« Je pouvais me permettre de ne pas jouer défense grâce à Flago »

Gaëtan Hertay est l’une des figures emblématique du basket liégeois dont il écrit – et continue d’écrire – certaines de ses plus belles pages. Entretien.

Gaetan, quel fut ton adversaire le plus coriace ?

Pour moi, le plus fort reste Thomas Van de Vondel de Waregem, il savait tout faire. Sinon, pour la Province, comment ne pas citer François Lhoest et Thomas Nyssen ?

Parmi tes équipiers, lequel t’impressionnait le plus ?

Il y en a eu quelques uns. Tout d’abord mon vieux comparse Fred Delsaute et puis mon frère que je retrouve cette année ainsi que Jérôme Flagothier. Avec lui, je pouvais me permettre de ne pas jouer défense (rires). Tony Fernez m’a beaucoup appris et était aussi exceptionnel tandis que J-C Collin reste un bel exemple pour moi.

Et lequel était le plus drôle ?

Gilles Vrancken même si Pierre Lejeune – que j’ai découvert lors de la défunte saison – n’a rien à lui envier.

Quels coachs demeurent tes favoris ?

J’ai eu la chance d’avoir de bons entraineurs. Yvan Fassotte m’a tout appris et Pascal Horrion a retiré le meilleur de moi.

Quelle est ta salle préférée ?

Spa, sans hésitation.

Et celle que tu redoutes le plus ?

Comme beaucoup de monde: celle de Comblain. J’ai rarement gagné là-bas mais j’ai par contre pris de belles casquettes. Vivement la nouvelle salle (rires).

Quels souhaits peux-tu formuler pour le basket liégeois ?

Je serais content de voir un club liégeois de TDM2 monter à l’étage supérieur.