« Même les entrainements me manquent, c’est pour dire ! »

Revenu au Haut-Pré après une parenthèse d’un an à l’Etoile Jupille, David Bernard fait le bilan de l’année écoulée et se confie sur l’avenir. Interview.

David, quel bilan fais-tu de l’année qui s’est achevée récemment ?

Comme un peu tout le monde, je dirais que 2020 fut une année particulière et pourrie. Un constat qui s’applique surtout aux liens et contacts sociaux, au boulot, au sport et aux fêtes (rires). A côté de cela, je n’ai pas à me plaindre parce que mes amis et mes proches sont restés en bonne santé.

Quels sont tes espérances pour 2021 ?

Pour cette nouvelle année, il faut espérer retrouver la vie normale que nous avions avant le confinement. Je n’espère rien de plus.

Qu’est-ce qui te manque le plus depuis que le monde du basket est à l’arrêt ?

C’est un tout. Même les entrainements me manquent, c’est pour dire (rires) ! C’est principalement de ne plus jouer, de ne plus voir mes coéquipiers et de ne plus nous retrouver à la cafèt’ qui me manquent.

N.B. : cet entretien a été réalisé avant que l’AWBB et le comité provincial annoncent qu’aucune compétition ne reprendra cette saison pour les plus de douze ans.