« Un niveau exigence élévé auquel les joueurs ont directement adhéré »

Le début de saison canon de Comblain en TDM2B, le match historique contre Ostende en Coupe de Belgique et la renaissance du BC Réveil: autant de passionnants sujets abordés par Christophe Henri, manager, joueur et coach par intérim, pour Liège & Basketball.

Samedi, Comblain avait mis les petits plats dans les grands pour recevoir Ostende en Coupe de Belgique et tout le magnifique village s’était paré de rouge. « C’est évident qu’il y avait un niveau d’écart entre nous et les champions de Belgique mais nous avons tenu notre rang » commence Christoph Henri. « Nous n’avons pas eu le choix d’arrêter la rencontre à cause d’une fuite dans le toit et d’un peu de condensation mais dans l’ensemble ce fut une très belle fête pour le club et une belle récompense pour le boulot abattu par tous au Mailleux. »

C’est que Comblain, habitué des Top 6 en TDM2 sous la férule de l’excellent Mike Bodson, a encore pris une autre dimension depuis l’arrivée de Ludo Humblet et de son staff. « Le niveau d’exigence est très élevé et les joueurs y ont directement adhéré. C’est génial car cela reste des amateurs » poursuit le manager comblinois. « Dès le premiers août, les gars se sont mis à bosser et tirent tous dans le même sens. »

Cela se traduit par un début de saison exceptionnel, aussi bien dans les chiffres – quatre victoires en autant de rencontres, 97,5 points inscrits pour 72 encaissés – que dans la manière, le jeu comblinois convertissant immédiatement chaque spectateur en fan. « Nous sommes dans notre plan de marche » enchaine Christophe. « Nous avons construit cette équipe pour gagner un maximum de matchs. Si nous sommes champions, nous monterons mais il n’y a aucune pression à ce sujet. L’objectif est vraiment de glaner autant de victoires que possibles et nous savons bien qu’une saison est longue et qu’il y a différents facteurs – blessures, méforme, équipes qui seraient tentées de transférer, etc. – que nous ne pouvons pas maitriser. Mais nous avons su mettre en place une structure pour performer et à laquelle les joueurs ont directement souscrit. »

Sept jours après avoir offert une belle résistance aux Côtiers, les Comblinois iront à Tongres pour le choc du week-end en TDM2B. « Un tout gros déplacement » constate l’ancien scoreur vedette qui a toujours bon pied, bon oeil. « En cas de résultat positif chez les Limbourgeois, nous prendrions peut-être déjà une option sur le Top 3. »

A côté de son implication à Comblain, Chris Henri a oeuvré à la renaissance du BC Réveil. « C’était une idée de mon frère car c’était le club de notre grand-père. Nico s’en occupe super bien et nous avons su convaincre des amis (ndlr: qui sont aussi de sacrés joueurs) de rejoindre l’aventure. C’est un super challenge qui se passe très bien même si nous découvrons de nouvelles choses chaque semaine » enchaine celui qui assure l’interim au coaching. « C’est vrai que j’ai plusieurs casquettes pour le moment: manager, joueur, coach. Nous sommes d’ailleurs à la recherche d’un entraineur pour le Réveil. L’objectif du club est de s’extirper de la P4. Avec l’équipe constituée, ce serait dommage de ne pas y arriver. »

Après un an éloigné des terrains, celui qui brille aussi dans le privé avec Skyforce a été agréablement surpris par l’enthousiasme des basketteurs. « Pas mal de coachs craignaient de devoir composer avec de nombreux arrêts mais force est de constater que ce n’est pas le cas » se réjouit Christophe. « C’était agréable de voir tous les joueurs heureux de reprendre, de rejouer, de se retrouver dans un vestiaire, de partager un verre. » Ce qui, en fin de compte, fait l’essence du basket amateur: compétition, amitié et convivialité.

Crédit photos: Philippe Collin et BC Mailleux Comblain

« Le travail du coach Thibaut Boxus commence vraiment à se voir »

La P2 d’Harimalia a offert une excellente résistance à la P1 d’Alleur en Coupe de la Province.

Dans le sillage de Robin Malpas (25 points) et de l’éternel Di Pro (9 pions), les All Blacks démarraient en force pour faire 6-9 puis 9-17 avant de conclure les dix premières minutes sur le score de 19-26. Essonne et Olaerts (11 unités chacun) et leurs partenaires allaient alors faire jeu égal avec les pensionnaires de P1. A la pause, l’écart était de treize points, 33-46, et n’allait pas changer en seconde période, la partie s’achevant sur la qualification d’Alleur 63-76.

« Nous avons réalisé un super début de championnat mais cela fait trois semaines que nous devons composer avec énormément de blessés et après deux défaites que nous aurions pu éviter, le moral n’était pas au beau fixe » nous explique Pascal Goffin. « Je crois que ce match a rassuré le groupe et rendu de l’énergie à l’équipe. Le boulot du coach Thibaut Boxus commence vraiment à se voir. C’est le coach qui convient à cette jeune équipe et je pense que nous avons fait le bon choix en lui confiant les rênes de celle-ci. »

Si le parcours des Abeilles s’arrête aux huitièmes de finale, les Alleurois sont eux qualifiés pour les quarts où ils défieront les impressionnant Buffalos, victorieux à Hannut, 80-86.

HARIMALIA(+5) – RBC ALLEUR : 63 – 76

QT : 19- 26 / 14/20 / 17-17 / 13-13

HARIMALIA : Olaerts 11, Brouwir 2, Obers 16, Lumbemba 0, Bouillon 11, San Giorgio 2, Moray 5, Essonne 11

RBC ALLEUR : Aldenhoff 0, Dallenogare 8, Debefve 6, Forthomme 13, Notelaers 7, Carbonari 4, D’Heur 4, Malpas 25, Di Prospero 9, Kistemann 0

« Avoir envie ne suffit pas toujours »

A Profondeville, Dorian Velden et La Villersoise ont craqué en seconde période. Les jeunes de Villers espèrent renouer avec la victoire samedi contre Nivelles. Interview.

Dorian, vous vous êtes inclinés 74-46 à Profondeville ce week-end. Quelles sont tes impressions concernant cette défaite ?

Nous avons fait une première mi-temps encourageante. Le problème, c’est qu’un match dure quarante minutes… Nous fûmes particulièrement imprécis, ce qui a précipité notre chute.

Que vous a-t-il manqué pour davantage rivaliser avec les Sharks ?

Il nous a manqué de la justesse et de l’intelligence. Il nous a manqué aussi de la taille dans la raquette, mais ça, c’est à chaque match.

Que devrez-vous améliorer pour samedi et la réception de Nivelles ?

Nous devons être plus constants et savoir gérer un match pendant quarante minutes et pas seulement pendant quelques minutes. Nous travaillons pour cela et nous espérons tous pouvoir renouer avec la victoire qui nous boude depuis quelques temps. Nous restons concentrés et nous avons envie de bien faire, seulement avoir envie ne suffit pas toujours.

« Favori: un statut qui se mérite uniquement sur le terrain »

Dans le derby de P2A entre Wanze et Verlaine, ce sont les Sucriers qui l’ont emporté, 75-62, confirmant ainsi leur regain de forme. Avant un autre derby à Hannut, Nicolas Paulus revient sur la dernière victoire de sa formation, l’évolution des Wanzois après une début de campagne totalement loupé et les ambitions que ceux-ci peuvent poursuivre dans une série tout à fait surprenante. Entretien plus rivière que fleuve cette fois-ci.

Nico, comment s’est déroulé votre derby contre Verlaine ?

Nous avons commencé par faire jeu égal avec les Verlainois. Physiquement, dans la dureté, nos adversaires étaient même meilleurs que nous et nous avions un peu de mal a répondre à leur intensité. Par la suite, nous nous sommes repris et nous avons répondu physiquement. De plus en plus de rebonds étaient pour nous, notre défense s’est resserrée. Dans le même temps, Verlaine n’a plus su tenir l’intensité fournie au début et nous en avons profité pour faire le trou.

Qu’est-ce qui, finalement, a fait pencher la balance en votre faveur ?

Nous étions plus nombreux et avons pu compter sur tout le monde. La différence, elle est sans doute à trouver dans notre profondeur de banc. Mais, alors que nous avions dix-sept points d’avance au début du quatrième quart, nous avons laissé un excellent shooteur adverse deux fois tout seul. Redonner de l’espoir à une équipe pareille, c’était suicidaire de notre part car les visiteurs ont pu revenir à cinq unités de nous. Cependant, nous avons conservé notre sang froid pour mettre des paniers et des lancers importants.

Comment évalues-tu votre évolution ?

En présaison, tout tournait super bien. Ensuite, nous avons clairement régressé et la blessure de Greg Fraipont n’y est pas pour rien. Mais il n’y a pas que ça. La peur de prendre nos responsabilités était clairement palpable. Ce n’est plus le cas maintenant. Tous les joueurs apportent. Cela dit, nous connaissons toujours des errances, des périodes où nous déjouons totalement, où nous laissons l’adversaire reprendre confiance. Notre match de référence n’a pas encore eu lieu.

Vous présentez un bilan de trois victoires en cinq rencontres.

On nous a mis – et nous nous sommes mis aussi – un peu trop vite dans la liste des favoris de la série. Cointe puis Comblain nous ont prouvé que ce genre de statut se mérite uniquement sur le terrain et que tout était à faire. Depuis ces deux premières défaites, nous prenons match après match et ce sera le cas jusqu’à la fin de la saison.

Votre prochain match sera à nouveau un derby, à Hannut.

Nous avons pu bénéficier d’un week-end de libre utile pour les organismes car j’ai senti pendant quelques jours les coups reçus contre Verlaine. Nous voyons très bien dans les résultats que tout le monde peut battre tout le monde. Du coup, nous irons à Hannut sans prétention et pour jouer, tous ensemble, un basket sans pression.

« Considérablement gênés par la poisse mais nous avons enfilé le bleu de travail »

A six, les Aubelois ont réussi une superbe remontada pour s’imposer à Schaerbeek 70-74 et décrocher le droit de défier Tilff au prochain tour de la Coupe AWBB. Reportage.

Le contexte n’était pas franchement favorable aux Aubelois dimanche en fin d’après-midi à Schaerbeek mais comme le disait le regretté Rudy Tomjanovich: « Il ne faut jamais sous-estimer le coeur d’un champion ». Privés de rotations avec Hassan et Bertho qui venaient gonfler les rangs à l’infirmerie et le seul courageux Chris Albert comme remplaçant, les Herbagers n’ont pas livré une prestation étincelante. « Nous avons effectué de mauvais choix et connu plusieurs trous de quelques minutes en attaque comme en défense » reconnait Alexandre Bousmanne.

Menés de dix-huit longueurs au milieu du troisième quart-temps, les Aubelois allaient trouver les ressources nécessaires pour arracher la victoire 70-74 ! « Nous avons pris feu à la vingt-cinquième pendant cinq minutes pour résorber notre retard et passer devant. Nous n’avons pas abandonné, pas paniqué, nous sommes serrés les coudes et avons mis notre bleu de travail » sourit le pivot d’Aubel. « Nous sommes toujours considérablement gênés par la poisse qui nous accompagne mais nous restons solidaires pour forcer de petits exploits depuis trois semaines. »

En huitième de finale, les Aubelois se rendront à Tilff pour un derby qui s’annonce âprement disputé pendant trois mi-temps. « Ce sera un gros morceau à affronter. Les Porais possèdent un beau collectif qui joue vite et juste. Nos entraineurs s’apprécient et se connaissent bien, il faudra que nous soyons plus loin dans notre préparation pour pouvoir rivaliser » souligne « Bous ». « Nous espérons proposer du plus beau basket et avoir davantage de joueurs valides pour que la fête que nous ferons avec nos hôtes commence par un match qualititatif. Mais nous allons avoir bon. »

« Un groupe qui peut faire la différence sur le long terme »

En P3C, Liège Basket a conquis une nouvelle victoire nette et sans bavure et possède un excellent bilan.

A Pepinster, les Sang et Marine se sont imposés assez nettement, 36-61. « Le début de match fut pourtant compliqué car nous n’avons pas su développer notre jeu » constate Tarik Bouchaouir. « Nous n’étions pas en réussite mais notre défense nous a aidés a rester devant et grâce à notre intensité défensive – seulement 14 points concédés en seconde période – nous l’avons emporté. »

Les Liégeois affichent un beau bilan de trois victoires en quatre matchs dans la plus dense série de troisième provinciale. « Nous progressons chaque semaine. Nous avons la chance d’être douze à chaque entrainement. Cela nous permet d’avoir un bon groupe qui, pour moi, peut faire la différence sur le long terme » souligne celui qui évolue désormais en P1. « Tous mes joueurs s’appliquent au travail pour le même résultat: la victoire. »

Ambiance comblinoise

Un autre ténor de notre basket est déjà venu en bord d’Ourthe pour le compte de la coupe de Belgique. Un « ancien combattant » du cru s’en souviendrait-il toujours ? A l’étranger, Mayombo en tête du championnat turc avec Antalaya (3 sur 3) et pas de « derby pepin » à Contern. Ce sont les infos d’EMCE.

La pépite (comblinoise) du mardi

On l’oublie souvent, mais Ostende n’est pas le premier ténor belge à avoir posé les baskets à Comblain, en coupe de Belgique. On devait être dans les années ’90 et la salle était tout aussi comble à l’occasion de la visite de Malines, je crois. A ce propos, si un « ancien combattant » du cru s’en souvient toujours, merci de nous éclaircir la lanterne. C’était un soir en semaine et je couvrais le match pour la DH. A cette époque, je travaillais sur un ancestral « Tandy » et, pour transmettre le texte à la rédaction, une prise téléphonique était indispensable. Le match était allé jusqu’au bout mais atteindre l’unique téléphone de la buvette s’avérait mission impossible. Vu le monde au comptoir et le boucan ambiant. Le temps tournait, mon stress montait. Dès lors pas d’autre solution que de débarquer, en catastrophe, chez le voisin le plus proche. C’est donc de son salon que mon article arrivait à Bruxelles « just in time ». Un vrai compte-rendu de coupe, quoi !

Principautaires hors frontières : Fuger gagne le « derby pepin » au Luxembourg

Au rayon masculin, Hulsen (17) s’illustre encore à Termoli, mais son équipe d’adoption s’incline de justesse (98-94) à Chieti. En revanche, Sarlette reste muet à l’Etzella Ettelbrück qui l’emporte néanmoins (69-84) à l’Amicale drivée par le Namurois Louvrier. En dames, Lyon (Allemand 8) poursuit son redressement spectaculaire en explosant (90-57) le promus d’Angers. Au MBA Moscou, Koursk et Petit ne furent jamais en péril (54-78 après 27-46 à la pause) tandis que Trégueux et Widart revinrent victorieux (70-76) de Landerneau. Quant à Mayombo (8), elle contribua au 3e succès de rang (65-75) d’Antalya à Botas. Au Grand-Duché, enfin, on devait avoir droit au « derby pepin » opposant Contern au Sparta. Du moins, en principe car Henket dut renoncer pour Bertrange (Schmidt 17) mordant la poussière (85-68) sur le parquet des troupes de Fuger.

FIBA Europe Cup : quasi un quitte ou double pour Mons à Ionikos

En C3, les Renards sont toujours en quête d’un premier accessit. S’ils veulent rester en vie, ils n’auront d’autre solution que d’aller rafler la mise, ce soir (18 h), à Ionikos. Une phalange grecque dont l’unique victoire continentale se situe à… Mons. Les Hennuyers voudront donc prendre leur revanche aux dépens d’un rival à la peine en championnat : 1 sur 5 et 59-65, ce week-end, chez le voisin de l’AEK Athènes. Réponse dès aujourd’hui sur le coup de 19 h 45 depuis le Stade Platon.

La télé crève l’écran

Bonne nouvelle pour les insomniaques, Eleven Sports 2 diffusera Dallas – Miami en début de nuit. Soit, à minuit trente.

Michel CHRISTIANE

Crédit photo : NG

« Le physique et l’expérience ont fait la différence »

A domicile, Roland Delhaes et les expérimentés Capellois n’ont guère été inquiétés par les jeunes Ensivalois.

C’était sans doute le duel le plus déséquilibré – alors qu’il n’y avait qu’une division d’écart – et cela s’est vérifié: Henri-Chapelle n’a pas tremblé face à Ensival, s’imposant 98-58. Un duel des extrêmes entre des locaux ayant déjà pas mal roulé leur bosse et des visiteurs découvrant le basket en seniors. « Notre puissance physique et notre expérience ont fait la différence » constate Roland Delhaes, ancien routinier de la D2 et de la D3 du temps de la grande époque de Ninane et qui évolue désormais avec son frère Arnaud. « Ensival est une équipe assez jeune par rapport à la nôtre (rires). »

Les protégés de Fred Ledain sont désormais qualifiés pour les quarts de finale et y affronteront un sacré client: Bellaire. « Dans cette compétition comme en championnat, nous prenons les matchs les uns après les autres comme depuis le début » assure l’ancien défenseur d’élite du matricule 1200.

« Les clubs dépensent plus qu’ils ne gagnent »

Si l’Euroleague est la compétition basket la plus suivie en Europe, son modèle économique interpelle.

C’est en substance ce que déclare le Président de l’Etoile Rouge de Belgrade. « Il se passe des choses inhabituelles en Euroleague. Nous ne faisons pas partie de ses copropriétaires, mais il est inévitable que le calendrier doit changer. Nous ne pourrons pas le supporter. Nous n’avons pas la possibilité de recruter 18 joueurs. Même avec 14, 15 engagés, c’est difficile. Les clubs dépensent plus qu’ils ne gagnent. Une victoire en Euroleague rapporte 37.000 euros, en UEFA Europa League (football) environ 700 000. Le basket-ball a engendré plus de dépenses qu’il ne rapporte » assure Nebojsa Covic dans une interview à la TV Serbe RTS traduite par Basket Europe.

Le Brussels échoue de peu à Anvers après un match intense

Le Brussels a sérieusement fait douter Anvers ce lundi 1er novembre.

Ce lundi 1er novembre, Anversois et Bruxellois n’étaient pas en congé et devaient en découdre. Les visiteurs prenaient un excellent départ pour mener 18-21 après dix minutes et 37-40 à la pause. Au retour des vestiaires, Tiby (19 points et 6 rebonds) serraient la vis en défense pour reprendre le contrôle de la partie et faire 59-51 à la demi-heure. Loin d’abdiquer, Deroover (12 points et 4 passes), Kouguere (13 points, 6 rebonds et 3 passes) et les Bruxellois se resaisisaient et revenaient au score mais, finalement, Mwema (14 unités) et les locaux parvenaient à émerger et à arracher la victoire, 80-74 contre une équipe du Brussels transfigurée et qui aurait sans doute mérité mieux.

« Félicitations à tous les joueurs pour cette rencontre que l’on oubliera pas de sitôt et merci à tous les supporters bruxellois qui auront fait le déplacement » communiquait le Phoenix sur les réseaux.

Crédit photo: Brussels Basketball