Pour compléter leur effectif, les Jupillois attirent un forward qui évoluait en Angleterre cette saison.
Pour compenser la défection d’un intérieur, les Jupillois ont ont attiré Landry Mayinga, un forward de 27 ans. « Il revient d’Angleterre où il tournait à 22 pointts de moyenne, 9 rebonds et 4 assists par match dans son club Big Sky basket ball », présente Michel Nihon. « Il sera assurément un renfort de choix pour notre P1. Nous restons soudés et ambitieux pour la saison prochaine. »
Avec Valentin Moniquet et Ajay Mitchell, le titre NBA pourrait avoir un petit goût de peket et de boulet. Le préparateur physique liégeois du Thunder dévoile l’atmosphère de ces Finals alors que la série déménage à Indianapolis pour deux matchs sous haute tension.
Pour la première fois depuis 2012, le Thunder d’Oklahoma City est de retour au stade ultime de la compétition NBA : les Finals. « L’atmosphère qui règne est identique à celle qui a régné tout au long de la saison », assure Valentin Moniquet. « Dans ce genre de situation, tu ne peux pas t’affoler, t’exciter. Tu dois garder les pieds sur terre et conserver la ligne de conduite, celle qui t’a amené jusque là, et suivre le processus. Au sein de notre structure, l’atmosphère est donc tout a fait normale. »
Par contre, ce Liégeois qui vit sa deuxième saison avec le Thunder ne peut que se réjouir de l’engouement qui règne downtown, toute la ville, tout l’état étant en ébullition. « Nous avons le soutien de tout le monde, chaque habitant arbore les couleurs du club via différents goodies et est super excité », sourit-il. « Lors des deux premiers matchs, l’ambiance dans la salle était incroyable. A vrai dire, c’est presque indescriptible. »
Après avoir perdu le match inaugural sur le fil, le Thunder a remporté assez nettement la seconde manche, confirmant ainsi le statut de favori acquis tout au long d’une saison conclue à la première place au classement général. Une recherche constante d’excellence qui se poursuit lors de ces inédites Finals. « Hormis le fait de partir plus tôt à la salle que pour un match de saison régulière, rien ne change dans la préparation », explique celui qui officie comme préparateur physique. « Nous savons que ce nous avons à faire et ne devons pas faire. »
Après une saison marathon et deux premières rencontres disputées à Oklahoma City, les joueurs et tout le staff du Thunder se sont envolés pour Indianapolis afin d’y disputer les troisième et quatrième manches. « Nous sommes très tard dans la saison : les gars ont joué 100 matchs en plus de ceux organisés lors de la préparation », rappelle Valentin. « Il faut donc veiller à garder les joueurs les plus frais possible car nous savons qu’à ce stade de la saison, la fraîcheur des joueurs a une importance capitale. »
Avec Ajay Mitchell sur le parquet et Valentin Moniquet dans les vestiaires et les salles d’entrainement, la province de Liège est remarquablement représentée dans ces Finals qui constituent chaque année l’un des événements sportifs les plus suivis au monde. Et notre petit doigt nous dit que le titre NBA aura un petit goût de peket et de boulet.
Crédits photos : Valentin Moniquet et OKC Thunder
Clément Van De Putte et Hugo Jacquemotte compléteront l’effectif R1 des Dragons d’ESL United.
Les dirigeants des Dragons l’affirmaient quelques semaines plus tôt : les meilleurs renforts sont ceux provenant de leur propre structure. « Pour boucler l’effectif de notre équipe B, notre staff a voulu faire confiance à deux jeunes 2007 du club », dévoilent les dirigeands d’ESL United. « Clément Van De Putte et Hugo Jacquemotte évoluent cette saison en U18 Nationaux et en P1. Une catégorie où ils ont un rôle important face à des adversaires très compétitifs et l’autre où ils prennent de plus en plus d’ampleur. Ils continueront d’évoluer parallèlement en U21 et en P1. »
Nicolas Gerads sera le coach de la R2 d’Alleur la saison prochaine.
Nico, pourquoi avoir décidé de reprendre la R2 d’Awans la saison prochaine ?
La collaboration avec Awans se terminait, le club voulait du changement et donc ne me gardait pas. Les dirigeants veulent prendre une toute nouvelle direction, c’est compréhensible. Je ne leur en veux pas du tout et leur souhaite toute la réussite possible. Alleur fut la première équipe à manifester avec insistance son envie de travailler avec moi. Je n’ai donc pas réfléchi deux fois !
Quel sera le projet ?
A la base, c’était pour redémarrer en P1. Mais les joueurs ont démontré leur envie et leur capacité à se maintenir en R2, c’est tout à leur mérite. Le club et moi-même avons accepté le défi. Je retrouverai ainsi la R2 au coaching, mais pour la première fois en Wallonie.
Quelles sont tes envies pour ce nouveau défi ?
Je veux former un groupe compétitif car comme de nombreuses personnes le savent, je déteste la défaite. Je veux pouvoir compter sur un groupe qui a envie de travailler pour avancer dans la bonne direction et réussir le meilleur championnat possible avec une chouette ambiance d’équipe sur le terrain et en dehors.
Kyara Linskens participera à l’Euro avec les Belgian Cats.
« Les Golden State Valkyries ont coupé le contrat de la pivot Kyara Linskens. Merci, Kiki », a communiqué la franchise californienne sur les réseaux sociaux. La pivot belge, habituée au DNP ces derniers matchs, n’aura disputé que 4 rencontres outre-Atlantique pour un total de 4 points, 6 rebonds et 3 contres.
Alors qu’elle avait annoncé le 19 mai renoncer à participer à l’Euro avec les Cats pour se concentrer sur sa saison en WNBA, l’intérieure rejoindra finalement les Belges pour défendre leur titre européen. Sur Instagram, Kyara Linskens s’est dite « reconnaissante d’avoir fait partie des Valkyries » et de l’opportunité offerte par le club de la Baie d’Oakland. « Après longue réflexion, j’ai pris la décision personnelle de me retirer. Ce n’était pas facile, surtout après avoir mis l’équipe nationale en attente. Merci aux Valkyries pour l’opportunité. La décision de me retirer était entièrement la mienne, prise avec beaucoup de réflexion et de cœur. Je suis impatiente de tout donner aux Belgian Cats », a encore détaillé la pivot qui sera un atout de poids pour les Belgian Cats dans un Euro qui s’annoncen sans doute plus ouvert que jamais.
Crédit photo : FIBA
Vainqueurs du tour final des meilleurs troisièmes de P4, les Eupenois accèdent à la troisième provinciale.
Les Eupenois entamaient ce tour final des meilleurs troisièmes en défiant Waremme aux Argilières. Tielemans (10 points) et ses coéquipiers prenaient l’ascendant lors des dix premières minutes, 9-16, avant que Collin (13 points), Munkh-Erdenne (12 unités) et les Wawas ne profitent du second quart-temps pour réduire l’écart. A la pause, le marquoir affichait 29-33. A la reprise, les deux équipes se rendaient coup pour coup, les Wawas parvenant même à revenir à deux longueurs, 44-46 à la demi-heure. Vanael (27 points) et les Eupenois surclassaient alors leurs opposants en claquant un impressionnant 7-25 pour empocher la victoire 51-71 !
Le lendemain, les Eupenois devaient en découdre avec Sprimont, cette fois dans la salle de la rue Monfort. Comme vingt-quatre heures plus tôt, Yannick Vanael (26 points) avait réglé la mire. Après un début pérataradant, Jacot (11 points), Quintart (10 unités) et les Sprimontois menaient 20-9. Estalayo (9 unités) et les Eupenois ne paniquaient pas, réduisant sans cesse l’écart. A 42 partout à la demi-heure, les Eupenois donnaient le dernier coup de reins nécessaire pour rafler la mise 54-57.
Après une semaine de repos, les protégés de Bernard Deplus se rendaient à Blégny pour y rencontre les Jupillois de l’Avenir. Simons (13 points) et les Jupillois tenaient une mi-temps, 25-22, avant de craquer face Docquier (10 points), Vanael (19 unités) et les Eupenois qui s’imposaient 42-67.
Les Eupenois retrouvaient ensuite les Argilières pour tenter de réussir la passe de quatre face au Haut-Pré. Mission accomplie pour Vanael (11 points), Watson (15 points) et leurs coéquipiers dans une rencontre à sens unique, ou presque. Les Eupenois s’imposaient 51-85 remportant ainsi ce tour final des meilleurs troisièmes, décrochant ainsi leur ticket pour la P3.
Crédit photo : BBC Eupen Facebook
Franck Renna portera les couleurs de l’Etoile Jupille la saison prochaine.
Franck, pourquoi avoir pris la décision de rejoindre l’Etoile Jupille ?
Cela faisait déjà plusieurs saisons que je suis ce que fait Michel Nihon à l’Etoile, et je voulais faire partie de ce beau projet qu’il met en place au club. J’avais aussi l’envie de faire partie d’un club structuré, soudé, avec un manager à l’écoute et qui prend des décision. J’avais également envie de retrouver une équipe avec une belle ambiance, unie, avec des joueurs qui ont du basket, performent et s’amusent. C’est aussi un choix personnel car une petit fille viendra rejoindre la famille ; et les discussions avec Michel Nihon et Nicolas Beauduin, qui m’ont parfaitement expliqué le club et son organisation, m’ont conforté dans mon choix.
Quelles sont tes envies pour ce nouveau défi ?
Vivre une belle saison, retrouver l’envie de jouer au basket – cette saison fut une déception – et m’amuser avec ce groupe que je connais déjà pas mal. Et gagner, surtout.
Qu’est-ce qui te plaît dans le basketball ?
Le basket actuel a beaucoup changé au niveau du jeu et de la mentalité. Je préfère celui d’avant, je commence à être vieux (rires). Plus sérieusement, j’aime bien la capacité des équipes à s’adapter et le niveau de compétition. Mais à l’heure actuelle, je pense préférer regarder l’Euroleague que la NBA.
Quels souvenirs positifs garderas-tu de Liège Basket ?
C’est une partie de ma carrière donc ce club restera spécial pour moi avec mes jeunes et les deux saisons passées ici. Je retiens tous les bons moments passés au Country Hall ainsi que Philippe Collin qui se démène pour que le RSW Liège Basket existe toujours et faire tourner le Country Hall. Sans lui, je ne pense pas que le club soit encore là.
Crédit photo : DR
Le derby californien entre les Sparks de Julie Allemand et les Valkyries de Julie Vanloo a tourné en faveur de la franchise de Frisco au bout du suspens et après prolongation.
A la Crypto Arena avait lieu le derby californien. Kyara Linskens, fraichement coupée par la franchise de Golden State, ne participait pas à cette confrontation au contraire de Julie Allemand et Julie Vanloo. La meneuse liégeoise a passé 18 minutes sur le parquet compilant 3 points, 4 rebonds, 3 assists et 2 interceptions. Julie Vanloo est, elle, restée 32 minutes sur l’aire de jeu, inscrivant 2 points, captant 5 rebonds et distribuant 8 passes décisives.
Une rencontre qui aura fait vibrer les supporters des deux camps et les spectateurs neutres, les deux équipes étant à égalité à la fin du troisième quart-temps mais aussi à l’issue du temps règlementaire. C’est finalement en prolongation que les Valkyries ont enfin réussi à faire la différence pour l’emporter 81-89.
Les Valkyries présentent un bilan pratiquement équilibré de 4 victoires et 5 défaites pour la première saison de la franchise tandis que les Sparks réalisent un début de championnat timoré avec seulement trois victoires en dix rencontres.
Crédits photos : LA Sparks et GS Valkyries
Ajay Mitchell et ses coéquipiers ont profité du Game 2 pour égaliser dans ces NBA Finals.
Après avoir perdu le match d’ouverture pratiquement sur le buzzer, Gilgeous-Alexander (34 points, 5 rebonds et 8 assists) et ses coéquipiers savaient qu’ils n’avaient pas le droit à l’erreur pour ce deuxième match à domicile. Avec un super Caruso (20 points) en sortie de banc, Holmgren (15 points et 6 rebonds), Williams (19 points, 5 rebonds et 5 assists) et les locaux ont pris le dessus sur les Pacers, 123-107.
Une victoire précieuse pour égaliser dans ces Finals avant que la série ne déménage à Indianapolis et à laquelle Ajay Mitchell a contribué. Le Liégeois (2 points, 1 rebond et 1 passe décisive) a inscrit ses premiers points en finale, écrivant ainsi pour toujours son nom dans l’Histoire.
Crédit photo : OKC Thunder
Plusieurs promotions chez les Dragons d’ESL United.
« Les meilleurs transferts sont ceux qui proviennent de notre structure », affirment les dirigeants d’ESL United, ravis d’anoncer qu’Armand Zinzen, Thomas Peeters et Yanis Ahrardi intégreront le noyau de leur la R1.
« Armand prend actuellement de l’ampleur au sein de notre P1 et de nos U21 Nationaux. Thomas, après avoir découvert la P1 la saison passée, en est désormais devenu un leader incontestable. Yanis pou sa part touche déjà à la R1 dans le groupe élargi de douze en plus d’évoluer en P1 et U18 Nationaux », précisent les dirigeants.
Crédit photo : DR