces dix minutes et 13 durant la première mi-temps » poursuit Alain.

Comme pour confirmer que cette rencontre était un match de « séries », Fleurus redémarrait pied au plancher tandis que les Fromagères éprouvaient toutes les peines du monde à alimenter le marquoir. A la demi-heure, les locales pensaient avoir fait le plus dur, c’était 42-31. « Nous savions que le début du troisième quart serait primordial. Pourtant, de manière incompréhensible, nous retombions dans nos travers en refusant des shoots ouverts et en abusant de l’extra-pass » soupire l’entraineur visiteur. « A ce moment là, peu de personnes y croyaient encore…« 

Mais les Herviennes ont de la ressource et le prouvaient en collant à Fleurus un 8-23. « Cette équipe a du coeur et nous sommes remontés au jeu avec énormément de concentration » sourit Alain. « Collignon, Bonvoisin et encore Remy nous ramenaient très vite au score. S’ensuivait alors un chassé-croisé digne des meilleurs thrillers avant que D’Haene nous sorte une magnifique séquence offensive avec deux triples et deux lancers.« 

Les visiteuses étaient lancées et plus rien ne les arrêtait. « Fleurus était asphyxié par notre défense et par un public liverpoolien » continue Alain. « La troisième remontada de la semaine se déroulait sous nos yeux et cela malgré un déchet incompréhensible aux lancers. » Herve l’emportait 50-54 devant ses supporters extatiques.

« Une nouvelle victoire décrochée au caractère avec une Hélène Remy impériale ( 21 points, 9 rebonds, 3 contres) et un collectif défensif que ne renierait pas le coach des Pistons de Tilff, mon ami Quentin Pincemail » conclut le coach victorieux.

Herve-Battice a désormais deux opportunités de remporter la finale avec, déjà, la prochaine manche à domicile mercredi à 20 heures.

« Deux coups de massue en une semaine »

Ce sont deux défaites qui sont venues solder les deux premières rencontres de SFX dans le tour final des meilleurs deuxièmes de P4. Terence Gabriel et ses coéquipiers joueront leur va-tout ce weekend.

« L’équipe a pris deux coups de massue en l’espace d’une semaine et nous n’avons plus vraiment notre sort entre nos mains » reconnait Terence Gabriel. « Mais nous devons relever la tête pour tenter de remporter nos deux derniers matchs. Certains gars montrent déjà un sentiment d’abandon mais il est hors de question de penser de la sorte.« 

Samedi, SFX défiera Bellaire, autre formation sans victoire, et enchainera dimanche avec Harimalia, une équipe invaincue et déjà certaine de rejoindre la P3 l’an prochain. « Après notre mauvais départ, le plus important est de retrouver le niveau de jeu qui est le nôtre et de prendre du plaisir » poursuit Terence. « Nous devons tout donner pour clore positivement le travail fourni durant la saison et surtout pour nos fervents supporters qui nous suivent en nombre depuis le début de saison.« 

Haut-Pré versus Alleur: analyse d’une finale indécise

La finale des Playoffs de première provinciale opposera Haut-Pré et Alleur. Passage en revue des forces en présence et des duels clés de cette série.

La finale des Playoffs de première provinciale opposera Haut-Pré et Alleur. Difficile d’établir un pronostic, Haut-Pré se présentant déforcé face à des All Blacks convaincants depuis le début de l’année civile. Liège & Basketball tente quand même de mesurer les forces en présence.

La distribution: égalité

Le retour de Bernard, même s’il n’est pas à 100%, fera du bien à la distribution afin de permettre à Efferz, précieux face à Spa, de pouvoir souffler. Du côté d’Alleur, le duo Materne-Horrion est complémentaire. Virgile apporte sa fougue et son scoring tandis que Geoffrey amène son expérience, sa qualité de passe et sa précision à mi-distance. Pour ses derniers matchs, Horrion sera sans doute doublement motivé.

Les ailes: avantage Haut-Pré

Il y a du talent à Alleur avec, notamment, Damien Callut et Matthieu Dallenogare mais Haut-Pré peut se reposer sur Sebo Lussadissu, sans doute le joueur le plus doué offensivement de P1. En l’absence de l’autre leader offensif d’Ougrée (Stéphane Grandry), Sebo devra apporter un important quota de points à chaque match. Il en est capable. C’est peut-être lui qui détient la clé de la série. Un Lussadissu à 35 points de moyenne à plus de 50% aux tirs pourrait faire basculer la série dans le camp du Haut-Pré

Les intérieurs: égalité

Avec Lozina et les « Di Pro » notamment, Alleur possède différents profils complémentaires et performants. C’est aussi le cas pour Haut-Pré avec la triplette Grandry-Herman-Cremer. Un Crémer précis à distance pourrait servir de « X-Factor » pour Haut-Pré mais l’expérience de Serge Di Prospero pourrait aussi se révéler capitale et cruciale pour Alleur.

Les bancs: avantage Alleur

Dans ce secteur, il n’y a pas photo. Le banc d’Alleur est plus fourni et homogène que celui du Haut-Pré. Un sérieux avantage pour les gars de Maurice Notelaers qui pourront conserver une intensité supérieure sur toute la durée d’un match et de la série. Mais Haut-Pré a démontré face à l’effectif pléthorique de Spa sa capacité à tourner avec une rotation courte. Attention toutefois à la fatigue avec l’accumulation des matchs.

Les coachs: égalité

Maurice Notelaers et Yves Dehousse sont deux excellents entraineurs, et le premier peut se targuer d’une expérience à haut niveau (D2 à Ninane notamment). Deux techniciens reconnus, réputés, deux fins tacticiens qui livrent là leur dernier combat avec leur équipe avant de passer la main.

Verdict: 50-50

Difficile de départager ces deux belles équipes. La fatigue pourrait jouer un rôle crucial, tout comme l’adresse. Le Haut-Pré possède l’avantage du terrain, un atout précieux. Le vainqueur du game 1 prendra en tout cas une sérieuse option sur la victoire finale.