Les Cats perdent Résimont mais vont en 1/4 !

Malgré la perte sur blessure de Résimont, les Cats ont réussi à prendre le dessus sur les Brésiliennes 15-9 pour se qualifier pour les quarts de finale où elles affronteront la Chine.

Après un début de rencontre marqué par beaucoup de maladresse(s), les Belges perdaient Laure Résimont, victime d’une entorse. Becky Massey – dominante – et Julie Vanloo – virevoltante – passaient alors la démultipliée, correctement secondées par Ine Joris, auteure de deux paniers importants. Les Cats creusaient l’écart, s’assuraient la victoire, 15-9, et pouvaient exploser de joie devant une foule en délire.

Le péril rouge

Ce samedi soir (21h10), les Belges affronteront la Chine pour une place dans le dernier carré de la compétition. « Ce sera dur, la Chine est une équipe très physique », a déjà prévenu Julie Vanloo juste après le huitième de finale. Privées d’une rotation, les Cats devront faire preuve d’adresse pour contrecarrer les plans chinois.

Crédit photo : FIBA

Les Belges favoris pour rejoindre le dernier carré du Mondial

Ce samedi, les Lions ont un beau coup à jouer pour rejoindre le dernier carré du Mondial anversois.

Depuis plusieurs jours, Anvers vit au rythme du rebond du ballon et des encouragements lancés par les nombreux supporters présents dans la mégalopole flamande. Ce samedi, les Belgian Lions, invaincus lors du premier tour avec notamment un succès de prestige en prolongation contre les USA, ont l’opportunité de rejoindre le dernier carré de la compétition.

Pour cela, Vervoort – impressionnant au premier tour – et ses partenaires devront se défaire de la Mongolie ou de la Pologne. Nos compatriotes seront fixés sur l’identité de leurs adversaires sur le coup de 13 heures. Une rencontre (17h30) qu’ils aborderont quoi qu’il arrive dans le costume du favori avec en ligne de mire une possible demi-finale contre la Serbie. Come on Belgium !

Crédit photo : FIBA

« Sur une Coupe du Monde, tout peut arriver »

Ce samedi, les Françaises de Karim Souchu affrontent la Mongolie pour tenter de décrocher leur ticket pour les quarts de finale contre l’Espagne tandis que les Français devront eux vaincre l’Autriche pour gagner le droit d’affronter les Pays-Bas.

Contrairement à l’équipe belge masculine, la France ne s’est pas qualifiée d’office pour les quarts du finale du Mondial 3×3 qui se déroule actuellement à Anvers où le public répond à l’appel. En effet, tant chez les hommes que chez les dames, les tricolores doivent passer par les huitièmes de finale ce samedi après-midi.

Pour l’équipe féminine, battue de peu (18-20) hier par les Etats-Unis, c’est la Mongolie qui est au programme. En cas de victoire, les Françaises affronteraient alors l’Espagne quelques heures plus tard pour tenter de rejoindre le dernier carré de la compétition.

Pour l’équipe masculine, c’est l’Autriche – qui avait donné du fil à retordre aux Lions – qui sera au menu. Si nos voisins d’outre-Quiévrain parviennent à vaincre les Autrichiens, ils enchaineront par un quart de finale contre les Pays-Bas. A noter que la Belgique et la France ne se retrouveraient qu’en finale, si elles parviennent à s’y hisser.

“On y va avec l’objectif de performer, on fait du sport de haut niveau pour ça, on va essayer d’aller le plus haut possible, avec les garçons et les filles », déclarait Karim Souchu, le coach des équipes française, à sportbusinessmag.com. « Sur une Coupe du monde, tout peut arriver. C’est une question de dynamique. Ensuite, quoi qu’il arrive, c’est une expérience qui va nous servir, car nous sommes dans un nouveau cycle, un renouveau avec des nouveaux joueurs, de nouvelles joueuses. Cela sera aussi une façon de s’évaluer, de voir où on en est. »

Crédit photo : FIBA

Défaites par la Pologne, les Cats devront en passer par les huitièmes de finale

Les Cats n’ont pas imité les Lions. En s’inclinant de justesse contre la Pologne, les Belges devront passer par de périlleux huitièmes de finale contre le Brésil.

Dans une rencontre hachée par les fautes, les Belges ne parvinrent jamais – si ce n’est lors d’une superbe séquence de Massey – à trouver le rythme. Hormis l’intérieure, aucune de nos compatriotes ne fut à son avantage, ratant trop de paniers faciles, privilégiant trop souvent de mauvaises options et se rendant coupables de grosses erreurs défensives. Néanmoins, alors que les Cats évoluaient en dessous de leur niveau, elles parvirent à tenir le choc face à des Polonaises adroites derrière l’arc. Malheureusement, ces dernières se montrèrent plus réalistes pour l’emporter de justesse, 13-12.

Avec cette première et unique défaite du premier tour, les Cats terminent à la seconde place de leur groupe et devront en passer par les huitièmes de finale où elles affronteront le Brésil.

Crédit photo : FIBA

« De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves »

Après un revers contre l’Allemagne, les policiers belges affronteront leurs voisins français pour la cinquième place à l’Euro de basket des polices qui se déroule actuellement à Limoges. Kevin Reyserhove, coach de la délégation belge, passe à l’interview.

Kevin, après une victoire contre l’Italie, vous vous êtes inclinés contre la Grèce et puis contre l’Allemagne. Que retiens-tu de cette dernière rencontre contre les Teutons ?

Nous avons vraiment fait un bon match mais, en face, il y avait plusieurs pros dont un qui a même participé aux Jeux Olympiques avec Nowitzki (ndlr : Philip Zwiener, un ailier ayant évolué à l’Alba Berlin, à Trier ou encore dans l’ancien club de Max De Zeeuw, Oldenburg) ! Du coup, le résultat – 94-51 – est là sans que les Allemands aient dû forcer.

Vendredi, c’était repos pour vous.

Oui, day off avec juste un petit entrainement tactique. Nous avons quatre blessés – dont un qui a dû aller à l’hôpital – sur un noyau de huit joueurs. Il va falloir mordre sur notre chique contre la France que nous affronterons pour la cinquième place.

Cette cinquième place serait un bon résultat pour vous ?

Oui, vu le niveau des autres équipes, terminer à la cinquième place serait vraiment synonyme de super tournoi. Mais être sixièmes, c’est bien aussi. Après, personne ne veut perdre contre la France (rires).

Que devrez-vous faire pour vaincre les Français qui évoluent du surcroît à domicile ?

Nous devons déjà espérer que nos blessés puissent jouer. Ensuite, nous devrons avoir de la réussite aux shoots et être solidaires en défense et au rebond car nous comptons un gros déficit physique. De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves ! Si nous prouvons cela, la victoire sera accessible.

Crédit photo : Kim Vanbesien

Anvers et contre tous !

La Groenplaats de la Métropole est sans conteste actuellement « the place to be ». Et la température va encore monter de plusieurs crans à l’approche d’un week-end aussi sportif que festif. L’actualité basket se déroule également en Catalogne et dans le nord du Grand-Duché. Ce sont les infos d’EMCE.

Coupe du Monde 3 x 3 : les Cats en quête d’exploit contre la Pologne

On connait des Américains qui tiraient une drôle de tronche, hier, sur le coup de 18 heures. Contraste saisissant avec la liesse s’emparant de nos Lions et d’un public visiblement sous le charme. Prochain rendez-vous pour la « bande à Depuydt » demain à 17 h 35 face au vainqueur du match entre le 2e du groupe B et le 3e du groupe C. Duel qui aura lieu samedi à 12 h 25. « Si nous voulons encore nous améliorer, nous devrons nous montrer plus malins sur le plan tactique », prévient Nick Célis. Toujours au rayon masculin, les Français de Karim Souchu se sont qualifiés pour les 1/8e de finale suite à leur succès (21-14) sur Porto-Rico. Les Cats peuvent, elles aussi, terminer en tête de leur poule. A une seule condition : venir à bout, cet après-midi (17 h 35), des Polonaises. Attention, celles-ci pointent en 3e position au ranking FIBA et s’appuient sur Klaudia Sosnowska, ex-n°1 mondiale. Grâce au forfait des Dominicaines, nos compatriotes sont d’ores et déjà qualifiées pour le tour suivant de la compétition. Quelque chose nous que l’on va connaitre un week-end de folie dans la Métropole…

Elise Ramette quitte le Brabant Wallon pour une grosse cylindrée espagnole

Vu l’arrivée massive d’étrangères, il devenait évident que le dernier noyau en date de Castors Braine se devait d’être élagué. Dans cette perspective, Elise Ramette (23 a, 1,71 m) a décidé de tenter une expérience hors de nos frontières. Sur le plan sportif, elle ne devrait pas vraiment y perdre au change puisqu’elle intègre les rangs de La Leu, une phalange catalane ayant échoué au pied (4e) du podium espagnol. Une référence, en soi.

De l’autre côté de la frontière, Wiltz engagent quatre renforts étrangers

Ca bouge pas mal au Grand-Duché et plus précisément tout près de chez nous. Ainsi, les Sangliers de Wiltz viennent de recruter trois renforts étranger pour leur équipe dames (D1) : la Montréalaise, Julie Brusseau ; l’Américaine, Amaya Scott ; et la Serbe, Hristina Marjanovic. Quant à la D2 masculine du cru, elle pourra compter sur les centimètres US d’Hakeem Louis (27 a, 2,08 m) en provenance de Cœur de Flandres Hazebrouck (N3 française). A noter encore que le Luxembourg alignera deux formations en coupe d’Europe féminine : Grénwewald et Dudelange. Pendant des années, il n’y eut plus le moindre représentant « luxo » sur la scène continentale. Les temps changent…

La télé crève l’écran

Aujourd’hui, place à Belgique – Pologne (17 h) sur Tipik et la Eén. Demain, le quart de finale des Lions à 17 h 35 (Tipik et Eén) ainsi que la rencontre des Cats qui reste à déterminer. Dimanche, on croise les doigts pour que ce soit à 21 h 30. Soit, le début de la finale pour le titre mondial.

Michel Christiane

Crédit photo : FIBA

« Les boulets sauce lapin avec Jean Joly »

Passé par les USA, la France, la Belgique et Chypre, Karim Souchu a eu une carrière bien remplie avant de devenir coach des équipes de France de 3×3 et est actuellement présent à la Coupe du Monde de 3×3 à Anvers avec les sélections tricolores. L’occasion était toute trouvée de republier l’entretien fleuve de novembre 2020 avec l’ancien chouchou du Country Hall.

Karim, comment s’est passée ta reconversion ?

Elle s’est très bien passée. Je savais que je voulais me lancer à fond dans le 3×3 et je suis désormais coach de l’équipe de France de basket 3X3.

En quoi cette discipline – qui se développe de plus en plus – peut-elle attirer de nouveaux amateurs et quelles sont les qualités indispensables pour y briller ?

Cette discipline va attirer de nouveaux amateurs car le concept est fun et dynamique. Le jeu va plus vite et c’est beaucoup plus intense. Pour y être performant, il faut être polyvalent. De très bons joueurs de 5×5 ne sont pas forcément de très bons joueurs de 3×3. C’est très spécifique.

Tout jeune, tu avais pris la décision d’aller te former aux Etats-Unis. Quels souvenirs gardes-tu de tes années à Furman ?

Ce furent mes plus belles années en terme d’apprentissage. La culture du sport est vraiment unique aux USA: c’est une véritable religion.

Tu as beaucoup joué en France mais aussi à Chypre et en Belgique. Quelles différences dans les styles de jeu ou dans l’approche du basket as-tu pu relever au cours de ta carrière ?

En France, le jeu y est très athlétique. A Chypre, c’était un jeu très physique, comme l’est le basket grec. La Belgique était un mix de tout cela du fait du grand nombre d’Américains présents. A l’époque où je jouais à Liège, il y avait peu de joueurs belges qui dominaient dans le championnat.

« Les Liégeois m’ont marqué à vie »

Avant d’arriver à Liège, connaissais-tu le basket belge ?

Non, pas du tout. Quand je suis arrivé, Guy Muya m’a tout de suite mis au parfum et parlé de l’histoire du basket en Belgique.

Tu as joué à Liège pendant près de trois saisons, quels sont les meilleurs souvenirs liés à cette période de ta carrière ?

Mes années à Liège sont un bon souvenir. Nous avions un Président, Jean Joly, que j’appréciais beaucoup. Nous avons connnu deux Coupes d’Europe (ULEB et FIBA Cup). Malheureusement, cela ne s’est pas terminé comme je le voulais. Je me sentais bien à Liège mais, il faut dire les choses, le coach de l’époque m’a savonné la planche pour que je parte. Je n’ai appris que récemment comment cela s’est passé en coulisses. On m’a fait passer devant le Président et le nouveau coach Tom Johnson – que je n’ai jamais rencontré d’ailleurs – pour quelqu’un de pas professionnel et qui n’allait pas à l’entrainement dans le but de justifier ma mise à l’écart. Je suis tombé de haut. C’était petit et, surtout, cela montre bien que certaines personnes n’étaient pas dignes de ma confiance. Bref, c’est du passé mais je n’oublie pas. Par contre, les Liégeois m’ont marqué à vie par leur accueil et leur gentillesse. Mon fils est né à Liège. D’un point de vue sportif, le derby contre Pepinster était extraordinaire. C’était le match à ne pas perdre… La belle époque !

Qu’appréciais-tu particulièrement à Liège et dans la région liégeoise ?

Les boulets sauce lapin (rires). Jean Joly m’avait fait découvrir ça. J’allais toujours dans le même restaurant pour en manger: au centre ville, chez As Ouhes.

Au cours de ta carrière, quels sont les coéquipiers qui t’ont le plus marqué ?

En France, John McCord et Alhadji Mohamed à Limoges. En Belgique, c’était Stéphane Pelle.

Et quels coachs ont eu le plus gros impact sur toi ?

Mon coach espoirs, Joël Delabye.

« Voyager grâce au basket reste extraordinaire »

Tu as remporté des distinctions individuelles et disputé plusieurs finales. Quand tu regardes en arrière, quels sont tes meilleurs souvenirs ?

Mes titres de champion de France Espoirs, mes années aux USA, le parcours en FIBA Cup avec Liège mais aussi de pouvoir beaucoup voyager grâce au basket. Cela reste quelque chose d’extraordinaire. Quand tu joues, tu ne t’en rends pas forcément compte mais c’est une vraie chance.

Nourris-tu certains regrets ?

En Belgique, celui de ne pas avoir gagné le championnat. Nous avions pourtant une très forte équipe avec, notamment, Stéphane Pelle, Mo Finley, Ron Ellis, Ebi Ere ou Roger Huggings…

Comment juges-tu l’évolution du basket ?

Le jeu est désormais différent, moins physique mais plus athlétique. Tout le monde veut tirer à trois points mais, souvent, je remarque que les fondamentaux sont délaissés. Sauf dans le basket féminin?

Quels conseils donnerais-tu à de jeunes basketteurs qui aspirent à une carrière professionnelle ?

De travailler dur et, surtout, de croire en ses rêves. Il faut toujours se dire que quelqu’un travaille aussi dur que toi avec les mêmes objectifs. Il faut donc faire preuve de sérieux et de détermination. Je dis souvent à mes joueurs qu’on ne sait jamais qui te regarde. A tout moment tu peux te faire remarquer par des recruteurs et cela peut lancer une carrière.

Les Cats comme les Lions ?

Ce vendredi, les Cats peuvent imiter les Lions et terminer le premier tour du Mondial anversois sans la moindre défaite.

Après une entrée en lice réussie avec des victoires contre l’Egypte (19-6) et la Mongolie (12-8), les Cats sont invaincues et n’auront plus qu’une rencontre – la République dominicaine a déclaré forfait à la dernière minute – à disputer ce vendredi (17h30) contre la Pologne pour valider leur ticket pour les quarts de finale du Mondial anversois.

Crédit photos : FIBA

Nouvelle victoire pour Julie Allemand qui délivre encore 6 assists

A Los Angeles, Julie Allemand, Emma Meesseman et leurs coéquipières se sont imposées dans les grandes largeurs, 59-82.

Cette fois, Emma Meesseman (11 points, 4 rebonds et 4 passes en seulement 18 minutes) et ses coéquipières n’ont pas dû effacer un retard historique pour s’imposer à Los Angeles. En effet, le Sky a mis les choses au point dès le premier quart-temps remporté 27-12. Le second quart était pratiquement identique face à des Sparks maladroites au possible. A la pause, le marquoir affichait 54-25 et la seconde période voyait le coach de Chicago faire tourner son banc.

Face à ses anciennes couleurs, Candace Parker s’est illustrée avec un triple-double : 10 points, 14 rebonds et 10 assists. Pour la deuxième fois d’affilée, Julie Allemand a délivré 6 passes décisives et capté 3 rebonds.

Crédit photo : Chicago Sky

Les p’tits Belges terrassent les Américains et filent en 1/4 de finale du Mondial !

Avec un Vervoort ultra clutch, les Belges ont vaincu les Américains en overtime, 20-18. Les Lions ont ensuite parachevé le travail en se défaisant de combatifs Autrichiens pour valider leur ticket pour les quarts de finale du Mondial de basket 3×3.

Après avoir vaincu la Slovénie et l’Egypte lors de la première journée de compétition de cette Coupe du Monde de basket 3×3 disputée à Anvers, les Lions affrontaient deux sacrés morceaux jeudi : les USA et l’Autriche. Le Hutois Maxime Depuydt et ses partenaires débutaient par le choc contre des Américains également invaincus après deux rencontres.

Dans un match aussi physique que disputé, une bombe de Vervoort – sixième joueur mondial dans cette nouvelle discipline en plein essor – permettait aux Belges de rester au contact avant que Nick Celis, à la limite de l’horloge, n’égalise à 18 partout. Une grosse défense derrière assurait aux Lions d’arracher la prolongation. Au début de celle-ci, Vervoort provoquait la faute de son opposant direct lors d’une tentative derrière l’arc. Le scoreur belge ne tremblait pas sur la ligne de réparation provoquant l’explosion d’un public entièrement acquis à la cause de nos compatriotes.

Après cette incroyable victoire 20-18 contre les Ricains, les Belges devaient se reconcentrer pour affronter une équipe d’Autriche qui était loin d’être un oiseau sur le chat. Combatifs au rebond offensif et adroits de loin, les Autrichiens donnaient du fil à retordre à nos compatriotes qui pouvaient cependant compter sur l’appui des nombreux supporters présents dans la mégalopole anversoise. Les Belges, à coup de dunks, de bombes ou de passes dans le dos émerveillaient tous les spectateurs et, alors que la fatigue se faisait ressentir, parvenaient à s’extraire du piège autrichien pour s’imposer 21-18. Une quatrième victoire qui permet aux Lions de boucler ce premier tour invaincus et de se qualifier pour les quarts de finale du tournoi. Ce match couperet se disputera samedi à 17h30 contre un adversaire qui aura réussi à s’extraire des huitièmes de finale, petite particularité de ce Mondial.

Crédit photos : FIBA