Match passionnant samedi à Flémalle avec des Métallos qui ont poussé les Comblinois dans leurs derniers retranchements. Il a fallu un triple décisif du létal Maxime Princen pour que les Comblinois demeurent invaincus, 90-92. Entretien avec le héros du Mailleux.
Max, c’est rare pour vous de vivre un match aussi intense et serré. Cela vous manquait-il et un match de ce genre vous procure-t-il davantage de plaisir ?
Oui, effectivement, nous avons pris beaucoup de plaisir dans cette rencontre grâce à la très grosse perfomance des Flémallois qui ont réussi le match parfait pendant quarante minutes. Félicitations à eux et s’ils maintiennent ce niveau à chaque sortie, ils ne sont pas à leur place au classement.
Qu’as-tu pensé de votre prestation ?
Il y a une chose flagrante : nous avons encaissé 90 points. Nous n’étions pas dans notre meilleur jour offensivement mais nous avons tout de même marqué 92 points. Par contre, défensivement, cela a été une catastrophe. J’espère bien que tout le monde s’en est rendu compte, on ne peut plus se permettre d’encaisser autant.
Tu as planté le tir de la victoire, en apparente totale décontraction. C’était l’option prévue ?
En décontraction, je n’irai pas jusque-là (rires). Il y avait un système de prévu avec différentes options possibles, cela aurait pu tourner autrement.
Comment t’es-tu senti au moment de jouer cette dernière possession décisive ?
Je me suis dit que c’était à moi de prendre mes responsabilités. Je ne savais pas ce que j’allais faire mais je savais que je la jouerai. J’adore ce genre de moment. Mais bon, c’est plus facile à dire quand la balle rentre qu’après avoir raté (rires).