Le Beach Basket de Waremme en 3×3

Le 24 juin aura lieu le Beach Basket 3×3 de Waremme.

Place à cette nouvelle forme de basket qui connait un succès fou dans le monde entier pour le prochain Beach Basket de Waremme qui se tiendra le 24 juin à partir de 18 heures sur la Place Albert 1er à Waremme. Cinq joueurs par équipe – mixité encouragée – pour des matchs 3×3 auto-arbitrés.

Infos et réservations sur www.beach-basket.be

« Mention spéciale à notre Benzema »

Après une victoire contre Welkenraedt, Cédric Lemoine et les White Tigers ont enchainé par des succès contre Tilff et Grivegnée au tour final P4. Interview.

Cédric, ton tour final a commencé avec une entorse lors de la victoire remportée à Welkenraedt 72-81.

Exact. Dès lors, j’ai coaché deux de nos trois premiers matchs de ce tour final dont je retiens surtout l’esprit d’équipe qui a fait la différence. Nous avons été quelques fois en difficulté mais nous n’avons jamais paniqué et nous sommes restés soudés.

Votre second succès fut acquis contre Tilff 71-63.

Nous avons montré un véritable esprit d’équipe, chaque joueur a eu son moment. Nous avons réussi de bons stops et nos attaques étaient bien construites. Mention spéciale à notre Benzema, ma team comprendra (rires).

Ce fut ensuite Grivegnée qui passa à la moulinette, 81-54.

Notre capi Terence Gabriel, auteur de 20 points, s’est senti comme un poisson dans l’eau et a planté une série de bombes insolentes pour nous donner une vingtaine de points d’avance. Nous avons ensuite correctement géré la suite des échanges.

« Nous garderions la même philosophie si nous montions finalement en P1 »

Samedi, les Grenouilles ont dominé Verviers pour remporter le test-match des meilleurs deuxièmes de P2 et ainsi entrouvrir la porte de l’élite provinciale.

Face à des Verviétois qui avaient coché en rouge ce choc depuis des semaines, les Grenouilles se sont présentées sereines. « Nous nous étions manifestement mis moins de pression que Verviers et je pense que cela s’est ressenti sur et en dehors du terrain où nous étions plus calmes et concentrés », nous confirme Jérémy Brulmans. « Nous avons pris un 0-6 pour commencer avant d’enchainer les perles, notamment trois triples de Simon Henrioulle sur trois attaques consécutives dans le premier quart pour nous donner un avantage d’une quinzaine de points que nous n’avons quasi plus lâché. »

Au final, Cointe s’imposait 70-68. « Mention spéciale à Maxime Evrard, récemment papa, qui a sorti une énorme deuxième mi-temps et merci à Sabine Vendrix pour l’interim », ajoute Jérémy qui sait que désormais, la possibilité d’évoluer en P1 la saison prochaine est une réelle. « Si jamais nous montions finalement en P1, nous garderions la même philosophie : éviter la zone rouge dès le début et prendre un maximum de plaisir pour la suite. »

Première victoire pour Ninane ou Atlas ?

Les Jupillois n’ont disputé qu’une rencontre, perdue contre Tilff, 60-63. Les Calidifontains ont, eux, déjà subi trois revers.

Zéro pointé pour Ninane depuis le début de ce tour final. Les Calidifontains se sont d’abord inclinés 65-75 contre Tilff avant de perdre contre Grivegnée 56-67 et d’ensuite exploser contre Welkenraedt 53-86. Les Jupillois n’ont eux disputé qu’une seule rencontre, perdue 60-63 contre Tilff. Ce mercredi, ces deux équipes s’affrontent à Ninane. Dans leurs installations, Benjamin Mignon et ses coéquipiers auront un avantage certain mais la fougue des jeunes Brasseurs pourrait être particulièrement difficile à contenir pour des Ninanais qui disputeront leur quatrième match en six jours.

« Nous terminons meilleurs troisièmes »

Après avoir battu l’Union Liège, Ans a récidivé contre Harimalia 67-61 pour boucler le tour final des meilleurs troisièmes à la première place.

Vendredi, les Ansois avaient pris le dessus sur les Unionistes, 50-69. Dimanche, ils ont récidivé contre Harimalia, 67-61. « Nous étions tous très motivés et nous voulions gagner ce match pour bien terminer la saison », nous assure Julien Moran Garcia. « Cela nous a aidés à obtenir ce résultat. Nous pouvons dire que ces deux matchs ne furent pas les meilleurs de notre saison mais nous avons réussi à obtenir le deux sur deux et nous terminons meilleurs troisièmes. »

Lee : de Monaco au Pana

Carrière linéaire et exemplaire pour l’ex-petit meneur de notre Métropole. Quant à Hanne Mestdagh, elle quitte les Cats mais rebondit à Courtrai quasi dans son jardin flandrien. La maman d’Ysaline Bonaventure, elle, est passée des gradins des Bressaix à ceux de Roland Garros. Ce sont les infos d’EMCE.

Après l’AS Monaco, l’ancien Giants rejoint le Panathinaikos

Décidément cette boule de nerf et de talent qu’est Paris Lee (27 a, 1,83 m, photo) connait une carrière européenne allant crescendo. On le retrouvait d’abord aux commandes des Giants d’Anvers, de 2017 à 2019. Son efficacité tant offensive que défensive y était vite repérée par les recruteurs de Monaco qui s’empressait de l’attirer sur le Rocher monégasque. Avec l’ASM, il s’illustrait ensuite en EuroLigue et répondait, dans la foulée, aux récentes propositions sonnantes et trébuchantes du Panathinaikos dont il endossera le maillot dès la prochaine reprise et pour deux années.

Hanne Mesdagh renonce à l’équipe nationale mais signe à Courtrai

Le moins que l’on puisse écrire est qu’Hanne Mestdagh (29 a, 1,78 m) est à un tournant de sa carrière. Après avoir loué ses services à Saarlouis (D1 allemande), son dernier club en date, la Courtraisienne décidait de renoncer à l’équipe nationale : « Disons que je ne me trouvais plus vraiment utile avec les Cats. » Ce n’est pas pour autant que l’ancienne sociétaire de Namur et de Braine restera inactive la saison à venir. Pour preuve, elle renforcera les rangs courtraisiens. Soit, à quelques bornes de son domicile yprois et, surtout, une nouvelle valeur ajoutée à notre championnat de D1.

La pépite (parisienne) du mardi

Chouette parcours que celui signé par Ysaline Bonaventure à la Porte d’Auteuil. Hier, la Stavelotaine pouvait compter sur l’appui de nombreux supporters. Dont sa (discrète) maman en bord de court. Voilà qui devait la changer des gradins spartiates des « Bressaix ». Il n’en demeure pas moins que les arrêts observés par certain(e)s en exaspèrent de plus en plus. A ce propos, savez-vous qu’il n’y a pas de limitation de temps lors des « stops sanitaires » ? Récemment, c’était Yannick Noah qui déclarait sur TV5 : « Je ne regarde presque plus de match à la télé car je ne supporte pas qu’on s’essuie 50 fois aux serviettes ou qu’on fonce aux toilettes jusqu’à pas d’heure. J’ai calculé, pour un match en deux sets, le temps réel de jeu n’excède pas les 45 minutes. »

La télé crève l’écran

Quand il n’y en a plus, il y en a encore… D’où, Mons – Feyenoord (19 h 45, VOO et Proximus) et Dallas – Golden State (3 h, Eleven Sports 2).

Michel Christiane

Crédit photo : FIBA

Bilan équilibré pour Grivegnée au tour final

La RJS a vaincu Ninane avant de s’incliner contre les White Tigers. Les Porais seront le prochain adversaire des Liégeois, jeudi midi à Belleflamme.

Samedi, les Liégeois ont remporté leur duel contre Ninane, 56-67 avant de s’incliner le lendemain contre les White Tigers, 81-54. Jeudi, à Belleflamme et sur le coup de midi, Grivegnée affrontera une équipe de Tilff qui comptabilise deux victoires en trois rencontres.

« Nous avons réussi à gérer un calendrier NBA »

Deux victoires et un revers pour Cédric Skelton lors du premier week-end du tour final P4. Interview.

Cédric, comment avez-vous vécu ce premier week-end de tour final ?

Ce fut très intense et compliqué physiquement.

Notamment le dernier match contre Atlas.

Oui, nous avons joué notre troisième match de suite contre une équipe qui débutait seulement la compétition. LAAJ est une très jeune équipe dont la moyenne d’âge frôle les dix-neuf ans. J’aurais pu être le père de nos adversaires (rires).

Néanmoins, vous êtes parvenus à vous imposer 60-63 après avoir dégà gagné contre Ninane et vous être inclinés contre les Whites Tigers.

Contre les Jupillois, nous avons puisé dans nos réserves pour compenser nos erreurs. Le bilan de ce premier week-end est plutôt positif car les White Tigers étaient plus forts que nous même s’il ne manquait pas grand chose. Nous avons réussi à gérer un calendrier NBA et à fermer la buvette de Ninane assez facilement.

« Le club s’est vu accorder une deuxième chance »

Finalement, Kevin Reyserhove et Alleur repartiront bien pour un tour en R1 la saison prochaine et ont renforcé leur effectif avec cinq joueuses. Entretien.

Kevin, il y aura finalement bien une R1 à Alleur la saison prochaine.

C’est exact. Après notre saison compliquée pour différentes raisons, je m’étais fait à l’idée d’être en R2 mais à la suite de la super saison de l’équipe R2, le club s’est vu accorder une deuxième chance. C’est une bonne chose pour tout le monde dans l’optique de la formation. Je tiens d’ailleurs à féliciter les joueuses et le coach R2 pour leur saison et leurs Playoffs ! En tant que passionné, j’aurais aimé voir une équipe au complet se battre pour le titre – mais cela ne semble pas intéresser tout le monde de finir champion – mais j’ai finalement vu des jeunes tout donner pour leur équipe et ça aussi c’est beau à voir ! Bravo les filles !

Quel effectif alignerez-vous en R1 la saison prochaine ?

Nous repartirons avec le même noyau dur et nous accueillons Léa Woit, Nina Épis, Fanny De Craecker, Olivia Vieilvoye et Clémentine Martin. Il fallait équilibrer le groupe et c’est chose faite. A nous maintenant de former un collectif afin de tenter de faire mieux que cette année. Tout le monde est motivé à cette idée.

Crédit photo : Philippe Collin

« Vingt points de retard dans le premier quart-temps »

Pour lancer leur tour final et avant de s’imposer contre Tilff et Grivegnée, les White Tigers ont remporté la victoire 72-81 contre Welkenraedt à Comblain après avoir pourtant été longtemps menés.

Vendredi, les White Tigers débutaient leur tour final par un duel contre Welkenraedt à Comblain. « Un match assez compliqué car nous sommes très mal rentrés dans celui-ci en prenant rapidement vingt points de retard dans le premier quart-temps », rouspète Cédric Lemoine qui s’est occasionné une entorse en toute fin de rencontre.

Les Theutois changaient alors de défense et se montraient moins permissifs derrière pour revenir à égalité à la mi-temps. Mais il fallait attendre la dernière ligne droite et les dix dernières minutes pour que les Tigres Blancs prennent finalement le dessus sur les « Noirs », 72-81.