« Je déteste perdre »

En R1 Dames, Lola Paulus, nouvelle coach des Panthers, croisera la route de ses anciennes coéquipières d’Alleur.

Ayant remisé ses sneakers au placard, Lola Paulus a décidé, logiquement, d’embrasser une carrière de coach. Et c’est à la tête de la R1 des Panthers que la Comblinoise a été intronisée. « C’est un super challenge, je connais parfaitement la division et je connais aussi les filles qui évoluent en R1 à Liège. Le club a tellement bien évolué, la structure mise en place est super et c’est une top équipe. Je ne voyais vraiment pas comment je pouvais refuser une telle proposition. D’ailleurs, je remercie Pierre, Fabienne et le comité pour leur confiance«  nous avait-elle confié avant de préciser sa philosophie de coaching. « Elle est la même qu’en tant que joueuse, c’est-à-dire la gagne. Je déteste perdre. Vis-à-vis du basket en tant que tel, ce sera la défense avant tout, l’attaque suivra. Ce sont des jeunes, elles sont athlétiques et si nous jouons défense à 100% et que nous courons, cela pourrait devenir très difficile pour nos adversaires. Et je sais de quoi je parle ayant joué contre elles à plusieurs reprises… »

Forcément, Lola croisera la route d’Alleur, un club où elle n’a laissé que de bons souvenirs. « C’est une excellente meneuse, elle me rendait meilleure » nous avait ainsi affirmé Emilie Hertay qui a disputé quatre saisons avec Lola. Nul doute que les retrouvailles donneront lieu à de superbes duels.

Les autres équipes qui évolueront en R1 Dames sont Herve-Battice, Angleur, LAAJ, Ottignies, Ganshoren, Brunehaut, Fleurus, Neufchâteau, Ciney, Namur Capitale, Loyers et Boninne.

« Du VTT en montagne »

Pour Quentin Desert, les vacances sont l’occasion absolue de décompresser et de profiter des plaisirs simples de l’existence. Interview.

Quentin, qu’as-tu de prévu cet été ?

Encore rien de précis pour le moment mais j’irai sans doute quelques jours à la montagne avec mon papa pour faire un peu de VTT et un city trip avec ma copine. Mais je n’ai encore rien de bien programmé.

Que sont pour toi des vacances idéales ?

C’est simplement le moment de l’année où je décompresse, je prends le temps de faire ce que je veux quand je veux comme, par exemple, profiter de la famille et des amis via des moments simples et sans prise de tête. Je n’ai pas d’habitudes particulières si ce n’est de prendre le temps et de profiter le plus possible.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de vacances ?

Ce sont sûrement ceux où je suis parti en Espagne avec mes cinq meilleurs potes il y a déjà six ou sept ans. Nous avions passé une semaine mémorable à accumuler des souvenirs géniaux et inoubliables.

« Nous déjeunons à la bière, dînons au vin et soupons au gin »

Revenu du Mexique où il a nagé avec des requins-baleines et avant de repartir dans le Sud de la France, Lio De Marco se remémore ses souvenirs de vacances.

Lio, quoi de prévu pour les vacances ?

Je suis déjà parti deux semaines au Mexique fin mai/début juin. J’ai déjà eu le temps de bien profiter, entre belles soirées et découverte(s). Je prendrai le reste de mes vacances pour descendre une semaine dans le Sud de la France fin juillet et une semaine mi-septembre. Pour finir, il y aura sûrement des week-ends entre copains qui vont se programmer, comme chaque année.

As-tu des habitudes spéciales en vacances ?

Nous avons un rituel avec mes cousins. Chaque année, nous louons un gîte dans les Ardennes. Nous sommes environ une quinzaine et c’est la plus grosse fiesta de l’année. Nous déjeunons à la bière, dînons au vin et soupons au gin. Les filles n’en peuvent plus de nous, c’est génial (rires).

Que sont pour toi des vacances idéales ?

Ce sont des vacances festives partagées entre mon groupe d’amis et ma famille. Les vacances parfaites seraient de réunir tout le monde dans un endroit magnifique avec les apéros et les barbecues illimités. Si je rentre de vacances plus fatigué qu’avant de partir, alors c’étaient de bonnes vacances.

Quels sont tes meilleurs souvenirs de vacances ?

J’ai des souvenirs géniaux de l’époque où nous partions encore avec mes trois frères et mes parents. J’ai aussi pas mal voyagé en voilier et c’est toujours magique de se réveiller chaque jour dans un endroit différent. Cette année, j’ai eu l’opportunité de nager avec des requins-baleines dans les Caraïbes et ça, c’était incroyable !

« Mon grand-père viendrait me hanter si je n’étais pas Liégeois »

David Lamy se prête à l’exercice du Thé ou Café.

David, tu es plutôt passe ou panier ?

Passe ET panier. Qui n’aime pas marquer ? Mais une combinaison de passes et trouver le petit espace libre pour délivrer l’assist est tout aussi plaisant.

Attaque ou défense ?

Je suis plutôt défense par contre. Certains ne seront pas d’accord avec moi mais je suis davantage du style à vouloir que mon adversaire marque moins que moi. S’il marque cinq points et moi dix, j’aurais fait mon job.

Plutôt cinoche ou Netflix ?

Netflix car le cinéma coûte très cher. Et rien de tel que de pouvoir s’installer comme on veut plutôt qu’être coincé à ne pas pouvoir tendre les jambes à cause du siège de devant.

Pizza ou burger ?

Choix difficile. Mais une bonne pizza derrière le foot ou un bon film, c’est plus convivial.

Tu préfères les city-trips ou les vacances à la plage ?

J’aime les vacances à la plage mais j’aimerais aussi découvrir des endroits. Pour le moment ce choix n’a hélas pas à se poser à cause de la crise sanitaire…

Plutôt LeBron ou Curry ?

LeBron non car il réclame du respect et que cela doit se gagner – même s’il est impressionnant, je ne dis pas le contraire. Curry est impressionnant à trois points mais je n’accroche pas. Lillard est impressionnant depuis quelques saison mais je ne suis plus trop la NBA car je trouve qu’il n’y a pas de défense et du favoritisme au niveau de l’arbitrage.

Standard ou Anderlecht ?

Standard bien sûr. Je suis un Liégeois et mon grand-père viendrait me hanter si je ne l’étais pas (rires)

Et enfin, thé ou café ?

Thé, je ne bois jamais de café.

Les Collégiens, vrais outsiders pour la Coupe AWBB 3×3

Il faut toujours se méfier des Collégiens. Ce sera encore le cas lors de la Coupe AWBB 3×3.

Les périodes troublées sont parfois un terreau fertile pour l’innovation. C’est précisément ce qui fut le cas pour l’AWBB qui a décidé de lancer sa Coupe AWBB 3X3. « C’est un très belle initiative et un concept inédit car je ne connais aucun pays qui organise une telle compétition » souligne Sélim Ben Aissia, Responsable marketing à l’AWBB et en charge du développement du 3X3. « Avec le Covid, nous avons pu nous réunir autour de la table pour définir ce projet qui sera une vraie compétition que nous voulons aussi prestigieuse que la Coupe AWBB traditionnelle en 5X5. »

Concrètement, pour sa première édition, trois tours de compétition seront organisés. Le premier, pour les Messieurs (à partir de seize ans), qui réunira 48 équipes le vingt-neuf août. Le second mettra aux prises, le six février, les 24 équipes Messieurs qualifiées et le 24 équipes Dames (à partir de quinze ans) inscrites. Enfin, les finales Hommes et Dames auront lieu lors du week-end des Coupes AWBB. « Tous les clubs, toutes divisions confondues, peuvent inscrire une équipe qui doit être composée de quatre affiliés du club. Mais ceux-ci ne doivent pas forcément évoluer au sein de la même formation en championnat classique. Les clubs seront libres de modifier leurs effectifs entre deux tours » nous explique celui qui bosse à l’AWBB depuis 2013 et qui œuvre depuis plusieurs années pour intégrer le 3X3 aux activités organisées par la fédération. « Les règles FIBA seront d’application lors des rencontres arbitrées par des référés licenciés, et vu la nature de la discipline, de chouettes surprises pourraient survenir lors des matchs éliminatoires. » 

Plusieurs clubs de la région ont répondu à l’appel pour cette compétition inédite, une grande première qui en appelle d’autres. Parmi les outsiders figurent les Collégiens de Saint-Louis qui possèdent à la fois la fougue et l’enthousiasme de la jeunesse avec, déjà, une sacrée expérience de la régionale. Dans une discipline en pleine expansion, nul doute que les protégés de Jean-Luc Ventat seront de sacrés clients.

Crédit photo: PP Photography Amateur

« L’assurance de vivre constamment des moments marquants »

Sorti du CFWB en juin 2020, Edouard Duperroy, qui évolue désormais à Liège Basket, revient sur les trois belles années passées à Jambes.

Edouard Duperroy est l’un des derniers joyaux produits par le CFWB. Actuellement à Liège Basket avec qui il a récemment réussi sa meilleure prestation en D1 avec 10 points et 3 rebonds contre Malines ce poste 4 de petite taille – pour les standards de l’élite nationale, of course – a passé trois ans au Centre, de sa deuxième quatrième à sa « rhéto » et est sorti fraichement diplômé en juin 2020. « Mon quotidien au Centre était basket, basket, basket mais aussi orienté sur les études car c’est un aspect qui n’est surtout pas négligé » nous confie-t-il. « Ma formation là-bas m’a énormément apporté car pouvoir s’entrainer dans une structure aussi professionnelle à un si jeune âge est un grand plus. »

Rejoindre le Centre, c’est aussi faire l’apprentissage de la vie loin du domicile familial. « Humainement, rejoindre le CFWB m’a fait grandir car même si nous y étions bien entourés au niveau scolaire, basket et social, on s’y retrouve tout de même sans papa et maman » souligne Edouard. « La force du projet proposé par le CFWB est de pouvoir combiner nos études avec notre sport en profitant d’une excellente structure: kinés, coachs de qualités, préparateurs physiques et éducateurs. »

Les trois années passées par Edouard à Jambes resteront gravées dans sa mémoire. « J’y ai tellement de bons souvenirs. Etre avec ses potes six jours sur sept, c’est avoir l’assurance de constamment vivre des moments marquants. Mes plus beaux souvenirs sont les jours que nous passions aux tournois » sourit-il avant de nous confirmer garder des contacts avec ses anciens partenaires. « Les personnes rencontrées au Centre ne sont pas de simples amis, ils deviennent une famille. On les voit plus que notre propre cercle familial, cela crée des liens vraiment forts entre nous. » Et d’ajouter trois mots pour définir son aventure au CFWB: « Travail, amusement et amitié. »

N.B.. : cet article fait partie d’une série d’articles en partenariat avec l’AWBB dont les précédents peuvent être lus ici, ici, ici, ici ou encore ici.

Coast-to-Coast avec Marjorie Carpréaux

Pour son troisième épisode, le podcast « Coast-to-Coast » produit par Tak-Tika avait convié Marjorie Carpréaux.

Encore un excellent épisode de « Coast-to-Coast » après ceux avec Ajay Mitchell et Loïc Schwartz. Cette fois, c’est la Belgian Cat qui était l’invitée du podcast produit par Tak-Tika.

Crédit photo: PP Photography Amateur

Terry Deroover est aussi un « crack » en 3×3

Le futur meneur du Brussels est aussi performant face aux défenses de l’EMBL que lors des compétitions de 3×3.

Avec Malines, Terry Deroover a livré une bonne saison et devrait encore recevoir davantage de responsabilités la saison prochaine au Brussels. Un retour aux sources pour le « Ket » qui risque d’enflammer la salle de Neder. Mais si Deroover est un poison pour les défenses de l’EMBL, il est aussi un sacré client en 3×3, lui qui est classé 98e joueur belge. « Joueur professionnel à Kangoeroes Basket Mechelen cette saison et au Phoenix Brussels la saison prochaine, Terry avait également été sélectionné pour faire partie de l’équipe nationale 3X3 en 2016. Avec son équipe SWISH Brussels il avait organisé, l’été passé, un tournoi à Tour & Taxis puis participé à une Quest en Allemagne et au Satellite B-Ball in The Sky. Bien que son programme de l’été ne soit pas encore connu, Terry sera certainement sur les terrains 3X3 ! », peut-on ainsi lire sur le site de l’AWBB. Qu’on se le dise: l’été sera chaud !

Crédit photo: Philippe Collin

« Je préfère une belle passe… même si tous mes coéquipiers diront le contraire ! »

Andrew Compère de Tilff se prête à l’exercice du Thé ou Café. 

Andrew, tu es plutôt passe ou panier ?

Je préfère une belle passe… même si tous mes coéquipiers diront le contraire (rires).

Et attaque ou défense ?

L’attaque, sans hésiter. Ce qui ne ravit d’ailleurs pas toujours les coachs.

Plutôt Netflix ou cinéma ?

Netflix tous les jouuuuurs !

Pizza ou burger ?

Pizza d’après-match, quoi de mieux ? Sauf quand un coéquipier se trompe de pizzéria, évidemment (rires).

City-trip ou vacances à la plage ?

Vacances à la plage pour être bien en « off ».

Plutôt LeBron ou Curry ?

Ca va rouvrir une plaie mais… Kobeee !

Anderlecht ou Standard ?

Standard, jusqu’au bout !

Et enfin, plutôt tu es plutôt thé ou café ?

Franchement, ni l’un, ni l’autre. Je fonctionne avec un autre carburant (rires).

« Envisager une reprise du basket »

C’est à la Côte belge que Stefan Lantin passera ses vacances en famille. Interview.

Stefan, qu’as-tu prévu pour cet été ?

Un petit séjour à la Mer du Nord avec la family. Sophia, ma fille de vingt-six mois, est très éveillée et ne demande qu’à rire, s’amuser et à être avec ses parents. L’océan sera notre panorama en ce mois de juillet. Je compte aussi maintenir une activité sportive soutenue pour envisager une reprise du basket ainsi que profiter de ma famille et des amis.

Quel est pour toi le programme des vacances idéales ?

Sport(s), famille, manger, boire, profiter et vivre sont les éléments essentiels de vacances réussies. Malgré la situation actuelle pesante, il faut profiter des bons moments et s’enivrer de positivité (ndlr: pas au Covid, évidemment). Ma femme Marie et Sophia sont mes sources de bonheur et je compte bien en profiter un maximum !

As-tu des petites marottes estivales ?

J’aime bien faire un peu de bricolage à la maison, ranger les armoires, faire un nettoyage complet. Fin juillet, je prépare la saison basket à venir, je prévois l’organigramme de l’année.

Quelles furent tes meilleurs vacances ?

Le voyage de noces qui a suivi notre mariage en juillet 2017. Ce furent des instants magiques avec ma femme.