Duel entre Belgian Cats pour lancer la saison WNBA

Joli cadeau que nous offre la WNBA avec un duel belgo-belge pour ouvrir la saison.

Emma Meesseman, championne en titre avec les Mystics, recevra Julie Allemand et son équipe d’Indiana dès le premier match de la saison fixé le 25 juillet (23h heure belge).

Elia, on est avec toi !

Désormais sauvée, la jeune basketteuse de la région hutoise met les bouchées doubles pour retrouver les terrains… grâce à votre aide ? En Allemagne, la chaise musicale est à la mode à Bamberg et Göttingen. On n’en a pas parlé à l’époque, mais l’ancien Pepin, Stanley Burrell, est le fils de MC Hammer, le rappeur US. Ce sont les infos d’EMCE.

Tous ensemble pour gagner le combat de la Principautaire

Elia Fontaine (photo) a été une des premières victimes de l’actuelle pandémie. Pour la sauver, la Faculté a été obligée de lui amputer une partie du pied droit. Mais, la Hutoise est une combattante et s’est mise en tête de remonter un jour sur les terrains de basket, comme le relate la presse régionale. Pour ce faire, une prothèse spécifique – et non remboursée par la mutuelle – lui est nécessaire apprenons via un document relatant le combat de la courageuse Hutoise. Raison pour laquelle, Zakaria Henrard a décidé de lui venir en aide financièrement en créant un crowfunding en sa faveur. Tout apport sera donc le bienvenu, via « gofundme.com ». Sûr que Pepito – son surnom dans le monde du basket – va remporter le match le plus important de sa vie ! Toutes les informations supplémentaires se trouvent ici.

A Göttingen, un Limbourgeois à la place d’un Anversois

On en ignore la raison, mais à Göttingen et à Bamberg, on apprécie tout particulièrement le coaching « made in Belgium ». Il y a peu, Brose Bamberg a engagé Johan Rooijakkers, cet Hollandais résidant dans le Limbourg belge. Le technicien arrivait en droite ligne de Göttingen où il sera remplacé par Roel Moors, en provenance de… Bamberg, évidemment. Autrement dit, ces deux-là poursuivent leur prometteuse carrière outre-Rhin.

Que sont-ils devenus ? Stanley Burrell, fils de… MC Hammer

Pour l’heure, l’ancien Etasunien du Paire accuse 35 printemps au compteur. Mais, il a déjà stoppé sa carrière professionnelle, voici quatre ans, du côté de Slupsk, en D1 polonaise. Avant de rejoindre le Forum alostois, il avait fréquenté les hauteurs wegnolaises durant l’exercice 09/10. Pour le plus grand malheur d’un certain Jürgen Van Meerbeeck… « J’ai eu du mal à accepter ma mise à l’écart de Pepinster. En effet, je n’avais commis qu’une seule erreur : ne pas me décider à virer, en cours de saison, ce Stanley Burrell qui était un véritable poison dans le vestiaire. » Quoi qu’il en soit, le garçon est surtout le fils de MC Hammer, un des plus célèbres rappeurs US (« U can’t touch this) ayant vendu plus de 50 millions d’albums de par le monde. Si ce titre planétaire ne vous dit rien, cherchez-le sur internet et vous serez vite fixés…

Michel CHRISTIANE

Rajon Rondo assistant des Lakers ?

Blessé au pouce, Rajon Rondo pourrait changer de rôle.

Ayant à peine repris les entrainements, Rajon Rondo s’est blessé au pouce, doit être opéré et sera éloigné des terrains pendant six à huit semaines. Un coup dur pour le vétéran et sa franchise. Il a fait une pause pour aller voir le médecin car il avait peur que quelque chose n’aille pas, mais il n’était pas sûr de quand c’était arrivé » raconte chez ESPN. « C’est une grosse perte pour notre équipe, mais on s’attend à ce qu’il soit là pour les playoffs. On est très confiant sur le fait qu’il pourra revenir et jouer un rôle majeur à ce moment-là.« 

En attendant son retour, Rondo reste impliqué au sein des Lakers. « On communique avec l’extérieur au niveau de la vidéo, avec le staff et les coachs. Kurt Rambis peut observer nos entraînements via Zoom et participer à nos réunions par exemple. Je veux vraiment offrir cette possibilité à Rajon si c’est quelque chose qui l’intéresse » ajoute Vogel.

Westbrook positif au Covid-19

Le meneur des Rockets n’est pas encore arrivé à Orlando.

Et la cause est simple: Russel Westbrook a été testé positif au Covid-19. Toutefois, l’ancien leader d’OKC assure se sentir bien et compte rejoindre la « bulle » d’Orlando, sans doute d’ici une dizaine de jours.

« Ce sera le titre le plus difficile jamais gagné »

Comme Giannis, Mike Malonne estime que le prochain champion NBA devra être particulièrement costaud.

« On entend parler du fait que quiconque gagne cette année, il y aura un astérisque collé à leur nom et je ne suis pas du tout d’accord. Finir champion après avoir passé 90 jours dans une bulle loin de tes amis et de ta famille, sans avantage du terrain et après un arrêt de 4 mois ? Pour moi ce sera le titre le plus difficile jamais gagné. Il n’y a pas d’astérisque » affirme le coach des Nuggets qui devrait pouvoir compter sur Nikola Jokic.

« Il y en a eu des capots ! »

Avant d’aborder une nouvelle saison pour laquelle Ensival visera ouvertement la montée, Vincent Louis revient sur la campagne réussie de sa formation en P2A. Interview.

Vincent, que retiens-tu de cette dernière saison ?

Nous avons réussi une bonne saison malgré notre très mauvais départ: zéro sur trois. Nous avons perdu des matchs contre des équipes de bas de tableau mais nous sommes tout de même parvenus à finir à la deuxième place en P2, un excellent résultat car nous savons tous que cette année, la P2 était d’un très bon niveau.

Cette deuxième place était-elle votre objectif initial ?

Non, en début de saison personne n’aurait cru que nous finirions sur la seconde marche du podium. Nous pouvons être contents mais, personnellement, j’aurais voulu terminer en tête et être champion. Comme notre P1 est montée en régionale, nous allons nous concentrer la saison qui arrive pour faire mieux encore. En espérant ne pas nous faire à nouveau stopper dans notre élan par un cas de force majeure (rires).

Tous nos interlocuteurs nous l’ont confirmé: la P2A, c’était du sérieux !

Oui, le niveau y était très costaud, tout le monde pouvait battre tout le monde et ce n’était pas évident de gagner des matchs de plus de vingt points, sauf contre les lanternes rouges. Ce qui était sympa, c’était de retrouver ceux contre qui nous jouons chaque année comme les copains d’Aubel et ceux de Pepinster avec qui nous nous tirions la bourre pour la deuxième place.

Tu n’évoluais plus qu’en P2 lors de cette dernière saison. Comment juges-tu tes prestations ?

Je n’ai pas fait une trop mauvaise saison, je termine avec une moyenne de dix points par match. Même si je sais que je peux faire beaucoup mieux, ce n’est pas facile de rivaliser avec mes stars Boris Fays et mon cousin Stéphane Mourant à l’aile (rires).

La finale de la Coupe, cela restera le moment fort de cette saison tronquée ?

Oui, tout le monde en rêvait de cette finale au Hall du Paire. Nous ne pouvons qu’être heureux de nous y être hissés et, surtout, d’avoir fait la fête comme il se doit.

Qu’as-tu particulièrement apprécié cette année ?

L’ambiance dans le groupe. Tous les jeudis après l’entrainement, les joueurs qui étaient capots le weekend précédents devaient amener un bac. Et il y en a eu des capots (rires) ! Voir Julien Lemaire – qui s’est tapé Comblain-au-Pont un samedi soir – venir voir tous nos matchs m’a bien fait rire. Nous lui avons dit qu’il pouvait venir chez nous parce que je crois que niveau ambiance à Pepinster, il ne s’amuse pas le pauvre (rires).

As-tu des regrets ?

Que la saison ne se soit pas terminée correctement car nous n’avons pas su faire la fête avec notre coach pour son dernier match. C’est dommage, surtout qu’il restait des casiers à terminer.

« Les mots du coachs furent les bons »

Impatience n’est pas un mot suffisamment fort pour Quentin Remy qui a hâte de relever le nouveau défi qui l’attend du côté de la salle Freddy Winkin.

« Le basket me manque terriblement. L’ambiance des matchs et les sensations avant ceux-ci me manquent énormément » reconnait Quentin Remy. « Depuis l’autorisation gouvernementale, j’ai toutefois pu voir ma nouvelle team. Les mots du coach furent les bons pour m’inclure dans le groupe. Je suis très impatient et je me réjouis vraiment d’être au mois d’août pour pouvoir construire des automatismes avec mes nouveaux coéquipiers.« 

En attendant, le néo-Calidifontain a recommencé à taquiner ce ballon qui le rend si heureux. « Avec mes désormais ex-équipiers de Tilff, j’ai recommencé à jouer sur le terrain extérieur d’Aywaille. Sous l’impulsion de Ced Chiappe, nous avons prévu de nous y retrouver chaque mercredi pour des petits matchs avec des verres en jeu. Lors de notre « première », nous sommes ensuite allés sur la place de Tilff. La soirée fut longue et belle et, ça aussi, cela m’avait manqué » poursuit ce jeune talent possédant déjà une solide expérience en seniors. « J’ai vraiment envie que les entrainements recommencent. Cela va faire tout drôle de pouvoir disputer à nouveau un match officiel. »

En attendant, « Q » occupe son mois de juillet entre détente et travail physique. « J’organise deux fois par semaine un jogging avec les petits de mon équipe de jeunes de Tilff pour réintroduire le basket dans leurs têtes et leur donner un peu de peps supplémentaire dans les jambes pour la saison qui approche. Je dois être au top physiquement pour le premier août, juillet est donc assez sportif » nous explique-t-il. « Je pars tout de même une semaine en Charente-Maritime avec Madame pour me relaxer. Cette crasse de Covid a juste retardé le choix de la destination mais nous avions l’envie de partir ailleurs quelques jours pour recharger les batteries et nous dépayser un peu.« 

« Allier l’utile et l’agréable »

La saison prochaine, Gaël Verzele délaissera la raquette des Buffalos pour en devenir l’entraineur. Entretien.

Gaël, avais-tu pu rejouer lors de la dernière saison ou ton souci au tendon t’en avait-il empêché ?

Je n’avais pas rejoué, j’avais juste repris les entrainements début février, principalement en solo à côté du terrain. Une fois l’opération programmée, je m’étais de toute façon fait une raison. Je pensais bien ne pas rejouer, voir comment la rééducation allait se passer et me décider pour la suite.

La suite, finalement, ce sera le coaching ?

J’évoquais de plus en plus avec Sophie que l’envie de rejouer n’était pas spécialement présente. Par contre, celle de coacher pointait de plus en plus le bout de son nez. Lorsque le club est revenu vers moi en me signalant que mon nom était évoqué pour prendre le relais d’Hervé Odeurs à la tête des Buffalos la saison prochaine, cela m’est apparu comme une chouette opportunité d’allier l’utile – reprendre le coaching – à l’agréable – poursuivre l’aventure à Grâce-Hollogne.

Ce sera ta première expérience au coaching ?

J’ai déjà entrainé des jeunes, des U6 aux U21, durant de nombreuses années lorsque j’habitais Dottignies, dans le Hainaut. Depuis mon arrivée à Liège, je n’en avais plus vraiment le temps. Si j’ai déjà pu coacher en remplacement à plusieurs occasions, ce sera ma première expérience officielle à la tête d’une équipe seniors.

Tu dirigeras tes anciens coéquipiers.

Oui, ce n’est pas forcément ce qu’il y a de plus confortable pour débuter mais ce n’est pas vraiment le genre de chose qui me pose problème.

Quelles sont tes envies pour ce nouveau défi ?

Mon envie première est de prendre du plaisir dans ce nouveau statut, m’y tester et apprendre. Je veux prendre du plaisir avec le groupe aux entrainements comme aux matchs en essayant de contribuer à des résultats que j’espère positifs en apportant mes petites touches techniques et tactiques, individuelles et collectives. Si j’aspire à pouvoir tester et appliquer certains choses avec le groupe, cela n’est que du sport et la santé de tous doit rester la priorité. Soyons patients, le plaisir de nous retrouver sur et autour des terrains n’en sera que plus grand !

« Triste pour Visé et sa R2 »

Avant d’entamer avec motivation et enthousiasme une saison qui s’annonce d’ores et déjà exaltante, Pierrick Van Den Brule jette un dernier coup d’œil dans le rétro pour faire le bilan global de cette « mémorable » saison 2019-2020 tout en n’oubliant pas, déjà, de se projets vers les nouveaux défis qui attendent les Bobelins.

La saison de Spa en TDM2:

« Je suis content de la saison que nous avons réalisée. Notre bilan de onze victoires et neuf défaites n’est pas mal et nous pouvions prétendre à une place dans le Top 5. Pour moi, c’est cela qu’il faut retenir même si je regrette amèrement de n’avoir pu boucler le championnat alors que nous étions en pleine forme et qu’aucun adversaire – hormis Courtrai vraiment au-dessus du lot – ne nous faisait peur. »

Le classement « final » des Bobelins:

« Nous sommes des compétiteurs et voulons toujours nous améliorer. Nous voulions donc faire mieux que la saison précédente et nous y sommes parvenus en restant toute la saison dans le milieu du classement. Notre coach nous avait aussi demandé de terminer premier francophone. Nous nous battions avec Nivelles pour satisfaire cette exigence mais, malheureusement, nous ne saurons jamais si nous allions finir devant ou derrière ce concurrent. »

La TDM2A:

« Une série vraiment agréable et homogène avec Courtai au-dessus du lot et SXF malheureusement un cran en-dessous. »

Les équipes flamandes:

« Le jeu des Flamands est plus régulier, plus précis, avec énormément de rigueur et nous convient mieux.« 

Les longs déplacements:

« Lorsque les séries furent publiées, j’ai vraiment regretté les longs déplacements qui se profilaient mais, en y repensant, je ne voudrais pas les échanger. Le déplacement à Courtrai constituait notre premier grand déplacement et il fut top. Malgré la défaite de plus de trente points, nous nous sommes très bien amusés là-bas. Le trajet est passé très vite et nous avons tout de suite compris que nous n’allions pas nous embêter de la saison. Nous avons ensuite passé tout un weekend à Ostende lors duquel nous avions beaucoup ri. Nous l’avions même emporté chez notre adversaire ! Le village de Noël à Mayen après le match à Belgrade fut aussi un super moment. Bien que nous étions séparés de nos homologues liégeois, nous nous sommes vraiment bien amusés !« 

La prochaine série de TDM2:

« Même si nous nous sommes bien amusées cette saison et que ce débat divise, je suis content de retrouver toutes les équipes de la Province de Liège dans la même série. Pour le basket liégeois et pour la fréquentation des salles, c’est une bonne chose. Et aussi pour les journalistes qui ne devraient plus suivre qu’une seule série (rires). »

Ce que doivent améliorer les Spadois:

« Un point sur lequel nous devons encore travailler, c’est notre relâchement lorsque nous sommes battus. Nous comptons quelques défaites avec un gros écart. Nous avons trop tendance à finir en roue libre quand nous sommes battus alors que cela devrait être tout le contraire. »

Ses performances:

« Je n’ai pas fait une mauvaise saison mais il y a encore beaucoup de choses, dans mon chef, à améliorer et à travailler. J’ai eu la chance de rencontrer quelques pivots contre qui je n’avais pas joué la saison précédente. Depouhon (Belgrade), Linskens (le géant d’Oostkamp) et Mulumba (Nivelles) m’ont notamment donné du fil à retordre. C’était toujours un plaisir de combattre avec eux pour un rebond, un post-up, une prise de position préférentielle…« 

Le moment marquant de la saison:

« Notre victoire contre Pepinster. Il y avait énormément de monde dans nos gradins. Ce ne fut pas le plus beau de nos matchs mais il y avait une grande intensité et nous nous sommes vraiment bien amusés !« 

Ses coups de cœur:

« Certains longs déplacements, affronter de nouveaux pivots et le derby contre Pepinster. »

Ses regrets:

« Ne pas avoir pu jouer à Pepinster, un club où j’ai joué pendant plus de dix ans. J’attendais ce déplacement avec impatience ! Nous avions d’ailleurs entamé des démarches pour pouvoir venir avec le petit train de Spa à Pepinster. Cela aurait été génial ! C’est dommage mais je suis certain que ce n’est que partie remise.

Son ancien club de Visé:

« Je suis très triste pour le club de Visé qui a dû arrêter sa R2. Les Visétois vont recommencer en P2 avec une bien belle équipe et j’espère qu’ils pourront monter rapidement en P1. Je leur souhaite le meilleur pour les saisons à venir. »

Un pactole d’un million de $ !

C’est le « prize money » qu’empochera le vainqueur d’un tournoi caritatif aux Etats-Unis impliquant pas mal d’Américains évoluant sur le Vieux Continent. Et, donc, en Belgique et au Luxembourg. L’ancien Pepin (13/14), Loïc Schwartz (28 ans), prêt pour une 4e campagne consécutive en bord de mer du Nord. Ce sont les infos d’EMCE.

Enorme bingo en vue pour deux US du Grand-Duché…

Depuis une dizaine de jours se déroule le « TBT Tournament » à Colombus, dans l’Ohio. Une compétition à caractère humanitaire qui oppose 24 équipes notamment composées d’ex-sociétaires de NBA et d’Américains évoluant en Europe. Dont trois ont déjà porté le maillot de Limburg United. Les qualifications sont en éliminations directes et seul le vainqueur truste la totalité du pactole mis en pâture. Et quel pactole : 1 millions de dollars (75.000 $ par joueur) ! La grande finale est fixée à demain mardi et mettra aux prises deux Ricains du Luxembourg. A savoir, Duane Johnson (Larochette) et Jarvis Williams, non conservé au Sparta Bertrange. Avis aux amateurs !

Du vestiaire dames : les trentenaires font de la résistance

Où il est prouvé que les trentenaires tiennent encore la route. C’est ainsi qu’Anate Steinberga (31 a, 1,90 m, photo) passe de Venise à Galatasaray sans oublier que l’imposante Lettone a séjourné trois saisons du côté de Braine. Même si elle approche de la quarantaine, Astou Traoré (39 a, 1,82) possède de très beaux restes. Au point de séduire les responsables de San Martino (D1 italienne). L’ancienne Namuroise (15/16) arrive en droite ligne de Gérone, en Espagne. On passe d’un extrême à l’autre avec la signature à Montpellier de la Lituanienne, Urte Cizanskaite : 17 printemps !

… au vestiaire hommes : un « Polonais » de Mons aux Canaries

C’est pas vraiment les vacances à Ostende qui met le turbo en coulisses. Les Côtiers ont ainsi loué (pour deux ans) au Real Madrid, ce grand espoir qu’est Mario Nakic (19 a, 2,02 m). Tout en prolongeant le contrat de Loïc Scwartz (28 a, 1,92 m, Pepinster 13/14) qui en sera à sa 4e saison sur le littoral. Quant à Ryan Anderson (28 a, 2,06 m, Anvers 16/17 et Dudelange 19/20), il prend la direction de Siauliailit, en Lituanie. Reste AJ (Anthony Darrell) Slaughter (32 a, 1,91 m, Mons 11/12), au passeport polonais, qui transite du Betis Séville à Gran Canaria.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : FIBA